Tournée républicaine : un peu plus pour les jeunes, les femmes et la formation
S’exprimant le 15 juillet 2016 à Lambaréné dans le cadre de sa tournée républicaine, Ali Bongo Ondimba a mis l’accent sur la formation des jeunes et des femmes, tout en prônant l’accélération du développent économique et infrastructurel du pays.
Face à la foule venue l’écouter à Lambaréné, le chef de l’Etat a fustigé et fermement condamnés les attentats ayant de Nice endeuillé la France. Il n’a pas manqué de rendre un vibrant hommage aux disparus et à leurs familles. Ali Bongo en a également profité pour se souvenir de Georges Rawiri, le premier président du Sénat gabonais qui fut pour lui un père.
Ainsi, après les villes et villages de la Nyanga et de la Ngounié où il a rencontré les populations de chaque coin et recoin, Ali Bongo Ondimba est donc, depuis le 15 juillet, dans le Moyen-Ogooué. Au pas de charge, accompagné de son épouse, Sylvia Bongo Ondimba, du Premier ministre, Daniel Ona Ondo et des cadres de la localité, le chef de l’Etat a tenu un grand meeting au stade Jean Koumou de Lambaréné. Devant des milliers de supporters venus l’écouter, le président de la République est resté fidèle à sa démarche depuis le début de cette tournée.
Son objectif : être le plus clair possible. Le message consistant à faire son bilan et à se projeter dans le futur du Gabon. Comme dans les autres localités où il s’était déjà rendu, il a rappelé que beaucoup de choses ont été faites pendant ces 7 dernières années. Des routes ont été bitumées, des hôpitaux, des écoles ont été construits, les bourses des étudiants ont été revues à la hausse. Il relève également que les efforts continuent d’être faits pour que tous les Gabonais puissent bénéficier des services de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS), mais aussi des réformes sont en cours tant sur le plan social, économique que sanitaire. Il s’est félicité de la diversification de l’économie gabonaise et surtout des réformes dans le secteur bois qui a produit des milliers d’emplois. Plus de 7 000 durant ces 7 années. «Nous sommes un pays en développement et nous voulons accélérer le développement de ce pays», a-t-il lancé.
Le président de la République note que «si nous n’avions pas diversifié notre économie, nous serions dans de sérieux problèmes» face à la crise économique due à la chute des coûts de pétrole.
Appréciant le bilan de son mandat, Ali Bongo Ondimba a déclaré : «je suis satisfait, mais j’en veux encore. Je veux plus pour vous». Se projetant dans le futur, il a indiqué que son gouvernement et lui vont mettre un accent particulier sur l’éducation et la formation professionnelle, ainsi que sur les femmes. Ce qui aura pour effet de créer des entrepreneurs d’une autre trempe devant booster l’économie gabonaise. Cela passera également par la valorisation de l’agriculture. Mais, a-t-il relevé, il faut l’unité et la paix dans le pays.
Indubitablement il s’est saisi une nouvelle fois de cette occasion pour fustiger le comportement de certains leaders politiques d’aujourd’hui, anciens compagnons d’Omar Bongo Ondimba. Il a dénoncé le comportement du maire de Mouila qui n’a jamais assisté à une activité menée par le président de la République dans cette ville, déplorant le fait que les uns et les autres ne savent pas faire la différence entre les institutions et les divergences politiques.
Ali Bongo a également dénoncé à Lambaréné le fait que certains leaders politiques gabonais disent des choses désobligeantes sur la France et retournent toujours dans cette même France pour demander des soutiens. Pour lui, ces personnes ne considèrent donc pas les populations dont ils sollicitent les voix du moment où ils déclarent que c’est la France qui place les présidents à la tête des pays africains francophones.
Enfin, se prononçant sur l’affaire de son acte de naissance, le président de la République a ironisé et souligné que ceux qui ont demandé ce document et le contestent aujourd’hui n’avaient qu’à aller porter plainte à la France et au Congo.
Le périple se poursuit ce 16 juillet 2016 à Makouké, Ndjolé et Bifoun.
13 Commentaires
le chef de l’Etat a tenu un grand meeting au stade Jean Koumou de Lambaréné. Devant des milliers de supporters à qui ils ont donnés combien a la fin ? Des routes ont été bitumées, combien de km au total ? des hôpitaux, des écoles ont été construits ou sont les médecins ? ou t’as plus construit des hôpitaux vide ; des écoles ont été construits sans jamais donné le nombre, les bourses des étudiants ont été revues à la hausse de combien ?les efforts continuent d’être faits pour que tous les Gabonais puissent bénéficier des services de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS)pour quels types de médicaments? et quels genres de services clients ? mais aussi des réformes sont en cours tant sur le plan social, économique que sanitaire, en quelques sortes ce qu’il appel l’égalité de chance ! Alors que tout homme née libre et égaux art 1 de la convention des droit de l’homme,le Prési :«si nous n’avions pas diversifié notre économie, nous serions dans de sérieux problèmes» avec quoi comme projet qui ait vraiment vu le jour et qui soit en mesure de booster notre économie ? il veux parlé du projet graine ,de ses graines a lui. Il veut re-booster l’économie du pays dans le future, et tous ce qu’il a fait pendant son premier mandat a servi à quoi dans ce cas? il faut l’unité et la paix dans le pays dit- il ? Donc le pays est en guerre depuis qu’il est là? donc le gabonais n’est pas unis ? moi je ne comprend pas exactement de quoi il voudrais parlé l’instant président . Il déplore le fait que les uns et les autres ne savent pas faire la différence entre les institutions et les divergences politiques et lui la fait t- il ? Son gouvernement connait t-il vraiment la politique a laquelle il fait allusion ? Est – t il faut que c’est la France qui place les présidents à la tête des pays africains francophones ? Grace à l’appui de qui il est au pouvoir ? le président de la République a ironisé sur son acte de naissance qu’il n’a jamais montré pour faire taire tous ses détracteurs une bonne fois pour tout.
Voici 7 ans du billant décortiqué pour un gabonais qui arche dans la rue et qui ne vois toujours pas ce qu’il a décrit dans se meeting , qui à toujours du mal à trouvé un taxi, une structure hospitalière qui n’est pas en service minimum ou même en grève général , qui cherche toujours le travail sous le soleil a gnagoulé, qui n’as pas la même égalités de chance que leurs fils de la maternel, dont les parents flirt avec le diable pour avoir un bourse d’étude alors qu’il a obtenu de très bonne moyennes; qui n’arrive toujours pas a savoir pour quoi il est en état de siège , alors que personnes ne s’affronte , et qui ne sait toujours pas de quoi il a vraiment voulu parlé dans son meeting . Mais moi au moins , tout ceux qui ont schooler avec moi ont vu mon acte de naissance , et je le montre a chaque fois pour faire des papiers officiels . Et je fier de l’avoir . LOL
cordialement
Quand l’idiotie precipite un semblant d’humain dans la betise.Cela soutenue par des vautours cad des courtisans motivés par le gain .Et le « fils »d’OmarBongo semble rassuré en affichant le rire banania,mais une fois seul ,quel sont les interrogations qui pertubent sa quiètude ? Car Lambarene revèle l’essouflement d’un systeme qui est celui du transfere des figurants (des soldats)d’une localite à une autre .Pire sera le resultat des urnes si il y arrive.
S’exprimant le 15 juillet 2016 à Lambaréné dans le cadre de sa tournée républicaine, Ali Bongo Ondimba a mis l’accent sur la formation des jeunes et des femmes, tout en prônant l’accélération du développent économique et infrastructurel du pays.
Lors de la tournée républicaine, Ali Bongo a penché sur les questions de la jeunesse , des femmes et de la formation
Au cours de son septennat combien d’écoles primaires ou de collèges Ali Bongo a t-il construit au Moyen-Ogooué, particulièrement au chef-lieu de province Lambaréné ? Combien de centres de formation pour les jeunes ? Combien de dispensaires ? Le semblant de CHU qu’il a fait construire au quartier Abongo croupi dans l’herbe jusqu’aux fenêtres, les reptiles y ont élu domicile.
Les cages à pigeons faites en briques de terre cuite qui font offices de logements des gendarmes au lieu dit « Peloton » et ceux des instituteurs de l’école publique de Lalala datent de l’époque coloniale. Combien de logements sociaux a t-il construit à Lambaréné pour les fonctionnaires affectés ? Même chez lui à Bongo-ville il n’a construit aucun logement social, on y trouve encore des maisons « tout complet » c’est-à-dire tôle en haut, tôle en bas. Vous vous moquez de lambaréné ou bien de vous même ! Honte à vous les Emergeants qui dirigez ce pays ; les étrangers se moquent du Gabon à cause de vous.
Les bus de SOGATRA ont transporté les gens depuis Libreville pour allez faire le nombre à Lambaréné moyennant 20.000F parce que Ali et Onouviet savent que Lambaréné est une ville frondeuse, elle a toujours dit niet au règne de la famille Bongo depuis l’époque du père.
Le 27 août les populations du Moyen-Ogooué vous le feront encore savoir dans l’urne en votant massivement pour Jean PING. C’est PING qu’on a vu dans nos villages jusque dans les lacs ; on n’a jamais vu un BONGO à Junkeville ni à Ompomouana ni à Sam’kita.
Ali Bongo n’a pas manqué de dénoncer le fait que certains leaders politiques gabonais disent des choses désobligeantes sur la France et retournent toujours dans cette même France pour demander des soutiens. Pour ces auteurs, on serait dépendant de la France. C’est dommage pour eux.
Le message consistant à faire son bilan et à se projeter dans le futur du Gabon.
Une tournée pleine de perspective
C’est normal c’est trois catégories restent desormais des moteur de développement de notre pays
Fridelia et Jean Nzela parlent même de quoi???? De la formation des Jeunes et des Femmes? Où sont les écoles, les universités, les centres de formations et les instituts? Quoi, un jeune un métier? C’est triste pour vous, désolé. On est toujours dans de gros discours vides et insipides, creux en même temps. Moquez vous bien des Gabonaises et Gabonais qui souffrent dans leur pays. Ne vous en faites pas, Bientôt vous irez former les jeunes Béninois, Nigerians, Somaliens…
Libota Wongo,
Valeureux citoyen,
ce n’est pas la peine de répondre à ceux qui ont vendu familles, âmes, dignités et pour qui la souffrance des gabonais leurs incombent peu. Ils viennent sur ce blog juste pour exister pour ne pas dire être invisibles. Car pour tout gabonais qui se respecte et qui aime sa patrie dire la vérité n’est pas synonyme de trahison mais plutôt pour la conscience collective et ces gens là, il faut les comprendre ils n’ont plus le choix ils ont prêté allégeance et sans leurs petit dieu, leurs vies et leurs biens mal acquis ne tiennent plus qu’à un fil. Nous devrions par contre priez pour leurs âmes car leurs chemins de croix sera terrible.
ALI BONGO CONTREDIT SON PROPRE BUDGET
Bonjour a tous,
Les priorités d’un gouvernement se lisent dans la façon dont il affecte les ressources publiques…
Dans ce budget les crédits accordés à l’éducation nationale baissent de 6% et ceux affectés à la santé régressent de 42%. A contrario, le budget de la communication augmente de 4% et celui de la défense grimpe de 19%…(dixit Mays Mouissi)
Si vous voulez savoir ce que nos gouvernents jugent PRIORITAIRE, voici pour vous épluché le budget 2016. Svp prenez quelques minutes pour le lire .
http://www.mays-mouissi.com/2015/11/30/gabon-etranges-arbitrages-budgetaires-gouvernement/
Mon chère Ya Ali, avec un président qui a 1000 actes de naissance, une présidente de CC qui est la pour l’éternité en violation de la limitation du nombre de ses mandats en même temps qu’elle est ta belle-mère quels genres d’institutions devons nous respecter quand ceux qui les incarnent n’ont aucune légitimité et aucune l’égalité. Où est la république. Et lorsque vous attaquez Ping et Chantal, entre nous vous êtes en précampagne. Vous prenez vraiment Maganga pour un idiot pour se mettre à vos côtés alors que vos deux candidatures viennent tout juste d’être validées.