L’Organisation internationale de la Francophonie organise du 13 au 14 décembre 2016, la rencontre des correspondants nationaux d’Afrique centrale auprès d’elle.

Le représentant régional de l’OIF pour l’Afrique centrale, le Secrétaire général adjoint 1 des Affaires étrangères, et quelques participants à la rencontre des correspondants nationaux d’Afrique centrale. © Gabonreview

 

Le Secrétaire général adjoint 1 du ministère des Affaires étrangères, a ouvert le 13 décembre à Libreville, la rencontre des correspondants nationaux d’Afrique centrale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Ces échanges qui se tiennent sur vingt-quatre heures, portent essentiellement sur des exposés interactifs et des discussions en plénière, relatifs à la programmation de l’OIF.

«Cette rencontre qui s’étendra sur deux jours mettra un point d’orgue sur la mise en œuvre de la programmation 2015-2018 de l’organisation internationale de la Francophonie, particulièrement dans le renforcement de la régionalisation de ses actions de coopérations impulsées par les correspondants nationaux et le bureau régional de la Francophonie pour l’Afrique centrale», a précisé le Secrétaire général adjoint 1 des Affaires étrangères, Sidoine Mouissi Mickélé.

Photo de famille de la rencontre des correspondants nationaux d’Afrique centrale. © Gabonreview

A l’issue de cette rencontre, les participants seront informés des modalités de mise en œuvre de la programmation quadriennale 2015-2018 révisée de l’OIF en Afrique centrale. Ils s’approprieront également le guide pratique du correspondant national, afin  émettre des propositions concrètes pour contribuer à la mise en œuvre de l’initiative «Libre ensemble». Ces travaux sont également destinés à enrichir le projet de plan d’action régional pour l’Afrique centrale.

«Les correspondants nationaux sont des maillons essentiels de la dynamique d’intériorisation et d’appropriation de la Francophonie dans leurs pays respectifs. En effet, l’élan vers une Francophonie des solutions, vers une Francophonie de proximité, vers une Francophonie des peuples, doit aussi être, et peut-être d’abord, un élan endogène», a indiqué le représentant régional de l’OIF pour l’Afrique centrale, Boubacar Noumansana.

 
GR
 

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