La société civile nationale et internationale du secteur environnemental examine, depuis le 16 juin dernier, l’avant-projet de Code forestier.

Photo de famille des participants à l’atelier d’analyse du draft 2 bis du code forestier. © D.R.

Photo de famille des participants à l’atelier d’analyse du draft 2 bis du code forestier. © D.R.

 

Près d’une trentaine d’acteurs de la société civile du secteur environnemental sont réunis à Libreville, du 16 au 17 juin courant, dans le cadre d’un atelier d’analyse de l’avant-projet de Code forestier. Il s’agit aussi d’actualiser la stratégie pour permettre une participation pleine et efficace de la société civile au processus de réforme de la loi forestière.

Les discussions au cours de l’atelier. © D.R

Les discussions au cours de l’atelier. © D.R

Cette rencontre, organisée par la plate-forme Gabon ma terre mon droit, avec le soutien technique et financier de ClientEarth et Worldwide fund for nature (WWF), devrait permettre aux participants de s’accorder sur une position et une contribution communes afin d’influencer le processus initié depuis 2011 par le ministère en charge des forêts.

Il s’agira, pendant les quarante-huit heures d’échange, de créer un cadre de concertation afin d’aplanir les divergences, présenter les éléments principaux du redémarrage des négociations APV-Flegt et ses conséquences sur le processus de réforme du Code des eaux et forêts, échanger sur l’avant-projet de texte afin de produire un document consolidé…

En effet, de nombreuses lacunes et incohérences, dans la forme comme dans le fond, persistent dans la mouture soumise à l’examen des parties, en dépit des nombreuses contributions déjà fournies mais dont la prise en compte reste insuffisante. Les acteurs de la société civile du secteur environnemental espèrent parvenir, à minima, à un arbitrage motivé par des échanges directs entre les différentes parties.

 

 
GR
 

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