Université : Daniel Ona Ondo élevé au grade de commandeur dans l’OIPA
Agrégé d’économie et enseignant des universités, le Premier ministre a été honoré par sa corporation d’origine.
Au terme des travaux du Conseil des ministres du Conseil africain et malgache de l’enseignement supérieur (Cames) que Libreville vient d’abriter, les responsables de cette institution ont élevé, le 27 octobre dernier, Daniel Ona Ondo au rang de commandeur dans l’Ordre international des palmes académiques du Cames. Dans son mot de circonstance, le grand chancelier de l’OIPA Cames, a déclaré, avant de remettre la décoration au promu du jour, que depuis la création de cette distinction, près de 435 personnalités œuvrant dans la construction d’un enseignement supérieur pour une qualité avaient déjà bénéficiées de cette marque de reconnaissance. «Enseignant-chercheur de formation, professeur agrégé du Cames, doyen puis recteur de l’UOB, en plus d’avoir été ministre de l’Education nationale, l’actuel (Premier ministre) gabonais est un universitaire expérimenté dont la dimension inspire l’excellence et l’éclosion de talents pour le développement de l’économie du savoir dont l’Afrique a tant besoin», a-t-il souligné.
Visiblement ému de cette marque de reconnaissance, Daniel Ona Ondo, le nouveau promu de l’OIPA/CAMES, n’a pas caché l’immense honneur et la fierté qui est le sien d’être ainsi honoré par cette distinction. Il a fait savoir qu’elle est le fruit d’un dur et laborieux labeur.
Le chef du gouvernement a, par la suite, souligné qu’il ne ménagera aucun effort pour porter haut le flambeau de l’enseignement supérieur et de la recherche. Pour lui, «Il n’y a de richesse que d’homme», a-t-il conclu.
2 Commentaires
La preuve par 2 que le cames est une affaire de pourriture……!
Mais qu’ elle honte,les dodues bien nourries du Cames, ceux qui ne publient jamais rien de pertinent,qui se spécialisent dans des domaines obsolètes,qui dépensent dans leurs ridicules tenues toutes leurs habilitations à vouloir ne servir à rien! Ils nous ont encore endormies avec leurs postures arrogantes et pleine d’une suffisance toutes corporatistes… Ils sont venues se congratuler mutuellement , se décorer entre eux d’ordre mirifiques! Sans un mot,sans une pensées, sans une action,tout juste, une renonciation envers le grand malade agonisant que sont leurs élèves: l’université » Gabonaise!