SNLS : Cap sur 2015
La Société nationale de logements sociaux (SLNS) a tenu son 2e conseil d’administration, le 24 octobre à Libreville, axé sur l’adoption du budget de l’exercice 2015.
10 mois après le 1er conseil d’administration, tenu en janvier dernier, les administrateurs de la Société nationale de logements sociaux (SLNS) se sont à nouveau réunis le 24 octobre dernier à Libreville. Plusieurs points étaient à l’ordre du jour, notamment la clôture des comptes 2013 et l’adoption du budget de l’exercice 2015. En marge de cette rencontre, 2 autres réunions se sont tenues. D’abord, l’assemblée générale extraordinaire qui visait à approuver les comptes 2013. Ensuite, l’assemblée générale ayant permis de modifier la désignation sociale de la société de construction et de gestion des logements sociaux au Gabon.
Le président du conseil d’administration a rappelé que «cette entité a été créée en avril 2013 en tant que Société nationale de gestion et de construction de logements sociaux (SNGCLS). La nouvelle appellation, Société nationale de logements sociaux, plus facile à prononcer et à retenir apparaît également plus accrocheuse». Aloïse Ntoutoume Bekale a également profité de cette occasion pour lever tout quiproquo autour des prix d’acquisition des parcelles viabilisées et des logements.
En effet, d’aucuns se plaignent de la «cherté» des produits proposés par la SLNS, allant de 23 à 42 millions de francs pour les logements tandis que le prix des parcelles est fixé à 8,5 millions de francs. Or, selon le PCA de la SNLS, ce premier programme de mise en vente de logements et de parcelles viabilisées, dénommé «Clos des coquillage», «est destiné aux Gabonais à revenus modestes éligibles au crédit bancaire». Consciente de la forte proportion de la population ne répondant pas à cet impératif, la SNLS «ambitionne de lancer dans les tout prochains jours son deuxième programme accessible au plus grand nombre en location vente et simple, sans souscription à un crédit bancaire».
15 Commentaires
Un logement social a 30millions???? Vous etes des blagueurs vous!
Même à 10 millions c’est déjà fort non mais franchement on est où là…quelle définition à la gabonaise peut-on qualifier le social proprement parlant aucun gabonais dit économiquement faible ne peut s’octroyé le luxe de s’acquitter les frais de loyer de 100.000 f cfa/mois…ouais A NIEMBIE RERA!!! si on veut vraiment faire du social sans gratuité voici ma proposition
1-Réduire le coût du loyer à 47.000 FCFA TTC
2-Ramener l’échéance à 10 ans avec la possibilité que le preneur réduise à guise cette échéance
3-Naturellement le coût d’un logement oscillerait alors entre 5 à 6 millions ce qui est raisonnable et faisable dans notre Pays ha! Que Dieu notre créateur nous vienne en aide disons en Christ amen
C’est normal que les Logements coutent aussi chers. Comment expliquer que pour un Conseil d’Administration on se retrouve avec des Convocation en pleine page dans l’Union ? La douzaine d’Administrateurs que compte la SNLS ne pouvait donc pas recevoir un courrier avec le dossier du Conseil d’Administration plutôt que de dépenser près de 4.000.000 FCFA pour convoquer à travers l’Union les 12 Administrateurs de la société nationale. Avez-vous déjà vu une entreprise privée convoquer ses administrateurs à un Conseil d’Administration sur une pleine page dans l’Union ? S’il fallait rechercher un signe de mauvaise gestion, il est bien là !
Cousine Bete,cela s’appelle faire de la promtion et de la publicite pour la societe.
Parce que tout ce qu’il ya sur les bus et les taxis de SOGATRA n’est pas suffisant?
Pour être conforme à ton analyse, avec de telles excentricités pour me faire mienne le titre du livre de René Dumond en 1962 qui disait que l’Afrique noire est mal partie moi je dirai que la SNLS est mal partie.
Et vous votre bateau est toujours au port
Effectivement, je vous le concède, notre bateau est toujours à quai le temps pour nous de stocker dans nos cales les injustices sociales, le deficit des strucutres scolaires, le deficit des structures sanitaires, l’absence des postes budgétaires,le chomage, l’absence des perspectifs d’avenir, les crimes rituels etc..
Lorsque nous lanceront les amarres après avoir defini notre route maritime nous déchargeront à chaque escale ce stocke à l’arrivée à notre port d’attache nous auront reduit notre voilure.
Bien dit « la fille de la veuve ».Entièrement d’accord avec toi.
c est surtout pour que les petites se multiplient a leurs bureau car comment comprendre qu un administrateur en plus bien visible sur l image a lui seul a 7nanas et parmi elle je connais une qui ma dis qu il la promis une maison une fois tous sera pret donc immaginez un seul instant que chaque administrateur ait 3à5 nanas la suite devinez d abord pour les gos et le reste pour leurs famille et les mmemes seront a la tele pour dire oui c est une réalité on a eu les maisons sans ignorer que ce sont leurs parents et copines tchouooooooooooooooo gabon vivement 2016 vivra verra
Il faut qu’ils comprenent qu’il n’y pas libreville où il y a un besoin de logement, à Port-gentil nous attendons aussi..
Ils nous font de la sorcellerie politique
Dire logement social au coût de 23 millions de fcfa est se foutre de la gueule des personnes économiquement faible dans notre pays.
Ainsi, je me demande sur qu’elle critère, étude ou diagnostic ont ils estimé que la valeur d’un bien immobilier dit ‘social’ devrait osciller plus de 23 millions de fcfa?
Enfin, on dirait que ces gentils messieurs font grise mine d’ignorer les réalités sociales des Gabonais;
L’économiste pourra surement répondre a cette question! Eh oh? L’économiste?
que personne n’aille se faire enregistré comme demandeur!! s’il n’y a pas de demande, les maisons seront bradés.
La cité Amissa à Agondjé, il parait que les gens se sont installés sans payer un sous jusqu’au aujourd’hui!!