Un engagement pour l’éducation et l’avenir du Gabon : la députée Adiahenot livre 63 tables-bancs au CES de Batavéa
L’honorable Flavienne Adiahenot, députée de la transition, a récemment posé un geste fort en faveur de l’éducation de plusieurs dizaines d’élèves gabonais en offrant 63 tables-bancs au Collège d’enseignement secondaire public de Batavéa. Une initiative visant à améliorer les conditions d’apprentissage et à sensibiliser aux besoins en infrastructures d’eau, d’hygiène, et d’assainissement dans les établissements scolaires.
La députée de la transition, Flavienne Adiahenot, fille de la première institutrice gabonaise de jardin d’enfants, Liliane Denise Meporewa, a concrétisé son engagement pour l’éducation en offrant 63 tables-bancs au CES de Batavéa. Ce don, destiné à alléger le quotidien des élèves souvent contraints de partager les tables, vise à créer un cadre propice à leur réussite. « En offrant ces tables-bancs, j’espère encourager la motivation et la discipline des élèves, rappelant que l’éducation est cruciale pour consolider notre vivre ensemble», a déclaré la bienfaitrice, insistant sur l’importance de fournir des conditions d’apprentissage dignes.
Ce geste apporte un soulagement aux enseignants et aux élèves, qui, dans certaines salles de classe, étaient contraints de s’asseoir à trois par table. Paul Madoungou, principal du CES de Batavéa, reconnaît la valeur de cet apport essentiel : «Ce matin, le Seigneur nous a fait la grâce de recevoir l’honorable Adiahenot, qui n’est pas arrivée les mains vides… ça va soulager nos enfants dans certaines classes».
L’urgence des infrastructures d’eau, d’hygiène et d’assainissement
Outre les tables-bancs, la députée a aussi mis en lumière les besoins en infrastructures d’eau et en installations sanitaires dans les établissements scolaires. «Les écoles, où l’hygiène est primordiale, doivent disposer d’eau et de toilettes fonctionnelles», a-t-elle insisté, soucieuse de voir chaque élève évoluer dans un environnement sain. Ce geste marque sa volonté d’améliorer non seulement l’éducation, mais également le bien-être de la jeunesse gabonaise.
Le principal du CES de Batavéa, a confirmé que, malgré certains aménagements, l’accès à l’eau reste un défi pour son établissement : «S’il n’y a pas d’eau, c’est vraiment compliqué pour l’hygiène… Nous espérons que d’autres efforts pourront être faits pour résoudre ce problème». Il en appelle à la poursuite de cet élan de solidarité, rappelant que chaque intervention, aussi modeste soit-elle, contribue à offrir un avenir meilleur aux jeunes du Gabon.
Ce geste de la députée Adiahenot représente un engagement concret pour l’éducation et le bien-être des élèves, en favorisant des conditions d’apprentissage dignes et en sensibilisant aux infrastructures essentielles.
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