Prenant part, le 27 octobre courant, à la deuxième édition des rencontres économiques de l’espace francophone, le président de la République a plaidé pour l’employabilité des jeunes.

Ali Bongo. © D.R

Ali Bongo. © D.R


 
Le 27 octobre courant à Paris en France, sous l’égide de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) et du ministère français des Affaires étrangères, se tenait la deuxième session du Forum économique de la francophonie. Né dans la foulée du XVe sommet de la Francophonie de Dakar (Sénégal) en 2014, cette rencontre avait regroupé plus de 1 000 décideurs politiques et économiques venus des cinq continents lors de sa première édition. Il s’agissait alors de «réfléchir au concept de francophonie économique, développer des partenariats effectifs, présenter les atouts d’un espace qui réunit 230 millions de personnes et génère un total de 4 640 milliards d’euros, soit 16 % du PIB mondial», indiquait alors Richard Attias, organisateur de ce raout.
Laurent Fabius, ministre des Affaires estrangères (France) à l’ouverture du Forum. © D.R

Laurent Fabius, ministre des Affaires estrangères (France) à l’ouverture du Forum. © D.R


Le président de la République prend part à la deuxième édition de ce forum en présence de la secrétaire générale de l’OIF, de plusieurs autres chefs d’État africains et de nombreux décideurs politiques et économiques venus des 80 pays membres de la Francophonie. Lors de la première édition, Ali Bongo Ondimba avait appelé à une zone de libre-échange économique, culturel et scientifique francophone. Cette fois-ci, il est intervenu sur les engagements des Etats dans le cadre de la stratégie économique de la Francophonie. Selon un communiqué de la présidence de la République, il a insisté sur la place des jeunes au sein de cet espace : «Nous avons longtemps discuté de la beauté de la langue française, mais nos jeunes se demandent ce qu’elle leur apporte», a-t-il dit, poursuivant : «Je salue la présence du secteur privé pour soutenir nos politiques d’éducation et de formation. Parce qu’il n’y a rien de pire que d’être diplômé et de ne pas trouver d’emploi. Il est important de rapprocher nos hommes d’affaires et ceux des pays développés». Et de marteler : «L’Afrique a contribué à la croissance mondiale. C’est le continent de demain. Il faut que les Africains soient présents, qu’ils puissent monter dans le train et en bonne place, sans faire de figuration. Le développement de l’Afrique doit se faire avec nous, par nous, et tel que nous le souhaitons. »
Avec ce rendez-vous, l’OIF semble vouloir officiellement et définitivement aller au-delà des aspects culturels et linguistiques. Et pour cause : les chiffres indiquent qu’«en 2010, les pays membres et observateurs de l’OIF représentaient 14 % de la population mondiale, 14 % du revenu national brut mondial et 20 % des échanges mondiaux de marchandises. Ils comptent aujourd’hui 900 millions d’habitants, dont 220 millions de locuteurs en français». C’est donc un potentiel non négligeable qui peut contribuer à dynamiser les économies et hâter le développement de certains pays, notamment en Afrique. Le Forum économique de la francophonie se présente déjà comme un lieu de stratégies économiques, un espace gigantesque qu’il faut mieux explorer et dynamiser. «Cest une porte ouverte sur quantité de débouchés et de marchés des Amériques à l’Europe, à l’Afrique, l’Asie et l’Océanie», argumentait Michaëlle Jean en juin dernier.
Cette rencontre n’est pas allée sans ses à-côtés. Ainsi, le collectif «Tournons la page pour l’alternance démocratique en Afrique», porté notamment par le Secours catholique français, en a profité pour donner de la voix. «Le business avant la démocratie?», s’est-il interrogé, dénonçant la présence de certains dirigeants africains, notamment Faure Gnassingbé et Ali Bongo, «deux chefs d’État au pouvoir après leurs pères… ».
 

 
GR
 

0 Commentaires

  1. Roberto dit :

    Tournons notre regard vers les réussites économiques en Afrique qui vont davantage nous inspirer que toutes ces grandes messes destinées à redorer l’image de l’ancienne puissance coloniales et remplir les poches des organisateurs

  2. Mengué Mba dit :

    Merci Monsieur le Président !!! Vous faites beaucoup pour la jeunesse et la femme gabonaise. Une chose est sure : Toute la jeunesse et toutes les femmes seront derrière vous en 2016. Vive YA Ali POUR UNE VICTOIRE CASH EN 2016

  3. OVONO NDONG dit :

    Je soutien aussi l’idée de Mengué Mba. Ya ALI c’est l’homme qui peut redresser l’économie du Gabon. Les jaloux vont maigrir .

    • YOVE dit :

      Les Gabonais ne maigrissent pas de jalousie, mais de faim: faim d’emplois, faim d’éducation-formation, faim de santé, faim de bonne gouvernance, faim de bonne gouvernance, faim de prospérité. Oui, les Gabonais maigrissent. Ils maigrissent d’insomnie, d’angoisse perpétuelle, de la folie qui guette, de l’insécurité, de l’oppression; de l’AVC envoyé exprès par le Distingué jouisseur, qui, pour nous autres Gabonais, n’est que L’AFFAMEUR EN CHEF. Oui, les Gabonais maigrissent de colère…
      Tremblez, émergents semeurs de malheur!

  4. YOVE dit :

    Encore un forum,et encore Richard ATTIAS.
    Encore des slogans alinesques, grossiers, creux et empesés:
    – L’année dernière, c’était: « Zone de libre-échange économique, culturel et scientifique au sein de l’espace francophone ».
    Qu’en est-il aujourd’hui?
    Les visas sont-ils devenus plus aisés à obtenir par les jeunes Gabonais désireux de poursuivre leurs études dans les pays francophones développés?
    Le niveau de coopération inter-universitaire s’est-il amélioré au bénéfice de la recherche scientifique nationale?
    Y a-t-il ne serait-ce qu’un début de réflexion se rapportant à une éventuelle mise en place de mécanismes susceptibles de faire en sorte que le Gabon exporte à des conditions préférentielles vers le Canada, la France ou l’Algérie? …
    Et quand bien même de telles conditions seraient mises au point, qu’est-ce que le Gabon exporterait, vu qu’il ne fabrique presque rien, en dehors des produits de cueillette? Ce libre-échange, ne serait-ce pas pain bénit pour les importateurs et autres commerçants étrangers, notamment les Libanais et Ouestafs du Gabon, pour mieux remplir leurs échoppes et faire de colossaux bénéfices, lesquels sont systématiquement rapatriés dans leur pays d’origine? Est-ce ainsi que l’on boosterait la balance de payement et la croissance économique du Gabon?
    – Mais le plus cocasse est certainement le slogan dont l’imposteur et affabulateur en Chef s’est fendu cette fois-ci: « Employabilité des jeunes ».
    Quelle farce! Quel est le DOUNGOUROU qui s’applique à tuer méthodiquement l’école gabonaise, de la base au sommet? N’est-ce pas le fameux type sans-papiers, sans-épaisseur intellectuelle et sans-profil moral? Or, qu’est-ce qui fait que des jeunes soient employables si ce n’est une bonne politique d’éducation-formation à laquelle sont affectés des moyens humains, matériels et financiers conséquents? Quand ALI saccage le système scolaire, il s’en va chanter dans des forums ce qu’il aurait dû réaliser tranquillement dans son pays, à l’aide des moyens propres à son pays. Et il se trouve quand même des auditeurs prétendument sérieux pour écouter de telles balivernes, et applaudir!
    Au final ce sont des fournées et des fournées des jeunes diplômés qui ne font que s’amonceler dans chaque famille. On parle aujourd’hui de plus de 25% de la population active. Cela fait des dizaines de milliers de jeunes diplômés du Supérieur qui vivent toujours aux crochets de leurs parents; sans compter ceux qui sont sortis du système scolaire sans avoir engrangé le moindre diplôme, ni acquis la moindre compétence.
    Malgré cela, le Ministre de la Fonction publique est sur un nuage: il ne cesse de s’admirer lui-même, devant son miroir déformant, pour avoir, dit-il, « augmenté le salaire des fonctionnaires ». Que vaut une telle augmentation si elle n’est destinée qu’à pourvoir aux besoins élémentaires des enfants devenus adultes mais qui ne peuvent pas s’émanciper économiquement et socialement, faute d’emploi?
    Et puis que représente l’ensemble des fonctionnaires, par rapport aux masses déguenillées qui constituent le sous-prolétariat, l’armée des miséreux ravalés au rang de misérables par les quelques riches, qui ont fait main basse sur notre pays?
    Si, au moins, il était proposé à nos enfants diplômés la possibilité de se constituer en SARL, selon des règles simples, claires et applicables à tout le monde, en mettant notamment l’accent sur un financement idoine, un encadrement performant et une fiscalité incitative!
    Si, au moins, nos enfants les moins doués pouvaient être encouragés à exercer les petits métiers, qui ne nécessitent pas de compétence alambiquée, comme le font les Ouestafs chez nous! …
    Mais hélas, sous la férule des Bongo, le GABON des Gabonais n’est plus qu’une terre brûlée.
    Le GABON du bien-vivre, du travail bien rémunéré, de « l’avenir en confiance » n’appartient plus à une coterie de privilégiés gabonais agglutinés autour de Bongo-père; il a été confisqué…

    • imagine56 dit :

      Yove,
      Mon Dieu que d’émotion, j’en ai presque des larmes aux yeux .
      Tu aimes ce pays, notre Gabon et tout patriote sincère devrait se poser les mêmes questions que toi au lieu de venir comme certains exhiber un bilan positif de l’émergence d’Ali qui n’existe que dans leur tête.
      Tu sais, je vais imiter cet écrivain Sud Africain et appeler ton texte « pleure Ô pays bien aimé »
      Au petit niveau qui est le mien Yové, je peux dire que tu es excellent et que malgré nos infimes divergences, je suis en accord avec toi, je suis admirative du compatriote que tu es , surtout par ta façon de remette les émergents à leur place, c’est à dire à terre, place naturelle qui est la leur.
      Bravo pour cette réplique Yove.

      • YOVE dit :

        Imagine56
        Belle formule, ma Battante! Oui, la place des émergents est assurément par terre, dans la boue miasmatique de leur cerveau infatué.
        Oui, ma soeur, j’aime profondément le Gabon, mon pays, notre pays. Et j’ai l’intime conviction qu’il en est de même pour toi. Je crois que c’est sur cette base que toi et moi avons de la considération l’un envers l’autre. Toi et moi, comme tant d’autres compatriotes, plaçons le Gabon au-dessus des divergences d’opinions et des raideurs de idiosyncrasie.C’est dire que, si tu n’existais pas sur cette plateforme, il aurait fallu t’inventer.
        Bisous, ma Battante!

      • YOVE dit :

        Imagine56
        Oh, oui! Ma Battante, j’aime profondément le Gabon, mon pays, notre pays tant supplicié. Et je sais que toi aussi, tu l’aimes; tu as mal à ce pays, au point d’en pleurer d’émotion.
        Pour toi donc, et pour te remercier de ton bon mot à mon endroit, je dis, en paraphrasant le Sudaf: « Pleure, ô ma pépite bien-aimée »! Ce type de larmes ne plonge pas dans le désespoir, mais il fait prendre de la graine…
        Bisous, ma Battante!

  5. Jean Charles MBA dit :

    Laissez-nous avancer svp. Les résultats de la politique de l’émergence sont palpables.Notamment, les routes de lLala-Ovan, Lambaréné-tchibanga. Le nouveau système de rémunération etc…

  6. Brenda dit :

    Merci Mr le president pour ce que vous faites pour la jeunesse

  7. Laura dit :

    Y a Ali est l’homme de la situation

  8. Sandrine dit :

    Ali bongo est la l’homme de la situation pour le développement du Gabon

  9. Roberto dit :

    Encore de l’autosatisfaction et congratulations. Est – il possible au Gabon d’avoir des statistiques et des évaluations quantifiables sur les avancées concrètes dans tous les domaines y compris l’emploi des jeunes. Non bien sûr que non. Ces forums ne nous amènent rien de palpable. Je rejoins Yove dans son intervention. Dites moi si les gabonais on vu leurs conditions de vie s’améliorer en 6 ans ou pas. La réponse est non. Donc si la collection de forums ça marchait ça se verrait et encore une fois je rejoins Yove dans son intervention.
    Dites

  10. jean Max dit :

    Le Président des forums. les voies urbaines de LBV ressemblent à des pistes d’éléphants; les Gabonais sont pauvres et n’arrivent pas
    à joindre les 2 bouts;on ne connait pas les origines du Président et les idiots osent quand même saluer ses réalisations invisibles. Soyez en sûr, on le chassera avant 2016. un Nigerian et un Béninois qui vous commande dans votre propre pays; du jamais vu! les équatos, Camerounais et autres nationalités se foutent de nous..Pouvez-vous imaginer un Nigerian ou Béninois aux affaires en Guinée-Equatoriale?

  11. OVONO NDONG dit :

    A quand la réfection du bâtiment très sal des Archives Nationales , n’avez vous pas honte , chers autorités ? Moi j’ai honte .

  12. Meminitame. dit :

    Bonjour YOVE,
    Merci pour le clin d’œil sur ma retraite, c’est quelque chose de fondamentale dans notre vie, même si cela n’y paraît. J’ai une grande peur de Dieu, c’est pour cela que je le respecte, et en toute confidence, je t’avoue qu’il me le rend bien…
    Au sujet de ton post, notre Imagine56 a tout résumé que dire de plus ? Sinon partager la même tristesse, et ajouter le constat suivant.
    Il est dommage, que les émergents ne comprennent rien à toutes les évidences que tu viens de présenter de la manière la plus basique qui soit.
    Il est triste de trouver en 2015, des gabonais (j’évite d’écrire Gabonais pour eux) qui pensent toujours que l’ascension sociale au Gabon est conditionnée par le nombre de courbettes faites au Calaba (sans papiers) du bord de mer, grand maître de la bêtise et sa clique de PS adepte du même culte, et qui continuent de mettre le Gabon au sol.
    Tu sais en filigrane, j’ai fini par comprendre que la jeunesse sacrée dont parlait le père en son temps, était l’avertissement qu’il donnait à son fils et à sa cour, de ne jamais permettre à la jeunesse Gabonaise de s’émanciper, de s’instruire au risque de voir leur dynastie ne jamais prendre le pouvoir ou le conserver. Ils ont commencé à détruire le système éducatif Gabonais, avant de pervertir toute la jeune élite formée à l’extérieur, mais qui au départ rentrait au bercail pour servir dignement le pays, et constituer le socle d’une nation forte.
    Quel Gabonais n’a pas atteint l’échelon le plus élevé de la connaissance, quel que soit la discipline ?
    Mais, lorsqu’un inculte vous dirige, pensez-vous qu’il admette auprès de lui quelqu’un d’instruit? Certains répondront hâtivement oui, je raconte des histoires ! Mais dans le fond, comment ont fini tous les intellectuels, et hauts cadres Gabonais qui ont gravité autour de Bongo père? Aucun sens de l’honneur, pertes de repères élémentaires, avides de pouvoir au détriment du bon sens, ils ne jurent que par lui ou par le fils adoptif qu’il nous à légué. Si ce dernier n’avait pas fermé le robinet, ils boiraient aussi l’eau avec laquelle il se lave les pieds, si ce n’est déjà fait.
    Regardez tous ces députés, qui viennent encore mordicus, soutenir et prévoir de nous ramener quelqu’un dont le monde entier sait : qu’il n’est pas Gabonais, qu’il n’a pas d’acte de naissance (même s’il en existe 3 pour lui seul), que sa mère qui l’a mise au monde par césarienne à l’Age de 13 ans, avec une jumelle née 4 mois plus tard, avait la réputation de ne pas pouvoir réalisé un tel exploit. Même mystiquement, pour paraphraser l’autre.
    Mais, ce sont toujours, ces mêmes intellectuels, ces mêmes hauts cadres, parce qu’ils le sont, on ne peut le nier, qu’ont-ils fait de ce dont, Dieu les a gratifié contrairement aux animaux ? (je parle de l’intelligence pour ceux qui ont du mal…)
    Je réponds : rien ! La tentation de Satan a été plus forte. Dans la bible, Jésus a été tenté par Satan, pour tout avoir, à condition de s’agenouiller ? Qu’a-t-il fait ? Mais nos intellos, nos cadres du Bongoïsme ? Ils poussent même l’idiotie à l’appeler Ya quelque chose ! Tchuoooooooooooh !
    Il n’y a qu’à lire tous les Posts qui défendent la gestion actuelle du Gabon, alors même que l’évidence est là ! Le quotidien interpelle, la détresse ne se définie plus bref, le Pays tout entier meurt.
    Que fait le Gabonais ? que dit le Gabonais ? Que pense le Gabonais ? Même la pensée du Gabonais est dictée par l’étranger !
    Je ne suis pas surpris, tous les étrangers qui portent des noms Gabonais et qui de surcroit sont devenus plus Gabonais que nous autres, quel avantage auront-ils à voir les choses changer ?
    Ce qui devient préoccupant, c’est de laisser la jeunesse Gabonaise, la vrai plonger la tête la première, dans ce divertissement, parce que l’éducation est défaillante, la société toute entière à perdue ses repères, ils n’y a quasiment plus de référents dans chaque famille, pourquoi, parce que l’on a eu le malheur de croiser la route des Bongos…ou leurs nombreux affidés.
    Je ne veux pas demeurer fataliste, parce qu’il y a de l’espoir, 2016 représente l’espoir, que les Gabonais se réapproprient leur Pays, comment allons-nous faire ? Avec qui allons-nous le faire ? Quels sont les préalables ?
    Emergents s’abstenir, votre contribution est néfaste, elle n’est bonne qu’au PDG.
    A+

    • imagine56 dit :

      Akiéééééé A Meminetame,
      C’est tellement bien dit, bien parlé.
      Beaucoup de cadres et intellectuels se reconnaissent dans la description que tu donnes du rôle négatif qui a été le leur auprès des Bongo.
      Nous savons tous que la jeunesse n’a jamais été sacrée pour les Bongo, les jeunes surtout ceux issus de couches sociales les plus défavorisées leur servent uniquement pour les basses besognes (vandalisme , dépeçage de vies humaines, bétail électoral) pendant ce temps, les enfants de l’élite reçoivent les meilleurs enseignements dans des écoles occidentales, exceptés ceux qui s’adonnent à l’école buissonnière et finissent avec un niveau 4ème pousse pousse…
      Meminetame, tu as tout dit, malheureusement ceux qui dirigent ce pays ont voué leur âme au diable et ceux qui veulent avoir quelques miettes du festin organisé par les Bongo§fils ne comprennent toujours pas la lourde part de responsabilité qui est la leur quant à la destruction de ce pays et de sa jeunesse particulièrement.
      Un jour peut être verront-ils la réalité autrement…Quand ils ne seront plus aux affaires.

  13. jean-jacques dit :

    M.JCM. il faudrait que les medias convoquent un forum debat preelectoral pour faire l’hisoitoire de ping Ali et myboto au moins les journalistes pourront leur posé les questions sur les realisations sous l’ere d’OBO. les gabonais qui suivent ses faux opposants ont la memoire courte, ce qui signifie qu’il sont aveugles aussi , ils n’arrivent pas à dire qu’ils restent beaucoup à faire pour notre pays, et Ali n’est pas un mauvais pays tous ceux qui parlent que le pays va mal ce sont les memes qui ont participé au retard de Gabon à 99%. de Myboto, ping eyeghe divungui aujourd’hui jacky. pour eux il fallait qu’Ali continue de travailler avec ses vieilliards pour que leurs comptes soient toujours remplis des milliards comme le passé. pING L’AVAIT DIT QU’aLI VEUT EFFACER LES TRACES DE SON PÈRE quels genre des traces qu’il parle? et les gabonais doivent prendre l’exemple de la libye. un pays ou la population ne partait pas en exil ou de maniere clandestinement en Europe ,la population s’est soulevée contre quelqu’un qui malgré sa durée au pouvoir mais ils vivaient bien d’office ça , aujourd’hui 99% des libyens regrettent pour avoir faire la guerre et jusqu’à la mort du guide. Qui nous garantie que ping , myboto ou moukagni sera un bon president ou chaque gabaonais aura un salaire d’1000.000/ mois? ou chaque gabonais aura une villa? le probleme des enseignants sera resolu à 100%? les retraités auront les pensions de 1000.000 /mois.? il faut toujours faire trese tres attention `ades discours des certains vendeurs d’illusion, Ali fait fait un projet pour le pythanné militaire aujourd’hui est l’un de nos ecoles qui forment les elites du pays , et ping? myboto n’a pas pu faire butumér le nbre des kilometre de route d’Ali a deja fait en moins de 07 ans .myboto se contentait seulemt de battre le record d’un instituteur au monde à devenir riche. le reste il ne pensait pas et surtout il s’avait que sa fille etait avec OBO pour proteger le pere au gouvernement , Ping la même chose.
    les gens qui passent leur temps à insultér Ali. en pensant que la democratie c’est les injures, xenophonie. parle d’acte de naissance ou de nationalité.rien que les petits gens et les invalides politiciens pour avoir ce genre de debat.

  14. maureen dit :

    Oui nous sommes des petites gens, et toi tu es une lumière pour ce pays. Jean-Jacques, ton quotidien rempli de bonheur n’est pas le notre, quoi qu’ont pu faire les Myboto et les autres dans ce pays, figures toi que les Bongo et Dabany ont fait pire, n’oublie pas que patience a dévalisé toute une banque et forcé au chômage beaucoup de gabonais, cet exploit jamais réédité et resté impuni est l’œuvre des Bongo non de Myboto,
    Pourquoi tu n’en fais jamais allusion?
    et puis arrète de faire semblant d’être analphabète, nous sommes certes aveugles mais pas dupes!

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