Surveillance satellitaire : le général Bonjean Frédérik Mbanza sur le site de l’Ageos

Le ministre de l’Économie numérique et des Nouvelles technologies de l’information a effectué, jeudi 29 février, une visite au siège de l’Agence gabonaise d’études et d’observations spatiales (Ageos) sise au sein de la Zone d’investissement spéciale de Nkok . Cette visite a été une occasion pour le membre du gouvernement de s’imprégner du fonctionnement de ce programme permettant d’élaborer une stratégie nationale des activités d’observation spéciale. 

Le général Bonjean Frédérik Mbanza édifié sur les composantes du centre de télédétection de l’Ageos, le 29 février 2024. © GabonReview

Poursuivant son périple pour s’imprégner du fonctionnement des entités sous tutelles, le ministre de l’Économie numérique et des Nouvelles technologies de l’information le général Bonjean Frédérik Mbanza a effectué une visite le 29 février à l’Agence gabonaise d’études et d’observations spatiales (Ageos).

Quelques moments de la visite. © GabonReview

Il s’est agi pour le membre du gouvernement de constater l’effectivité de ce programme contribuant à la mise en œuvre de la politique du gouvernement en matière de collecte, d’analyse et de mise à disposition des données issues de l’observation spéciale du territoire national. Ce, pour une gestion durable de l’environnement, des ressources naturelles, de l’occupation des sols, de l’aménagement du territoire, ainsi que de la recherche et de l’innovation. 

Ce fut également une occasion pour le général Bonjean Frédérik Mbanza d’échanger avec ses collaborateurs qui lui ont présenté leurs activités et les difficultés qu’ils rencontrent au quotidien pour un rendement optimal. Il a été édifié sur les composantes du centre de compétence en télédétection, constituant un dispositif scientifique et technique associant recherche, formation et services opérationnels destiné à l’exploitation et la valorisation des données satellitaires. Le ministre s’est engagé à soutenir cette structure d’aide à la décision et support à l’évaluation de l’impact des changements climatiques, dans l’atteinte de ses objectifs. La station, apprend-on, couvre un rayon de 2 800 kilomètres, soit une vingtaine de pays.