Entre refus du dialogue et appels à la démission du président de la République : Combat de coqs
En réponse aux appels au dialogue entendus çà et là, le président de la République a opposé une fin de non-recevoir tandis que le Front de l’opposition pour l’alternance réitère sa volonté de le voir quitter le pouvoir le plus tôt. Même s’il peut en avoir les allures, ce duel à mort n’est pas toujours aussi politique que certains l’affirment.
Même dans les moments les plus solennels, leur ombre plane et leurs positions en imposent. A l’occasion de son message de fin d’année, le président de la République a repris le couplet qu’il avait entonné le 12 septembre 2012 afin de dire sa non-adhésion à toute idée de concertation politique nationale. Face à la nation, Ali Bongo a eu la même posture que devant les deux chambres du Parlement réunies en congrès, s’adressant non pas à son auditoire du jour mais davantage au directoire de l’Union Nationale voire au Front de l’opposition pour l’alternance. «En adressant une fin de non-recevoir à tous les appels au dialogue entendus çà et là ces derniers jours, il entendait d’abord marquer son refus de la Conférence nationale souveraine qui pour lui est une idée de l’Union Nationale», analyse un ancien chef de rubrique du quotidien L’Union, qui précise : «Dans son esprit il ne répondait ni au chef du Bureau des Nations-unies pour l’Afrique centrale (Unoca), ni aux partis politiques français ni aux organisations de la société civile nationale mais à André Mba Obame, Zacharie Myboto, Jean Eyéghé Ndong, Casimir Oyé Mba, Paulette Missambo auxquels on doit désormais ajouter Jean Ping, Jacques Adiahénot, Divungui Di Ndinge et Moukagni-Iwangou». Et de trancher : «Ali Bongo se comporte comme s’il s’agit d’une querelle de personnes, d’une bataille d’ego».
Blocage psychologique
De prime abord, la prise de position du président de la République est fondée sur sa volonté de réaffirmer la primauté de sa position institutionnelle. Dans le fond, elle vise d’abord à rappeler que le citoyen Ali Bongo est beaucoup plus puissant que ses compatriotes signataires de l’acte constitutif du Front de l’opposition pour l’alternance. «Le ’’ce petit-là’’ de Jean Eyéghé Ndong lors du meeting de Port-Gentil, la déclaration de Jean Ping faisant état de sa détermination à «aller jusqu’au sacrifice suprême», le requête en destitution de Moukagni-Iwangou devant la Haute Cour de justice ou encore le fait que Zacharie Myboto et Mba Obame n’aient jusque-là jamais prononcé le mot «président» pour le désigner constituent les mobiles du blocage psychologique d’Ali Bongo», décrypte un enseignant de psychologie à l’Université Omar Bongo pour qui le débat politique national tourne en un «combat de coqs», un «bal des egos». Trop de passion, de références au passé des uns et des autres et pas assez de prise de hauteur.
Si le débat politique national s’enlise, la responsabilité en incombe d’abord à… celui qui est en responsabilité. En dénonçant continuellement «la haine» que les leaders de l’opposition nourriraient à son endroit et en permettant à sa garde rapprochée de les qualifier d’«ingrats» ou les inviter à «placer leurs enfants en première ligne» des manifestations, Ali Bongo a laissé le débat s’abaisser au niveau des individus tout en y introduisant les familles. Cinq ans maintenant que le président de la République n’arrive pas à trouver son positionnement exact : un jour il se présente en garant des institutions qu’il demande aux uns et aux autres de respecter, le lendemain il se pose en leader de parti voire en chef de file du «PDG émergent», selon la formule de notre confrère Echos du Nord. Dans l’opinion, cet équilibrisme fait des dégâts. Trop de dégâts. Si l’essentiel des composantes de la nation ne le présent plus que comme «l’émergent en chef», ses affidés oscillent entre le président de la République et le «distingué camarade». On l’a ainsi vu esquisser des pas de danse durant les «université d’été» des jeunesses du PDG, présider le conseil national ou le congrès du PDG, célébrer le cinquième anniversaire de son accession à la magistrature suprême avec les seuls militants PDG auxquels s’étaient joints quelques leaders de partis de la majorité. Comme toujours, ces événements ont été rythmés par des chansons aux paroles absolument éloquentes et clivantes voire sectaires : «on vous connait», «laissez-nous avancer», «ingrats», «jaloux».
Parfois, on en arrive à se demander si le président de la République n’a pas lui-même cultivé cette image de chef de clan, légitimant inconsciemment cette défiance qu’il dénonce et qui semble tant le heurter, au point de le conduire à une sorte d’enfermement. A aucun moment, Ali Bongo n’a paru vouloir se placer au-dessus de la mêlée et des contingences politiciennes, s’inscrire dans une perspective et une dynamique historique. Systématiquement, il a entretenu les querelles d’ego et conflits de personne. Là où certains dénoncent un «coup d’Etat électoral», ses proches parlent de «machine», de «système», allant jusqu’à affirmer qu’il a été plus malin qu’André Mba Obame. Quand on évoque le nécessaire respect des libertés fondamentales, ses laudateurs bombent le torse, convoquent la «violence légitime» et invitent Jean Ping au martyr. A ceux qui militent pour l’ouverture des médias et la liberté de presse, ses affidés opposent le passé de Zacharie Myboto, oubliant que le président de l’Union Nationale fut ministre de l’Information dans un contexte de parti unique. «Les références régulières au passé des uns et des autres ne sont pas pour permettre à Ali Bongo de mieux habiter sa fonction et de prendre la mesure des enjeux. D’une part, elles le contraignent à demeurer l’ancien ministre de la Défense et, d’autre part, elles le maintiennent dans des questions d’intendance, l’empêchant ainsi de prendre la hauteur nécessaire à sa fonction actuelle», analyse encore un ancien journaliste à L’Union.
Incertitudes
La personnalisation du débat politique semble être la marque de fabrique du mandat en cours. Convaincue que les leaders de l’opposition s’en trouvent gênés aux entournures, la majorité en use et en abuse jusqu’à lui faire perdre tout effet. Et, pourtant, bien qu’ils ne soient pas toujours à l’aise avec leur passé, les leaders de l’opposition, eux, s’efforcent de passer à autre chose, à une lecture plus juridique et institutionnelle des choses. Dans ses vœux à la nation, Zacharie Myboto l’a explicité : pour lui, le président de la République est autant illégitime qu’illégal. Contrairement à ce qu’auraient cru certains observateurs, il n’a évoqué ni la filiation ni les origines d’Ali Bongo, préférant camper dans le registre juridique et institutionnel. Dans le tohu-bohu ambiant, le Front de l’opposition pour l’alternance est persuadé de mener un combat pour le respect de la loi et des institutions. Mais, pour remettre à plat les institutions, il exige le départ de leur clef de voûte. Une tâche qui ne s’annonce pas de tout repos. Pour y parvenir, il mise sur une unité à toute épreuve, un soutien populaire massif et une neutralité bienveillante de la communauté internationale.
Pendant ce temps, la majorité au pouvoir se braque et bande les muscles. Le film complet des événements du 20 décembre dernier laisse croire qu’elle bénéficie de l’appui des institutions et forces de défense et sécurité. Convaincue du soutien ou tout au moins de la bienveillance de l’autorité judiciaire et du Parlement, elle est certaine que la requête en destitution introduite par Jean de Dieu Moukagni-Iwangou restera lettre morte. Certaine de pouvoir user de la «violence légitime» pour circonscrire ou mater tout mouvement populaire, elle dénonce ceux qui «violent délibérément les lois de la République, posent des actes de défiance à l’autorité de l’Etat tout en mettant en péril la vie de nos concitoyens». En ramenant le débat aux supposés agissements des leaders de l’opposition, Ali Bongo et ses soutiens refusent de tenir compte du point de vue des syndicats et de la société civile ainsi que de l’atonie qui gagne l’ensemble de l’administration, du secteur privé et plus largement du pays. En clair, ils se bandent les yeux devant le mécontentement qui se généralise et la lame de fond qui se lève. Visiblement, le président de la République se projette déjà vers son objectif ultime : la présidentielle de 2016. Mais, d’ici là, beaucoup d’eau va nécessairement couler sous les ponts. A l’allure où vont les choses, les jours à venir s’annoncent chargés d’incertitudes, périlleux. A moins qu’un événement imprévu ne contraigne l’un ou l’autre des camps à revoir sa copie.
0 Commentaires
Toujours admiratif de tes lectures , tu es un thermomètre crédible de l’opinion Gabonaise ..
Comme la Dimension le dit souvent: c’est pas en donnant un ordi a un singe qu’on en fera un intello.
2) le profil de nos agents de force de l’ordre est connu et tres souvent c’est Bac -6 ou -3. Quant aux garent de nos institutions ls mots me manquent. ils n’ont jamais pensés pr le peuple. Alors avc une telle sauce ou pensez vs qu’on fonce ??? ver un mur. une seule personne peut sauver le Gabon ( ABO) et il sait ce que le peuple attend de lui,
Penses-tu qu’il a l’intention de le faire?
Merci une fois encore pour cette belle analyse…
Pour mieux apprécier la situation du Gabon, il convient de ne pas apprécier les actes d’Ali Bongo comme ceux d’Un Président de la République.
Si vous mettez un élève de classe de 4ème des collèges dans une classe de Maitrise de droit, il vous rendra des Copies, non pas d’une étudiant de 4ème année de droit, mais d’un élève de 4ème des collèges.
C’est le cas d’Ali Bon. Il pose les actes d’Ali Bongo et vous voulez les apprécier au niveau de ceux d’un Chef d’Etat. Mais Ali Bongo n’est pas du niveau d’un Chef d’Etat, il est du niveau d’Ali Bongo.
La Fille de la Veuve par ce que le père est surement décédé que ta mère la veuve est l’héritière de son pipe te canalisant les canons. Je veux comprendre l’analogie pour mieux créer en moi l’ordonnancement de la pensée constructive. Voila sept ans épuisant la vitalité productive de la nation Gabonaise primitive soit-elle, Ali Bongo ordonnanceur de toute la dépense en lieu et place du peuple dans lequel ne se range alors pas ses propres égaux, conspiration des créateurs de la République, lui est un comptable. C’est pour cela, je pense qu’il va se soumettre à la vindicte du peuple qui ne le reconnait pas être de lui!, et là, c’est encore trop pour le pays soumis dans la contradiction déchirante. Ponts et chaussées et démolition de tout genre sont l’actif vanté tous les jours par leur communicateur donc enregistrés comme acquis du pays. La désolation vient de ses écrits qui ne reflètent pas la logique. D’abord, le souhait général d’une part, serait que les enfants de ce pays tous sans exception soient illuminés de connaissances Bac 5, là, le débat vaudra surement la destruction de l’amphithéâtre, d’autre part, les cieux constatant la perfection en ces lieux migreraient tranquillement ailleurs semer la contradiction épleurée. Le peuple est une essence qui dans l’osmose de la compréhension et la tolérance bâtit son utilité. Comme la contradiction est une vitalité en politique et ayant donnée naissance à la gouvernance par le peuple et pour lui, la République se construit de la politique incarnée par le concept idéologique qui permet de rassembler par famille de pensée en « Parti Politique » qui indique comment agir. Je l’ai appris et ne peut s’en défaire. Alors donne nous le fruit de ta pensée sur des logiques simples.
Merci, je suis Gd papi.
Merci Roxanne pour cette analyse pertinente. C’est toujours un plaisir à vous lire. Vous êtes bien placée pour porter un regard critique à la politique du Gabon parce que vous êtes Gabonaise, mais pas des gens comme Léon Tuam qui ne connait même pas l’histoire politique du Gabon, se permet d’ouvrir sa bouche pour s’emballer dans une fausse analyse de la situation politique et sociale actuelle de chez nous.
Je reste toujours attentif à tes analyses chère Roxane; encore une fois ta plume interpelle plus d’un. « La réussite est souvent collective mais, l’échec est individuel ». Un président est actuellement entrain de végéter partout, à travers le continent.
cordialement
le peuple attend son depart d ali bongo le biafrei.
Merci ROXANE pour ce decryptage qui est d’une justesse intellectuelle qui force l’admiration.
J’ai oublie de dire ont ete censures
Bel article,Roxane! Depuis déjà un mois et quelques jours,Gabonreview reste ma seule source d’information crédible. Bravo pour votre objectivité,votre impartialité,votre intelligence. J’invite autour d moi les gens à consulter ce site remarquable qui rend vraiment compte de la situation actuelle du pays. Encore bravo!
Je ne le crois pas à l’homme providentielle que simplement tout le peuple se soulève et fasse un pays mort j us qu’au départ de Alain MBONGO ou bongo j en sais plus rien.
Comme d’habitude, la plume de Roxanne transpire d’une analyse empreint de vérité quand au climat actuel de notre pays.
Bravo et très belle analyse.
Ce n’est même pas une analyse objective… C’est simplement la vérité.
Comment, même si l’opposition ne voulait, discuter avec un faussaire, un mec aussi arrogant et renfermé dans une bulle qui va bientôt lui éclater en plein visage?
Et revoilà GR dans les état d’âme et les jugements de valeur et, bien sûr, la responsabilité à celui dont on demande le départ et pas aux autres.
Avons-nous suivi le même discours de voeux? A quel moment ABO a-t-il refusé le dialogue? Comme le résume l’Union du jour c’est OUI MAIS et pas NON.
Un peu d’honneteté.
Je suis de ce qui espère la fin de ce régime. Simplement je ne pense pas que ça se fera en trichant avec nous-mêmes, en se mentant et en mentant aux autres?
Je répète ma position: ou bien nous sommes déterminés et on chasse ABO du pouvoir par la rue, donc le peuple, pas ceux qui perlent en son nom sur le net.Ou bien nous négocions pour limiter les dégats de ce régime et préparons sérieusement 2016.
C’est le moment de profiter pour obtenir le maximum de concessions.
u lieu de ça, vous même vous nous dites que Ping n’a jamais évoqué de dialogue avec Bathily.
Si ABO ne veut pas le dialogue, pourquoi les autres ne démontrent pas au
Alors on veut quoi?
Qu’ABO parte de son propre gré? Continuons à rêver!
Si ABO ne veut as dialoguer, pourquoi ne le mettons-nous pas face à son refus en appelant nous au dialogue?
On met le pays à feu et à sang? Personne ne sait qui l’emportera!
Qui aime bien châtie bien! GR est l’une de mes meilleures sources d’info. donc je suis exigeant avec vous. as de militantisme. Pas de partis pris. pas d’analyses du quartier. Des faits. d’abod des faits.
Aucu changement n’a eu lieu nulle part sans exigence de vérité et de responsabilité des promoteurs du changement.
Aujourd’hui, il nous manque crellement un Agondjo ou un Mamboundou.
En fait, tout ça est normal: de tous côtés, il n’y a que des pédégistes!!!
Cher Mfoulou, « A quel moment Ali a-t-il réfusé le dialogue ? », demandes-tu. Je te le dis : c’est au moment où il dit « le président de la République ne peut pas dialoguer avec les personnes qui violent délibérément les lois de la République, posent des actes de défiance à l’autorité de l’Etat ». Est-ce que tu te rappelles l’avoir entendu le 31 décembre ?
Au passage, j’ai un prénom, comme Patrick quoi,cher ami
Cela dit, faudrait quand même savoir à la fin.
Soyons logiques. Ce type est le Chef de l’Etat?
Si la réponse est non au sens où nous ne le reconnaissons pas comme tel. Je suis totalement en phase avec vous et d’autres.Il doit discuter avec tous ceux qui le somment de le faire, quels que soient leurs moyens et leurs propos.
Si la réponse est, hélas, oui. Qu’il est bien le CHEF DE L’ETAT, alors je ne comprends pas ce qui vous gène dans le fait qu’un Chef d’Etat ne puisse accepter de dialoguer avec des gens qui violent les lois de la République et qui posent des actes de défiance à l’autorité de l’Etat.
On parle de quoi et on veut quoi.
Je ne dis pas pas qu’ils ont mal fait ou bien fait. Mais quand les gens du Front maintiennent une manif interdite par celui qui incarne l’autorité en la matière (le ministre de l’intérieur), ils font quoi d’autre sinon défier cette autorité.
Petit à petit, je commence à comprendre notre problème. Et il est simple quoique difficile. Nous voulons jouer sur tous les tableaux en même temps, celui de la révolution et celui de la légalité. Or c’est l’un ou l’autre. C’est rarement les deux en même temps. Nous violons la loi à des fins révolutionnaires, pourquoi pas? Mais ensuite nous venons exiger le respect de la loi que nous ne respectons pas.
Si tout le monde comme GabonUni dit que c’est bien lui le Chef de l’Etat, alors en effet, il doit se cmporter come tel et non comme l’un des chefs de clans du Front.
Mais si c’est bien lui le Chef de l’Etat eh bien la Constitution et les usages lui ont aménagé un statut, des avantages et un minimum de respect de la part de ceux qui sont censés être ses gouvernés.
Voilà toute notre ambiguïté. Nous voulons qu’il se comporte en chef d’Etat en le traitant comme n’importe qui.
Une fois de plus nous devons choisir: ou c’est le Chef de l’Etat et on lui exige un comportement comme on lui reconnait des droits, une dignité et des prérogatives de Chef de l’Etat. Ou on estime que c’est un usurpateur et on le traite comme tel, sans en appeler en permanence au droit à la qualité de Chef de l’Etat et autres fariboles.
En conclusion, c’est ou la LOI ou la Révolution.
En d’autres termes le president doit agir comme un chef de l’etat et non comme celui d’un clan. belle analyse.
je suis vraiment désolé, de tous ces commentaires portés contre le Chef de l’Etat, je dirais mieux notre président, puisqu’il s’agit de la nation »Gabon ». de toutes ces analyses je me rends compte que le niveau d’analyse, reste trop bas pour certaines personnes qui, n’ont de mots que pour traduire la haine, vis-à-vis d’Ali Bongo. je pense que cette tribune devrait plutôt nous amener à placer notre réflexion à un niveau appréciable, à faire des propositions constructives, dans une métacognition digne de ce nom. je suis très gêné de lire ces lignes et je me pose cette question évidente: pourquoi perdre assez de temps pour écrire et ne rien dire de pertinent. le Gabon est notre pays à nous tous, et nous connaissons mieux que quiconque, notre histoire, je dirais même le vécu de tout un chacun. Et comme aimait le dire le défunt Bongo » le Gabon est une maison de verre », on se regarde de travers et de belle manière, on s’observe!!!, le problème du Gabon n’est tant sur le pouvoir en place, ou sur l’opposition, j’appelle ça la diversion et c’est le bas peuple qui reste jusqu’ici éternel prisonnier des appétits outranciers de ceux qui pensent s’exprimer au nom de ce peuple longtemps laissé aux oublis. je suis très désolé de l’acharnement mené sur la personnalité du chef de l’Etat actuel!!! je pense sincèrement en ce qui me concerne, que les gabonais devraient plutôt regarder la réalité des choses en face et comprendre humblement que dans la sous région d’Afrique centrale, quel est notre positionnement??? qu’est-ce qui se passe chez les autres en termes de développement??? finie l’époque des slogans du style le » Gabon c’est un pays béni!! c’est un pays riche » car c’est cet essentialisme qui nous plongés dans l’extrême précarité. le gabonais n’est pas « idiot » , encore moins paresseux, c’est la diversion qui nous ronge et nous détruit!!! sans parler de l’opposition ou du pouvoir en place, j’estime que chacun à son niveau est comptable de la situation de notre pays!!! cultiver la haine, le clanisme, le tribalisme, la xénophobie, ne profitera à personne, tout au contraire… que chacun s’arrête un seul instant pour réfléchir sur son »AGIR » et l’évaluer!!! car c’est beau de dire je suis gabonais 100%, c’est du français et pur slogan!! chez les autres, on parle développement, et non « EGO », on pense devenir et non les personnes!!! que Ali soit président aujourd’hui ou Ping demain, moi Martin Luther je suis quoi ponctuellement???et mes enfants ont quels avenirs??? c’est des questions pertinentes qui devraient interpeller chacune de nos consciences!!!, En plus nous sommes à peine 2 millions d’habitants, vous pensez que chacun de nous peut-être président de la république??? je dis non!!!! mais chacun de nous est capable de faire une chose à son niveau pour notre pays le Gabon. les pays qui se disent développés , ont tué l’industrie politique après la 2nde guère mondiale. on parle économie , industrie, recherche, développement de compétences… on est resté avec les mêmes personnes qui pensent nous apporter autre chose de nouveau pendant plus de 4 décennies!!!! c’est la désolation, la pauvreté, l’insécurité, les crimes rituels, le SIDA,l’ illettrisme, que sais-je encore!!!! j’en appelle à la conscience collective pour que chacun à son niveau pense Gabon d’abord!! pour un héritage glorieux pour nos enfants!!! car Dieu de dire » l’homme de bien fait fortune aux enfants ,des enfants de ses enfants » à bon entendeur salut!!! c’est mon propos pas de polémiques s’il vous plait!!!
Tes preoccupations sont bonnes. mais je ne vois à aucun moment un appel à la haine envers Ali Bongo. Il faut que le parti au pouvoir arrete de jouer aux victimes et de faire comme si les gabonais sont betes. il est vrai que le veritable probleme des gabonais n’est pas juste la personne qui est a la tete du pays, car le pays va mal de fond en comble.
En effet, ce n’est pas le chef de l’etat qui repond mal a nos compatriotes lorsqu’ils se presentent à la seeg ou dans les services publiques. De meme, ce n’est pas lui qui demande aux policiers de faire du raqueck . Cependant,Ali Bongo n’a pas respecté ses promesses electorales. Des lors, les gabonais ont le droit de se pencher vers une autre option politique quand bien meme cette alternance peut venir de Jean Ping qui a été avec Omar Bongo Ondimba.
Aucun intérêt de dialoguer. C’est un président élu et on est pas dans un cas de figure style « cohabitation » à la française. N’en déplaise à ce front, il faudra attendre 2016. Pour le moment le parti au pouvoir et le président gouvernent à leurs guises.
Toujours de n’importe quoi, Ping, myboto et son groupe pense que le peuple gabonais moyen ira dans la rue pour que vous venez au pouvoir.
Chers internautes, prenez la date d’aujourd’hui, Ce groupe d’individus s’ils pensent que le seul moyen pour prepre le pouvoir c’est inciter certains jeunes aveuglés aller dans la rue ,mais beaucoup pedrerons leu vie cadeau, les forces de l’ordre ne laisserons que que des bandits comme ceux qui se decalrent opposants pertudent le pays.On a veu dans d’autres pays les leaders de l’oppositions tomber sous les balles pour insiter la violence.
Quel dialogue? à chaque fois je pose la même question dialogue politique pour discuter quoi le poste de DC de la presidence, VPR? nominations? que ping revient au gouvernent começa ceux qui sont derniere lui seront nommé dans son cabinet C’EST ÇA LE DEBAT QUE LES BANDITS VEULENT?
le President Ali a organiser um debat sur la situation sociale , les vrais partis politiques qui ont l’amour du pays et de la population etaient presentes à cette racontre , ping et compagnie ont fait quoi refuser, par ce qu’ils ne veulent pas traiter les problèmes de la population. `A partir de leur atitude, leur comprtement egoiste montre que que tout ce bruit , du patage qu’ils font c’est pour leur propres interets et non l’interet de la population,
Deuxiement le presidente Ali , les gouvernent ils passent tout leur temps à les insultés. nous sommes africains avant de parler de la democratize. donc la democratie on ne respecte plus les uns et les autres?Comment tenir une racontre avec des tels individus qui ont la HAINE, XENOPHOBIE.
Des mauvais , ingrats começa, le defunts President BOngo qui a fait Ping ce qu’il est devenu aujoud’hui , Ping n’est pas le plus integent du Gabon ou de as generation, il y a des personnes lus puissantes que ce ping mais qui n’ont pas eu la même chance que Ping tous les postes qu’il a occupé c’est grace à Bongo.il a fait quoi, même pas se rendre à l’inauguration de son moselé em tat que citoyen. Mias il paiera tout cher les morts ne sont pas morts.
PAS DE DIALOGUE POLITIQUE ON VEUT LE VRAI DIALOGUE DANS LES UNES EN 2016 DANS UN AN.Presenter notre parti pour affronter le PDG.On va vous ecrasser comme des crabes dans les unes.
Ou rendez tous les milliards que vous avez volé, voila le vrai dialogue.
Si votre objectif c’est dire dialogue et revenir au gouvernement JAMAIS laisser les autres gabonais travaillés.vous avez fait votre temps , vous avez échoué. c’est fini.
Si jamais le PDG ne presente pas de candidat, je prefere voter um CHIEN que donner ma voix à l’un de ces terrorristes politiques qui ont piller le pays volé aujourd’hui ils sont au chômage.
Votre dernière phrase résume à elle seule symétriquement l’aversion que provoque votre maitre auprès de nombre de Gabonais et ce qu’ils sont prets à faire pour s’en débarraser.
Et ça ça n’a rien avoir avec les personnages que vous citez avant il vous est loisible de leur faire savoir ce que vous en pensez beacoup de Gabonais ont essayé de le dire pour votre maitre ils l’ont meme payé de leurs vies.
2015 s »annonce réellement l’année de tous les dangers, je réalise avec stupeur que la mort de Mboulou Beka n’arrête pas les va-t-en guerre du pouvoir émergent, il se trouve encore parmi eux des personnes à encourager toutes formes de répression au motif qu’ Ali est président et comme tel, il a le devoir de mater ses adversaires, ceux de l’opposition quitte à compter des morts…
Si je suis votre raisonnement, les Mboulou Bela et ceux qui sont détenus dans les geôles des différents postes de gendarmerie et commissariats méritent la mort?
Oui , pour le moment le parti au pouvoir et le président
gouvernent à leur guise , quitte à compter des morts….
Heureusement, il y a la CPI, parce que notre justice aux ordres
se fichent de la vie des gabonais de l’autre bord qui ont pour seul tort de croire que dans un pays démocratique ‘on peut manifester sans craindre pour sa vie.
Roxane, merci pour ton analyse de la situation politique du pays, c’est une vraie bouffée d’oxygène que de te lire.
Le pillage doit s arrêter et le développement de ce pays à un gabonais de souche qui respecte le peuple. Arrêtez le pillage svp avant de dialoguer et penser à bien être des populations, psychologiquement et moralement BOA n inspire confiance qu à ses courtisans voleurs et pilleurs qui doivent se maintenir à tout prix au pouvoir! Luttons jusqu’au niveau nécessaire où l histoire se reproduira. L opposition, la société civile agitent au point de non retour et de relais militaire ou intervention international.
Du Président Américain Roosevelt :
« Les grands esprits discutent des idées;
les esprits moyens discutent des évènements;
les petits esprits discutent des gens »
Tout en vous adressant mes salutations républicaines, je vous prie de m’excuser, mais je ne trouve pas ma place dans cette discussion !
C est triste de vous entendre jj vous allez les écraser comme des crabes pitié de toi comme tu ecrase les gabonais vous continuez à aimer l’argent du Gabon que vous bouffez. Mais votre pays gere par les étrangers c’est bon ou sont les 25.000 logement ou est le petit dubai de port gentil ou est l emploi des milliers d’étudiants qui galaire dans tout Libreville rien on ne voit rien ou sont les résultats après les états généraux de l’éducation et les université masuku et Uob rien mais jean jacqués tu parle de quoi les gabonais qui grève partout s’appellent ils tous Ping ou myboto je ne crois pas arrete de penser que t’es textes sont vrai tu veux fermer les gabonais les yeux penses tu que le Gabon petit pays qu’il est nos vieux parents sans force devraient se soigner quand les caravanes médicales viennent d’Espagne ou est l’argent du Gabon jj tu es pitié
Quoi que l’on dise ou pense, nous avons un Président de la République et cela jusqu’en 2016. Par contre, un PR doit rester au dessus de la mêlé et toujours entrevoir la résolution des problèmes. Contrairement à ce que certains de mes frères disent, c’est au PR d’inviter les uns et les autres au dialogue. Il doit être à l’initiative.
Être républicain quoi.
Le DIALOGUE c’est la volonte de discussion entre deux ou plusieurs personnes(parties,camps)pour parvenir a un compromi.
ET
La demission c’est l’affirmation de la volonte d’une personne a ne plus exercer sa ou ses responsabilites.
En ce qui est de la problematique actuelle chez nous pourquoi devrions nous aller dans tous les sens?
Il s’agit de quoi en effet? La violation de l’ARTICLE 10 DE LA CONSTITUTION.
Cette violation a ete faite par qui? LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE.
En realite , et ce n’est pas la presidente de la Cour Constitutionnelle qui le demantira, puisque Dieu sait combien d’Elus(Deputes,Conseilles municipaux) dans ce Pays ont ete destitues apres constatation de leur ineligibilite apres avoir, decele la fraude des documents tels son Acte de naissance…
La fonction de President la Republique voudrait qu’il ai un mandat de 07annees, il est en mi parcours. Qu’a t-il fait sur le plan politique des son accession a la magistrature supreme si ce n’est de museler les autres pouvoir: l’Assemble Nationale; avec un Parlement monocolor. CONSEQUENCE, il n’a plus d’INTERMEDIARES, ceux qui defendent l’opinion des plus faibles sont ABSENTS. Avec qui dialoguer car dans les deux chambres du Parlement ceux qui sont sences le faire pour la cause des faibles n’y sont pas. Ils ne peuvent diloguer seuls.
La Presse quand a elle est le net reflet de celui qui est au pouvoir. Elle (la presse)a tendance a la pathologie au mensonge et a la fabulation, en plus de l’extrapolation en faveur de ce dernier, que voulez-vous que la presse prive face si ce n’est tenter de reequilibrer l’injustice en devenant elle aussi partisane. A qui la faute de ce prejudice…. La Justice chez nous n’est pas rendu: que dire des crimes rituels, ou de falsification d’actes de naissance, pour quoi le pauvre doit-il faire la Taule et non pas le riche ces faux riches goinfres injustement et impunement de nos richesses.
Autants de questions que se pose la population desabuse.
Dans cette situation chewing-gum ou le pouvoir continu a se masturber des joyaux de la republique en muselant la presse par l’incarceration des journalites, Rependant la peure par l’intoxication de l’Utilisation du mot HAINE, sans PDG plus de PAIX possible, REPLI IDENTITAIRE.
Voyez-vous ces gents essaiment la peure, oui ils jouent avec avec la sensibilite en rependant la peur sur le peuple. Parmi les Gabonais seules ceux qui sont accroches gratuitement aux bien materiels qu’ils ne meritent peuvent soutenir ceux qui sont aujourd’huit au pouvoir a moins d’etre estampille d’une cecite implacable et d’un cerveau defaillant.
OU est l’amour du Pays et du peuple quand on evoque le mot haine a tout vent dans toute ces allocutions si on est soit meme porteur d’inimite, de mepris ou de detestation.
A lire ou ecouter ceux qui les defendent ici et la, juste entendre les memes refreins d’animosite de misogynie.
I l n’ya plus de parlement et la rue doit s’addresser directement au gouvernants de ce pays, il n’y a plus de place pour les faussaires( VIOLATION DE L’ARCLE 10 DE LA LOI FONDEMMENTALE) ici au Gabon nous voulons un Etat de droit pour nous et pour nos enfants.
Avec qui discuter puisque pour le peuple sa plate forme c’est bien la rue, et la rue a droit a la parole. Des hommes de mauvaise foi, l’entourage, conseil tres mal ce dirigeant qui pense qu’il doit frapper cette rue dont elle a devoir de protection. Un principe universel qu’a l’aisse le plus grand homme dit QUI VIT PAR L’EPEE PERI….
il est encore temp car au Gabon une AURORE SE LEVE MR.
il partira je vous le jure il partira
Tous ce blablatage ne sert strictement à rien. Nous exigeons le départ immédiat du président faussaire et voleur par tous les moyens, et ça va arriver.C’est inévitable.Les gabonais à 90% ne se retrouvent pas dans ce mafieux et machiavélique Ben Ali Bongo.Et en plus il est dans le viseur de cette communauté internationale dont on connaît la force de frappe.
Miss T,
pouvez-vous nous expliquer comment et pourquoi est-il dans « le viseur de la communauté internationale dont on connaît la force de frappe »?
Une fois que tous le recours legaux ( Justice, conferance nationnelle, Dialogue nationnal) seront epuisés, il ne restera plus aux gabonais qui veulent le depart d’ALI de le chasser par le violance. ALI est entrain devoir jusqu’à quel niveau les gabonais aiment leur pays. Nous n’aurons plus besoin d’un leader politique pour chasser ALI par la force.. Nous devons organier un seating dans toutes les provinces comme en Egypte pour demander son depart.
Il faut arreter avec Xenophobie. Si Ping , Myboto et compagnie refusent de dialoguer avec le President de la Republique et non Ali Bongo Ondimba c’est qu’ils ont un autre plan. Le President ne doit pas ceder a ces gens la qui ne savent rien que parler parce que la bouche n’est plus pleine. On exploite les attentes legitimes des populations gabonaises pour des luttes de pouvoir qui ne nous regardent pas. Si ils veulent regler leurs comptes, qu’ils le fassent en famille et arretent de faire chier le peuple gabonais! On attend 2016 pour faire le bilan!
mr Mangoumba avez vous une idée de la valeur d’une constitution? si oui alors vous êtes surement un étranger si non demandez aux juristes même pédégistes(les patriotes) de vous expliquer tout le sens d’une constitution surement les gens que vous citez sont devenus tellement pauvres qu’ils mangent à mindoubé? pour ma part je crois en la force de l’éternel qui peut changer en bien tout être humain donc si myboto, ping et les autres disent mea culpa je préfère leur accorder le bénéfice du doute renseignez vous sur les dispositions de la constitution pour être PR alors vous saurez qu’on ne bafoue pas la constitution
Moi en tout cas, je ne suis partisan du « il doit partir a tout prix ».
Certes il devra partir mais pas à n’importe quel prix.
De toutes les façons, le fameux article 10 refera surface lorsque les candidatures se feront connaître.
Mais dans tous les cas, moi perso, je me refuse d’avoir comme future PR un ancien baron du système qui a participé activement au déclin de mon pays.
Changer oui mais pas à n’importe quel prix
mon cher mike gabonais oui il devra partir par tous les moyens puisqu’il s’accroche au pouvoir comme un vampire tous les peuples commencent par revendiquer pacifiquement et si cela ne marche pas le peuple prends les armes n’ayons pas peur des mots oui j’ai utilisé le mot armes car cela n’arrive pas qu’aux autres régimes d’avoir des rebelles donc invitons le gouvernement à comprendre que la violence peut changer de camp et quand cette violence est celle d’un peuple opprimé DIEU EST AVEC CE PEUPLE au fait j’oubliais que pour les pédégistes DIEU N’EXISTE PAS ils se sont livrés corps et ames à lucifer mais attention » LORSQU’ON DÎNE AVEC LE DIABLE IL FAUT AVOIR UNE LONGUE CUILLERE
Lui il est diable et les autres des anges!!? vous avez une façon manichéenne de voir la politique.
Ouvrez des débats dignes et non cette caricature que vous avez des hommes politiques; discutez des idées s’il vous plaît:
Comment arriver à la bonne gouvernance?c’est quoi être Gabonais?c’est quoi l’identité gabonaise?le code de la nationalité gabonaise est-il d’actualité ou faut-il le revisiter?c’est quoi être Gabonais d’origine?
Neto vous êtes surement un angolais donc faites partie de la légion étrangère donc je n’ai pas dit que le faussaire est le diable il faut savoir étudier un texte et en comprendre le sens profond à l’école avez vous entendu parler d’une matière appelée »ETUDE DE TEXTE »? donc cogitez et vous trouverez le sens du proverbe au sujet du diable c’est quoi être gabonais? c’est quoi être gabonais d’origine? je vous invite à lire les conditions d’obtention des maisons proposées par la snls émanation de votre dieu ali bongo mais comme vous avez juré que dans tous les pays il y ayra des originaires sauf au gabon peut être que vous aussi voulez être notre PR
juste pour dire a mfoumou que ali bongo ne peut pas parler de violeur de loi puisqu’il est lui même un violeur de lois en chef ok. aussi mfoumou lors quelqu’un te demande de lui prouver tes allégation la chose la plus simple que tu puisse faire est de lui en donner des preuves oui ou non ? alors toi qui a le numéro de téléphone d’ali appels le dis lui nous aider en produisant les preuves ensuite je m’efforcerai a faire partir de son équipe de campagne aux présidentiel de 2016 je te promet.
cher ami, et j’espère compatriote, Ali Bngo a violé la loi selon toi. Donc ça justifie que les autres violent la loi à leur tour? Dans ce cas, c’est match nul entre bandits. De quoi nous plaignons-nous alors?
9a ne te rassurera pas derrière ton pseudo, ais je ne coonnais pas ABO, je n’ai pas son téléphone et y a très peu de chance ou de risque que je l’ai. OK?
Pourquoi faut-il e^tre toujoirs traité de pédégiste ou de bongoiste dès qu’on commence à se poser des questions ou à poser des questions.
C’est hélas la preuve que tous autant que vous êtes n’êtes que des pédigistes. En boon pédégistes vous n’acceptez pas la moindre contradiction.
Que ça vous plaise ou pas, OBO a réussi son coup. Il vus a tous façonné, vous fonctionnez tous comme lui. Voilà pourquoi la libération ne me semble pas proche.Parce que vous voulez rempalcez des pédégistes que vous aimez contre des pédégistes que vous détestez.
Vous me parlez de preuves qu’il doit apporter. Je l’ai déjà dit, ce débat ne m’intérèsse pas parce que c’est un faux débat que ça vous plaise ou pas. Ce débat est même la preuve terrible du niveau de petitesse de l’opposition gabonaise qui n’a plus qu’une histoire d’acte de naissance pour virer ABO alors qu’il y a tant de chose lus importantes pour le quotidien des gabonais.
Une histoire d’acte de naissance dans un pays où, à mon avis, au moin 75% des gens ont un faux acte de naissance, ne fut-ce que pour des raisons scolaires. Aucun de vos héros n’a d’actes de naissance. Vous le savez. Tous ont des jugements supplétifs, y compris pour des « évolués » comme Ping.Alors on parle quoi? Pourquoi depuis que cette affaire a commencé on ne nous publie pas dans Echo du Nord tous les lundi tous les actes de naissance des chevaliers vertueux du Front? Je mets tout ce monde au défi. Chiche! S’ils le font on découvrira trop de saleté cachées. Tiens, commençons par celui par qui tout ça est arrivé: Bengono, je suis pour ma part persuadé que s’il faisait un test adn, il serait plus proche d’Obiang Nguéma Mbasogo que de Ntoutoume Emane. Alors arrêtons…
Quand Myboto pillait avec OBO, je suppose qu’il était congolais selon votre logique.
Il paraît que vos Dieux d’aujourd’hui ont changé. tant mieux pour nous tous.Et tout le monde a droit à l’erreur. ais dites moi vous avez oublié que la fortune insolente des Myboto n’est que le fruit du pillage de notre richesse commune. Il parait qu’il suffit de s’excuser et d’attaquer ceux qui sont aujourd’hui au pouvoir pour être lavé de tout péché.
Libre à vous de croire que tous nos amis du Front ont arrêté de vivre, penser et agir en pédégiste. Moi, je n’y crois pas. Ils n’ont pas été formatés à agir autrement qu’en prédateur et en ennemi de la liberté du peuple gabonais, comme tout bon pédégistes. Ce n’est pas à 70 ans qu’ils vont entamer des carrières de démocrates.
Jusqu’à Ndong Sima que tout le monde insultait ici il n’y a pas longtemps. Maintenant qu’il vomit ce qu’il a adoré il devient saint. eh ben!
Je ne commencerais à accorder du crédit à ces gens que le jour où Myboto et ses enfants, Ping commenceront à rendre les biens qu’ils nous ont tous piqués. Là, comme vous, je les suivrais les yeux fermés.
construisons demain. rationnellement. sans passion en acceptant qu’on ne peut pas toujours avoir raison.
Si tous les Gabonais adhèrent à ce programme minimum, le PDG est foutu. Mais je ne rêve pas trop. Il n’y a presque que des pédégistes dans ce pauvre pays: pédégistes d’hier, pédégiste d’aujourdhui et pédégistes de demain.
Quand Echo du Nord en est réduit à nous faire la promotion du truand libanais Bourgi. Vous comprenez que je désespère de tout. Les Bourgi et autres françafricains sont parmi les responsables de nos malheurs, idem pour Péant et autres.
Si vous pensez qu’ils nous aident, vous êtes vraiment naïfs. Pire, Bourgi ne désire qu’une chose se rabibocher avec Ali et revenir bouffer notre manioc. Et c’est ça vos références. pauvre Gabon!
Pean n’a absolument rien révélé. Il n’a fait que dire ce nous savons depuis toujours.
La seule différence, c’est qu’il a permis aux Gabonais d’en parler ouvertement et de prendre pour responsable/couverture le livre de Pean.
https://www.youtube.com/watch?v=GrhJ5DF_gKo&feature=youtu.be
Vraiment vous voyez juste, et ce qui m’intéresse la dedans c’est ce que pense Dieu.
Chere Roxane merci pour cette analyse que tes fans se délectent mais pas moi car comme le dit la bible quand tu as le savoir c’est comme quand tu es fortuné; c’est pour servir les autres et non les opprimer.Éduquez vos lecteurs, vos partisans. les maintenir dans la caverne c’est pas la solution.
Si tu n’as pas le courage d’appeler ton propre père papa (c’est une image), alors ne lui demande pas de te rendre des services car tu as honte de lui.
Demandez aux leaders de l’opposition de rester des légalistes, de respecter les institutions ainsi quand ils prendront le pouvoir ils vont garantir leurs respect. Car ce jour la ceux du pouvoir vont devenir l’opposition et eux le pouvoir en place ce n’est qu’un jeu. Et la je me demande; En ce moment permettront ils à la nouvelle opposition de faire des marches, des meetings et des sit-in tous les jours comme ils le voudront? la réponse est NON et on dira dans un pays organisé tout ça est encadré.
Accepteront ils de se faire dicter une conduite ou recevoir des injonctions de la nouvelle opposition qui dira aussi parler au nom du peuple comme ils le font maintenant?
Ne faites pas aux autres ce que vous ne voulez pas qu’on vous fasse.
Si je ne reconnais pas que tu es présidente alors pourquoi viendras tu obéir à une injonction même pas un souhait de t’asseoir sur ma table?
Alors on arrive aux 2 options:
– soit tu optes pour le non respect des institutions et tu pars jusqu’au bout de la logique avec tout ce qui va avec coups et blessures dans les deux sens et le plus téméraire l’emporte et là tu ne parles plus de violation de tes droits car tu optes pour le chao;
– soit tu optes pour la légalité et donc au respect des institutions à partir de la tu parles et te comporte en démocrate en promettant au peuple de faire respecter la constitution et les institutions quand tu seras au pouvoir. La ton invitation ou ton appel passera.
on ne peut pas avoir les deux désobéir aux institutions et parler de droit
« Et même si un courant très tendance se développe chez certaines marques, il s’agit plus souvent de collection capsule pour communiquer intelligemment que de vraie politique de fabrication »
Force est de constater que les belles paroles des uns et des autres n’ont pas été suivies d’actes convaincants. Et c’est bien dommage. Les gabonais sont prêts. je voudrais ici parler d’un concept légué au bas de l’échelle de nos valeurs: le PATRIOTISME
Redevenir patriote et fier de son pays
Avant, l’amour de la patrie »GABON » s’apprenait à l’école, comme c’était le cas dans l’Amérique de 2014.
Les enfants chantent l’hymne national chaque matin et assistent à la levée du drapeau dans beaucoup de villes. Un petit geste simple qui leur rappelle leur attachement aux valeurs de leur pays. Nul n’ait besoin de rappeler, dans tous les matchs américains, la ferveur du public la main sur le cœur, chantant l’hymne américain.
Allez demander à un américain-cubain, russe, chinois, grec… s’il n’est pas fier du pays qui l’a accueilli, lui ou ses parents et pour lequel il travaille très dur.
Le patriotisme n’est pas un gros mot !
N’est-il pas temps de tout reprendre, comme à l’école de nos parents ? LEON MBA, JEAN HILAIRE AUBAME, NGONDJOUT, DAMAS ALEKA, PAUL MARIE YEMBI, LUBEN MARTIAL NTOUTOUMOU……qui sais-je encore???
Certes, ce ne sera pas facile les premiers temps mais on peut rêver qu’avec l’envie et la persistance on arrive à quelque chose.
Réapprendre la concorde (même si je suis d’avis qu’une bonne refonte des paroles ne serait pas un luxe) aux tous petits, leur apprendre le sens des fêtes nationales : raconter la Première Guerre mondiale et ses héros du 11 novembre, parler de la Résistance et des migrations bantu, expliquer le sens de la fête du 17 aout, du 12 mars, 1er mai et le combat de certains pour les droits des autres…
Rendre la fierté aux gabonais d’être gabonais et ce, quelle que soit l’origine de leurs ancêtres. On participe à la vie d’un pays en y habitant et chacun doit pouvoir marquer de sa petite empreinte cette histoire.
Il faut redonner l’envie. Le Gabon a de si belles réussites à son actif ! Et sur tous les plans !
Reprenons l’histoire de la médecine moderne, faisons que chaque enfant s’approprie l’histoire de nos grands écrivains, peintres et artistes de talents. Rappelons que Gabon ,il y a moins de 45 ans(année 73) était le pays de toutes les convoitises et que cela dura des décennies.
Soyons fiers de notre belle hospitalité, de nos valeurs et notre diversité culturelle dans le monde, du renom de nos de ancêtres et de leur vécu glorieux!! à la face mondiale !
aucun gabonais n’a pas le monopole du patriotisme
Le problème, c’est que depuis des lustres, on a confondu nationalisme et patriotisme, laissant une place de rêve à l’édifice « Gabon » pour s’y engouffrer.
À gauche comme à droite, on a tout simplement oublié d’être fier du Gabon. Une aubaine que nous ont léguée nos ancêtres.
Et si le vote de 2009 ( dernières élections présidentielles) est un vote contestataire, c’est aussi un vote pour sauver le Gabon de sa mine si déconfite. Une volonté de ces électeurs de retrouver un Gabon fort, uni et rassurant……
Tout le monde peut jouer un rôle Celui des médias, celui des entreprises, celui de chaque individu.
Une entreprise a réussi un produit, un pari fou, une progression de ses ventes ? Communiquons le en interne, remercions les d’y avoir contribué et mettons en avant ceux des salariés – à tous les échelons – qui ont été les plus méritants. À l’américaine.
De même, invitons la presse à positiver l’image du Gabon en mettant en avant aussi ce qu’elle fait de mieux. Balayons le pessimisme ambiant d’une nation qui ne croit plus. Redonnons-nous les uns les autres, le moral en nous permettant de croire encore même quand ce n’est pas facile.
Il faut qu’on retrouve l’espoir
Regardons nous en face et dans les yeux, pas pour nous insulter, mais mieux nous connaitre, et mieux nous comprendre. car le véritable problème est que nous gabonais , on se connait mal et même presque pas. la critique, la calomnie, l’humiliation, l’invective, la violence dans toutes ses formes, nous éloignent les uns , des autres, et le temps de connaissance des uns des autres se fait rare. combien parmi nous, et même parmi nos enfants naissent à LOUIS, mais ne connaissent pas Bikélé???? combien sont installés à libreville, et ont oublié MVEZE? AKAMSI? AKOU’AFAM? MBOLOZOOK? MULINGUEBINZA? MEKAMBO? AKATA?….
Analysons les espoirs fous que nous portons sur nos panthères, quelques individus et la fierté quand la victoire se profile ! Ce qui est possible en sport doit l’être de façon plus élargie. Il n’y a pas de raison. d’être unis sur un terrain de football pour un match de 90 minutes, et ne pas l’être partout ailleurs!!!
Si pour une fois on arrêtait de se poser en victime pour se relever ?
Oui, il faut nous dire les uns les autres( gabonais) que ce ne va pas être facile. Mais il faut surtout qu’on se donne l’ envie d’y croire et de croire en notre pays.
Oui, le Gabon va mal… Et alors ?
On s’étonne que tant de personnes lorgnent du côté de l’étranger mais les gouvernants depuis des années n’encouragent pas à la pensée positive et combative.
Encore une fois, c’est la différence avec l’Amérique, qui se relève plus rapidement parce qu’elle a appris à se battre dès l’enfance. Ici, à l’école, on apprend dès les petites classes que ton destin est entre tes mains et que si tu y crois tu peux y arriver.
Et si l’Amérique continue de raconter de belles succes stories c’est parce qu’on peut encore naître pauvre dans ce pays et devenir millionnaire. À force d y croire et de se battre pour atteindre ses rêves.
Mesdames et messieurs ,chers compatriotes, les hommes politiques ne doivent plus être les seuls dépositaires de la fierté nationale.
Certes, il y a quelques tentatives à gauche(opposition) comme à droite(majorité). Mais en paroles seulement.
Il est temps de passer aux actes et de réveiller le sentiment de fierté d’un beau pays qu’on draine vers le bas.
Enfants, hommes, femmes, vieillards, de tous pays, vous avez choisi le Gabon comme terre d’accueil. Ce n’est pas pour rien. C’est pour ses valeurs et ses principes.
Alors tous derrière le drapeau vert-jaune-bleu ! pour que seule la maison « Gabon » vive et brille encore et toujours à la face du monde!!!!! c’est mon propos juste une analyse constructive nous fera avancer!!!!
Franchement, nous sommes des rigolos, nous les gabonais- Patience nous fabrique une histoire à la con- mère à 12 ans, on l’avale- pendant plusieurs années, on nous impose quelqu’un, qui dans son fort intérieur sait qu’il est d’origine négériane meme si, élevé au gabon- Il n’ya qu’à regarder son comportement, c’est un NIIGEE tout craché, sanguinaire- on est la pour vouloir dialoguer- Dialoguer avec qui ? Les étrangers ne nous ont pas assez spolié ? Aujourd’hui, on attend tout de l’opposition, alors que cela devrait etre un sursaut patriotique, tous les gabonais comme un seul homme. On ne dialogue pas avec quelqu’un qui ment aux gabonais- AUJOURD’HUI, COM DG AU BUDGET, Un Béninois 100%- meme si on lui adonné le nom OTANDAULT, parce qu’étant homonyme d’un gabonais qui etait chef de quartier Rombindjozo. on sait qu’il est béninois- demandez aux vrais porgentillais-
Même si Ali aurait 10% aux élections présidentielles de 2009, c’est quand même des Gabonais qui auront voté pour lui; quand on revient dans la réalité, Ali a eu plus de suffrages que les opposants partis en ordre dispersé (pourquoi ne reconnaissez vous jamais que tant que l’opposition n’aura pas pas 1 candidat unique, le pouvoir gagnera toujours?); Le PDG est une grosse machine, « on monte, on descend »!
Quand je lis les journaux indépendants dits journaux de l’opposition, je suis souvent édifiée par les informations
confidentielles sur le pouvoir , les Accrombessi, Ali
bref son entourage, ça me surprend au point où je me dis que ces informations ne peuvent venir que de proches, mais vraiment proches d’Ali….C’est dire que à ta place Bassomba j’émettrais quelques resserves.
Pour le reste tu as parfaitement raison, c’est pourquoi, on va suivre ton conseil, l’opposition ne doit plus aller en ordre dispersée
j’ai une question, Est-ce que légalement on doit être uniquement Gabonais pour occuper un poste de responsabilité comme celui de DG, ou alors les étrangers peuvent aussi le faire? je ne parle pas de la fonction de Président de la République.