L’ancien Premier ministre portugais et ancien Haut commissaire des Nations unies pour les réfugiés a prêté serment le 12 décembre 2016 en tant que 9e Secrétaire général de l’Organisation des Nations unies.

Le prochain secrétaire général de l’Organisation des Nations unies António Guterres. © UN Photo/Manuel Elias


 

Le Secrétaire général désigné de l’ONU, António Guterres, a prêté serment le 12 décembre lors d’une cérémonie à l’Assemblée générale des Nations unies tenue au siège de l’ONU, à New-York, (États-Unis d’Amérique). Il prendra officiellement ses fonctions le 1er janvier 2017 pour un mandat de cinq ans.

Au cours de cette cérémonie, l’ Assemblée générale des Nations unies a rendu un vibrant hommage au Secrétaire général sortant Ban Ki-moon, qui doit quitter son poste le 31 décembre prochain, pour «sa contribution exceptionnelle aux travaux de l’organisation et ses réalisations remarquables en ce qui concerne l’amélioration des conditions de vie des populations et la préservation de notre planète pour les générations futures, ainsi que la promotion et la protection des droits de l’homme et des libertés fondamentales pour tous en vue d’un monde plus sûr».

Agé de 67 ans, António Guterres a été le Premier ministre du Portugal de 1995 à 2002 et le haut-commissaire des Nations unies pour les réfugiés de juin 2005 à décembre 2015. Il a été désigné pour occuper la fonction de secrétaire général de l’ONU par le Conseil de sécurité de cette organisation le 6 octobre 2016.

Pour António Guterres, l’ONU est bien placée pour aider à surmonter les défis mondiaux et renforcer le lien entre la paix et la sécurité, le développement durable et les droits de l’homme. «La dignité humaine sera au cœur de mon travail», a-t-il affirmé.

 
GR
 

0 Commentaires

  1. CHARY dit :

    Ce changement, a la tète de l’ONU est salutaire, du fait de la faiblesse et du manque d’autorité pour faire respecter les principes du vivre-ensemble (respect de la constitution) en Afrique, par l’équipe sortante. Mr BAN dort bien, pendant que la constitution est violée au Congo, au Burundi, au Gabon, en RDC etc etc, il s’est juste réveillé pour bombarder le palais de MR NGAGBO, Président légitime, en pays indépendant, en crise politique intérieur, qui demandait, seulement, un recompte des votes. Depuis le départ de MR ANNAN, cette organisation est moribonde, et ne sert plus que des intérêts particuliers.

Poster un commentaire