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Crise postélectorale: L’appel de Féfé Onanga pour l'«assaut final»
A la faveur d’une causerie politique, le 18 mars dernier à Port-Gentil, le leader du Mouvement populaire des radicaux (MPR) a appelé les populations à se mobiliser pour l’alternance à la tête du pays, qui se concrétisera pendant la tournée républicaine de Jean Ping.
Féfé Onanga a demandé au public venu l’écouter, le 18 mars 2017 au quartier Trois-Filaos (Port-Gentil), de se tenir prêt pour l’«assaut final». © Louis Mbourou
Une sortie de plus pour le Mouvement populaire des radicaux (MPR), le 18 mars dernier à Port-Gentil. La formation politique dirigée par Féfé Onanga était le week-end dernier, dans le troisième arrondissement de la capitale économique, où elle a présenté la prochaine tournée républicaine de Jean Ping comme la dernière marche vers la libération du pays.
«Cette tournée doit sonner le glas de l’imposture à la tête de notre pays. La tournée républicaine doit se terminer par l’alternance. Il s’agit, comme l’a si bien dit Jean Ping, de l’assaut final. Alors tenez-vous bien prêts et restez mobilisés car nous devons faire preuve de courage et d’audace dans les tout prochains jours pour réclamer ce qui nous est due: notre victoire, la victoire du peuple», a lancé Féfé Onanga.
Un assaut d’autant plus justifié que plus rien ne va dans le pays. «Tout va à vau-l’eau dans notre pays depuis qu’Ali Bongo a repris le pouvoir par la force. Tous les secteurs sont à l’arrêt ou tournent au ralenti. L’éducation, la santé, l’économie, rien ne va», a lancé le président du MPR. A cette occasion, Féfé Onanga a tenu à taire les rumeurs d’une affaire personnelle entre lui et Ali Bongo. Un conflit qui justifierait ainsi son acharnement contre le régime.
Et Féfé Onanga d’affirmer qu’il ne nourrit aucune rancœur à l’endroit du président du parti démocratique gabonais (PDG) dont il a soutenu la candidature à la présidentielle de 2009. «J’ai démissionné du PDG en 2013 quand j’ai constaté qu’Ali n’arrivait pas à tenir les promesses qu’il avait faites au peuple. Il avait notamment promis aux Port-Gentillais de leur rendre tout ce que leur ville avait donné au Gabon tout entier, en la transformant en petit Dubaï», s’est-il justifié.
Or, sept ans après, la cité pétrolière est devenue l’ombre d’elle-même où le chômage et la pauvreté règnent en maîtres. «Ali Bongo nous a menti et nous l’avons bien sanctionné en août 2016», a déclaré Féfé Onanga. «C’est peine perdue si Ali Bongo compte nous avoir à l’usure. Nous n’oublierons en effet jamais qu’il n’a pas gagné l’élection présidentielle du 27 août 2016. Aussi, quel que soit le temps que cela prendra, allons-nous utiliser tous les moyens pour que le choix du peuple soit accepté par tous», a-t-il ajouté.
Par ailleurs, une fois encore, le président du MPR a réitéré sa détermination à ne pas prendre part aux assises du dialogue convoqué par Ali Bongo, dont les travaux s’ouvrent le 28 mars prochain à Libreville. «Nous ne participerons au dialogue que s’il a pour ordre du jour le départ d’Ali Bongo», a martelé Féfé Onanga.
Auteur : Vianney Madzou
20 Commentaires
Ce qui se resemble à gorille de l’Asie incite les ses parents pour aller dans la rue.il faut prendre tes enfants ceux de ton maitre ping. Pour aller dans la rue.IL FAUT CONTINUER DE RÊVER TON MAITRE NE DEVIENDRA JAMAIS PRESIDENT AU GABON.
en prison labas tu n’avais pas mangé la boite sardine c’est pour cela tu continue d’embeter les gens.
il faut connaitre l’homme avant de l’insulter. vous faites preuve d’une ignorance obscure dans vos propos
Mieux vaut ignorer ce borgne de Jean-Jacques mon frère.
Quoi que l’on dise ou écrive sur ces pages, lui le lira et le commentera avec un seul œil qui est celui des Pédé-gistes immergés.
Chassons les imposteurs…
Be tout ceci reste à démontrer, nous sommes déjà à 7 mois bientôt un an depuis la fin des élections toujours rien du n’importe quoi
C’est un blagueur ce fefe
après Ali bongo;ont ne sais pas encore qui sera le président du Gabon mais pas ping.continuer de rêve
Comment tu ne le sais pas?
Hé bien! Ce sera encore et toujours ton illustre maître à pensé unique dit Bouroubourou. Ça devrait te plaire non?
Tout va mal et ce n’est que le début. le chomage, l’injustice, la précarité dans lequel vivent les gabonais va précipiter la chute de ce régime agonisant.
Apres Ali c’est moi le president , je ferais qu’un mandant ,mon mandat ne serait pas pour construire les routes, ecoles, rien du tout, mon mandat serait pour mettre tous les faux opposants en prison, bloquer et recuperer l’argent qui a été volé de maniere sauvage , en commecnçant par ping pere et fils, myboto et fille, jacky et fils, divungui et famille,nzouba , eyeghe, zibi, barro,cha.ngoulakia,tout l’argent du Gabon qui est dans leur compte à l’etranger reviendra dans la caisse de l’Etat. reduction des salaires des ministre, aucun prof, medecins ne sera nommé au gouvernement ils doivent faire le travail dont ils ont preter serment.aucun ambassadeur , conseiller ne sera nommé s’il n’est pas du ministere des affaire etrangere. mettra fin aux voitures des fonctions de luxes. tous les salaires de tout citoyen sera publier par un site de nommé transparence. mettra fin au droit de greve au Gabon. mettra limite d’arge pour faire de la politique 65 au maximum.un gouvernement de 9 MINISTRES +1 = 10
Bravo ! Après (comme d’habitude ?) tu revires le tout fissa à Delta Synergie !
Les mauvais desseins se trahissent dans les paroles. Sophocle
L’esclave assujetti a bien le droit de marcher selon le souhait de son maître.à quelques différences près lui n’a pas eu à se limiter au 9+1.
Be tout ceci reste à démontrer, nous sommes déjà à 7 mois bientôt un an depuis la fin des élections toujours rien du n’importe quoi
FEFE Goré owendja edjendja okalimambu atevi igwera. Les nombreux compatriotes déboussolés verront que nous qui avions toujours payé au prix fort l’émancipation des mœurs politiques dans ce pays, sommes encore plus motivés à faire aboutir l’alternance démocratique même au prix de briser les liens que nous ont imposé le colonisateur. Les peuples de cette cote « atlantique » ne sont des frères siamois de ceux du haut-ogooué. Donc si le vivre ensemble n’assied pas le respect mutuel, comme dans un couple, on se sépare. BOngo n’a pas de limite, nous ne sommes plus tenu par la concorde alors,
EZOGA BOKANRANDA « Liberté »
l’inamovible FEFE Onanga, l’homme le plus populaire de POG, qui fait trembler le bord de mer
Peuples de l’Atlantique, indignez-vous§! Mais, il ne faut pas seulement se limiter à la simple indignation…Unissez-vous! UNION DES PEUPLES DE L’ATLANTIQUE (UPA). J’habite à Akra, mais ma maison c’est l’Atlantique. J’habite à Libreville mais ma maison c’est l’Atlantique. J’habite à Rio de Janeiro mais ma maison c’est l’Atlantique! Au Gabon, tous les grands fleuves se jettent dans l’Atlantique. Que serait l’Atlantique sans les eaux de l’Ogooué, de la N’gounié,; de la Nyanga; du Como etc…? Nous avons commencé, pourquoi faire comme les Anglais? Le Bruxit ne fais pas que des heureux en Angleterre! Il y a des Anglais qui ont cru à l’UE et qui y croient encore. Mais une seule voix, ou deux, trois ont suffit pour tout faire basculer! Soignons la plaie et sa puanteur ne nous dérangera plus!
Juste cause lorsque, ensemble voulions reconstruire dans la concorde. Le sentiment que j’ai, est que les maux qui affaiblissent la république ne sont pas la préoccupation de l’ensemble des gabonais. La république est un bien commun et c’est dans l’union et la paix nous devrions trouver la force de la construire. Je suis issu de la cote atlantique dans un métissage total donc, ce qui parait important pour moi aujourd’hui, c’est la République qui ne se consolide pas…
Cher administrateur de Gabonreview,
Nous constatons que certains de nos posts mettent une éternité en « attente de modération »,pourtant dépourvus d’injures et de propos violents.
Comment expliquez-vous que jean-jacques,lui soit toujours présent,malgré ses récurrentes insultes?
Bien à vous!
JEAN JACQUES , c’est le nom de quelle boite de conserve ?
Salut à tous!
Quelqu’un disait » le reve fait vivre et que celui qui n’a pas de foi est un homme mort bien que vivant. » Alors, je pense que ce monsieur nourrit sa foi en faisant de telle déclaration. Je ne doute pas , je ne crois pas non plus, mais je tiens à voir la fin de ce combat.