L’ancien Premier ministre, candidat des Républicains à la présidentielle française, a réaffirmé sur RFI ses doutes quant aux résultats obtenus par Ali Bongo au terme de la présidentielle d’août 2016 au Gabon.

Sur RFI, François Fillon a semblé reconnaître la première élection d’Ali Bongo en 2009 et non la seconde de 2016. © Sipa
 

Après Emmanuel Macron la veille, c’était au tour de François Fillon d’être interrogé par RFI, jeudi 6 avril, sur la politique qu’il entend mener vis-à-vis de l’Afrique s’il est élu à la tête de la France. Le candidat Les Républicain, ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy, n’a pas échappé à la question sur «la réélection très controversée d’Ali Bongo» au terme de l’élection présidentielle du 27 août 2016. Il a confirmé les doutes qu’il avait déjà émis le 2 septembre 2016 sur le plateau de la chaîne d’information publique Franceinfo : «(Ali Bongo n’a pas gagné l’élection), c’est ce qu’il semble ressortir de toutes les analyses des observateurs, et en particulier de celles des observateurs européens.»

Pour l’ancien Premier ministre, qui s’est curieusement gardé de critiquer le mutisme de François Hollande sur la question, «la France ne doit pas soutenir des pratiques anti-démocratiques». Et parmi ces «pratiques passées qui doivent disparaître», aussi bien au Gabon que partout sur le continent, François Fillon a semblé inclure la «Françafrique», dont il est lui-même accusé de tirer quelques avantages à travers son ami Robert Bourgi, avocat franco-sénégalais, principal visage de cette politique, dont il a estimé qu’«on lui attribue des pouvoirs qu’il n’a pas». N’empêche, le «monsieur d’un certain âge (à qui la France) a attribué la Légion d’honneur» est bien connu des cabinets présidentiels africains, y compris gabonais, au point qu’il considérait le défunt président Omar Bongo Ondimba comme son «père». Sur les plateaux de télévision, France 24 notamment, Robert Bourgi s’est d’ailleurs souvent vanté d’avoir contribué à l’«adoubement» d’Ali Bongo par Nicolas Sarkozy en 2009.

Pourtant, sur RFI, le candidat des Républicains a perçu la «Françafrique» comme «un fantasme». Celle-ci, a-t-il prétendu, «n’existe plus aujourd’hui au sens où elle a existé dans le passé». Aussi, lui président élu de la France, «la seule attitude qui sera la (sienne) sera le respect de l’indépendance des pays africains et le respect de la démocratie». D’autant que, selon lui, «la France ne doit pas venir au secours des dirigeants africains qui manipulent les élections».

 
GR
 

0 Commentaires

  1. Jean Jacques dit :

    Cê conste a lei plaisir de Parker eu Gabon em publicar q lê Gabon está independente depois .Quelle democratie parte t il ?Eu chão com me enviar libye?

  2. Pala dit :

    On fait monter les anchères pour qu’ali bongo mouille et les gabonais sont contents pensant qu’il est leur ami.
    Ils ont tous besoin d’argent pour leurcampagne!

  3. Ma fierté dit :

    Si il ya une personne qui doit venir parlée des problèmes du Gabon pas toi Mr fillon,arrange d’abord t’es problèmes avec la justice française.et ensuite continue à faire tes réunions avec jean ping qui se balade dans toutes la France en pleurant le pouvoir.tout les pays francophones on les Mêmes problèmes grande différence avec les pays anglophones.

  4. SANDJO Stephane dit :

    Que penser d’un homme qui affirme l’existence d’un cabinet noir qui n’est qu’une fumisterie et qui sera dans un mois devant les juges face à ses agissements..pour aboutir à un non lieu ?
    Existence d’un « cabinet noir » : la réponse du patron de la DACG http://eur1.fr/nADIokg via @europe1
    Que penser d’un homme qui s’est enrichi sur une pratique occulte de l’assemblée nationale qu’il a nié puis il a présenté des excuses.. Menteur ?
    Les français vont le sanctionner dans les urnes. Que vient il faire des commentaires sur une situation qu’il ne maîtrise pas. Que viennent prolonger les journalistes de RFI plutôt orientés PS et de gauche dans leur questions bisounours sur le Gabon ? Ingérences et maladresses. La France n’a que le poids de ses manœuvres maladroites au Gabon. Que la France et l’Europe viennent appuyer par le conseil les reformes des institutions et des textes. C’est au pied du mur que l’on voit le maçon

  5. Moubouloukou dit :

    Le Gabon c’est pas la France, que François Fillon se taise et laisse le président du Gabon tranquille car à cause de leur politique malhonnête et opportuniste ils ont pillés, spoliés et retardés le Gabon à tous les niveaux donc que Fillon aille se faire voir ailleur et aux gabonais de la France sachez que le linge salle se lave en famille donc arrêtez de faire dansl’exhibition mais plutôt rentrez au pays pour qu’ensemble nous puissions le développé avec nôtre propre politique et nos propres valeurs.

  6. BUKETI dit :

    Les politiciens français donnent l’impression d’être des girouettes, en ce qui concerne la question de la validité des élections en Afrique et plus particulièrement la présidentielle au Gabon, en ceci que, lorsqu’ils sont candidats à la présidentielle, ils promettent, pour le moins, de tempérer les excès de la françafrique, sinon de la supprimer. Mais dès qu’ils sont élus Président , ils s’empressent de couver le bongoïsme d’yeux doux de filous, coquins, chenapans, canailles; au nom de ce qu’ils appellent « les intérêts supérieurs de la France.
    On ne peut pas appeler de tels gens des « hommes d’Etat ». Ce ne sont que de piètres hommes politiques pour certains, et de vulgaires politiciens pour la plupart. Sans conviction, sans vision, sans raison, ils salivent pour des gains privés, se mettent au service des causes innommables, galvaudent les principes qui ont fait, jadis, la grandeur de la France, qui était alors reconnue comme étant « la nation des droits de l’homme »…
    _Le binôme De Gaulle-Foccart a fondé le système de prédation néo-colonial.
    _ Pompidou, Giscard, Chirac l’ont maintenu sans équivoque.
    _ Mitterrand a vaguement pensé pouvoir le réformer: Echec retentissant!
    _Sarkozy l’a transformé en le renforçant, en le cannibalisant.
    _ Hollande l’a carrément privatisé; en a fait exclusivement une coterie mafieuse, entièrement au service du CAC 40.
    _ Et voilà que Fillon et Macron, par des sophismes de haut vol nous promettent la lune; quand ils savent bien eux-mêmes qu’ils n’ont que des tensions et des gnons à nous servir, et du pognon à recueillir de la poche sans cesse appauvrie du juteux Gabon.
    Mais les Gabonais ne sont plus dupes: ces gens le savent, de plus en plus.
    LA LIBERATION DU GABON SE FERA. IL VAUT MIEUX, POUR LA FRANCE, QUE LES ELITES DE CE PAYS LIE AU NOTRE PAR DES LIENS HISTORIQUES JUSQU’A PRESENT IRREVOQUES, JOUE UN ROLE POSITIF ET DETERMINANT DANS CETTE LIBERATION. S’IL EXISTE UN VERITABLE HOMME D’ETAT EN FRANCE, CE PAYS QUI N’A A LA BOUCHE QUE LE MOT D' » INTERET », CET HOMME COMPRENDRAIT AISEMENT QUE LEDIT INTERET POUR LA FRANCE, EN CE QUI CONCERNE LE GABON, SERA PLUS ASSURE SI BOA, SON INCONSTANCE, SON IMMATURITE D’ENFANT FAISANT JOUJOU AVEC LE FEU, SON DON DOUTEUX DE SE METTRE TOUT LE MONDE A DOS… QUITTENT DEFINITIVEMENT, ET SANS REMOUS REDHIBITOIRES,LE POUVOIR AU GABON.
    Mais y a -t- il encore, en France, des hommes d’Etat visionnaires, une opinion publique sachant manier la longue vue, et des électeurs à l’avenant?
    LIBERATION. SANS QUOI…

    • persquen dit :

      Bonjour
      je vais juste vous éclairer sur deux de vos réflexions.
      1°) Macron c’est plus qu’une bodrûche, c’est une montgolfière, exactement le même parcours que Pompidou, c’est à dire haut cadre de la banque Rothschild à Paris, mis en place en catastrophe par l’élite judéo-maçonnique française, comme Pompidou avait en son temps été placé là par nos comparses maçons après avoir dézingué le vieux (Charles De Gaulle).
      2°) A votre question  » y a t-il en France des hommes visionnaires pour porter un projet? La réponse est non, depuis le général De Gaule et la création de la cinquième république où il mit en place son plan de développement pour la France sur une durée de cinquante ans, rien après lui s’est fait tous les présidents qui lui ont succédé ont tous continué sur les acquis; et aujourd’hui la France s’effondre, son pacte sociale n’est plus que l’ombre de lui même, désindustrialisation etc etc. A tel point que CDG avait fait en sorte que la France nourrisse une partie de l’Europe de l’Ouest et bien notre dernière président  » Flambie 1° » a suivi les américains sur les sanctions contre la Russie. Je vous rappelle, que la Russie a toujours été notre premier client en production agricole et cela dès la fin de la seconde guerre mondiale.
      j’espère avoir modestement tenté de répondre à quelques unes de vos réflexions et le conseil que je pourrais donner au Gabon, ici au Gabon comme en France,ne Vous emmerdez pas avec tous ces personnages qui font des déclarations aux quelles eux mêmes ne comprennent pas puisque c’est un pseudo conseiller à l’Afrique qui leur glisse les réponses. Aujourd’hui aucun d’eux ne connait l’Afrique, ils ne disent que ce que les gabonais veulent entendre, c’est de la poudre aux yeux.

      • BUKETI dit :

        @ Presquen.
        Merci pour votre intervention bienveillante à l’égard des Africains et les Gabonais en particuliers, concernant les politiciens français. Mon remerciement est d’autant plus appuyé que j’ai cru comprendre que vous seriez Français (e) et que vous résideriez en Afrique. Vous me démentirez si je me trompe. Je reçois donc votre éclairage avec joie.
        Quant au conseil, je vous dirai simplement que vous prêchez à un convaincu.
        Mon souhait est que l’opinion publique, en France, réalise que la France et chaque pays africain ont réellement besoin de se prendre au sérieux l’un l’autre, et de développer une véritable coopération d’Etat à Etat, sur des bases saines. Si l’opinion publique comprend cela, elle saura le faire comprendre à ses dirigeants; car, là-bas, contrairement à ce qui se passe ici, les pouvoirs publics se soucient des préoccupations de leurs électeurs potentiels. Vous nous rendriez là un fier service.
        Amicalement.

        • persquen dit :

          Bonsoir Buketi
          A votre interrogation de savoir si je suis Français, oui administrativement, car je suis avant toute chose Breton, et pour la petite histoire l’ONU reconnait encore deux colonies à la France, la Bretagne et la Polynésie Française (Tahiti)et je réside au Gabon, car mon épouse est Gabonaise.
          Maintenant je vais vous développer ma vision sur les relations futurs entre les peuples. il est claire qu’aujourd’hui la vision que nous avons, aussi bien en France qu’en Afrique francophone, est pollué par les médias, surtout télévisuel que nous suivons tous vous et moi. Les images et informations distillées par ces médias sont totalement faite pour nous haîr. Les personnes qui possèdent ces médias vous en connaissez, il y a celui qui a canal+ pour ne pas le cité possède aussi la presque totalité des ports francophones en Afrique, pensez vous que ces personnages souhaitent eux un rapprochement des peuples????. demain le Français profond qui se lève tous les matins à 5 heures du matin pour aller gagner son SMIC et payer ses impôts apprend que quelques types du club Bilderberg se gavent du fric en FCFA et qu’ils vont apprendre que les Africains disent que les blancs vivent à ne rien foutre chez vous sur le dos des pauvres Africains?. Vous voulez un nouveau 1789 en France???. Il faut bien comprendre aujourd’hui, ils sont environ 300 ou 400 en France à tirer les ficelles du système. J’ai travaillé et vécu 30 ans en France avant de venir chez vous au Gabon, Je sais de quoi je cause en terme de fiscalité en France et je vois aujourd’hui le passage du FCFA par Paris et je peux certifier que peu de Français sont dans la combine et que même aujourd’hui la fuite des capitaux Africains vers des banques Privées remonte à Pompidou et sa loi de 1973 sur l’obligation aux états de UE naissante de ne plus s’autofinancer par la planche à billets mais par l’achat d’argent dans les grandes banques privées mondiales. J’espère m’être exprimé clairement sur la relation entre peuple, car c’est celle là qui est importante et c’est celle là qui fera bouger les lignes de pensées, aujourd’hui, une nouvelle génération de Français arrivent ici en particulier au Gabon, Mais aussi dans toute L’Afrique francophone, on n’est pas des « expats, on a tous quitté en France bien souvent par amour pour un ou une Africaine, en France je n’ai plus rien. Je vis ici au Gabon, je reviens du Village d’origine de mon épouse où j’y ai débroussé avec mes beaux frères la plantation de cacao et de banane de la famille. C’est avec cette nouvelle génération de Français que l’on va faire bouger vous et moi les lignes imposées par quelques « nantis » de cette pseudo république Française soi disant égalitaire et fraternelle et de quelques un ici qui profitent du système. Mon cher Buketi les politiciens n’ont fait bougé aucune ligne, ils ont toujours bougé avec les lignes. Citoyens,faisons bouger les lignes!
          Amicalement

          • BUKETI dit :

            Bonsoir Presquen
            Je me suis délecté de votre post. Informatif, citoyen au sens large et profond du terme, ce que vous dites est percutant et de nature à « faire bouger les lignes », comme vous le souhaitez; de façon engagée mais sereine, parce que intelligente et honnête. J’adhère parfaitement à cette vision, à cette exigence. Beaucoup de mes compatriotes aussi, je le sais.
            Du reste, parlant de « compatriotes », je me réjouis de saluer en vous quelqu’un aimant ce pays, le Gabon, au point de s’y être intégré de façon positive; du moins à en juger par le fait que vous avez épousé une Gabonaise du cru, par votre expérience du village gabonais, par les travaux champêtres dont vous avez fait état et, immanquablement, pour avoir sûrement éprouvé cette sensation saisissante de la vie simple qui caractérise nos terroirs. Or, il est difficile de se sentir profondément Gabonais sans avoir connu, ne serait-ce que pendant un laps de temps, le charme des travaux champêtres, de la vie en forêt, sous les frondaisons que perce une lumière laiteuse et que berce un concert insoupçonnable de chants d’oiseaux et de stridulations d’insectes inspectant des fleurs rares qui germent au sommet des arbres géants nimbés de soleil. Sans parler de la vue mirifique qu’offrent nos savanes d’un vert doré, piquetées de collines semblables à des promontoires d’où l’on mord l’horizon à pleines dents, et au milieu desquels serpentent des rivières chargées de limon où vont boire, par lampées, de reposantes forêts galeries!
            Ce Gabon que j’aime, que vous aimez manifestement aussi, nous savons, vous et moi, qu’il a besoin d’un coup de pouce urgent et efficace pour, non seulement se sortir de la crise profonde dans laquelle il se trouve actuellement, mais encore pour ne pas mourir. Car, comme l’avait dit André MALRAUX à Libreville, dans son discours à l’occasion de la proclamation de l’indépendance du Gabon, en tant que Haut-Représentant de Charles de Gaulle: « Nous savons que toute civilisation est mortelle ». A combien plus forte raison un pays singulier, comme le Gabon…
            Voilà pourquoi je dois compléter mon propos sur les politiciens français qui nourriraient l’ambition de devenir de véritables hommes d’Etat, en les exhortant vivement à persévérer dans cet état d’esprit, à ne plus être des girouettes manipulées et manipulatrices, à enfin se doter des convictions qui aillent au-delà de la campagne électorale, et à la réalisation desquelles ils devraient travailler tout au long du quinquennat. Cela va sans dire que la société civile en France, au Gabon, en Afrique, l’intelligentsia du monde dit francophone, dans la diversité de ses éléments constitutifs, sont invités à se saisir, ensemble, de la question de la nécessité d’une dévolution démocratique et paisible du pouvoir en Afrique, comme le font actuellement les diasporas gabonaises en France, en Europe, en Amérique et même en Asie.
            Sur le territoire du Gabon, où l’on tire à balles réelles sur des gens qui manifestent pacifiquement, où l’on gaze même des enfants de dix ans qui réclament des tables-bancs pour ne plus avoir à s’asseoir par terre en salle de classe, où le débat réellement contradictoire est interdit ou biaisé, où même l’Eglise est largement noyautée par les sbires du dictateur…, il est nécessaire que la résistance continue d’adopter des stratégies et des modes opératoires de plus en plus variés, de plus en plus osés aussi.
            Je suis convaincu que la conjonction de tout cela fera en sorte que le Gabon connaisse son 1789. Ainsi tomberont BOA et son système. Et les Bolloré, Véolia, etc., l’ensemble du Club Bilderberg, la haute finance internationale ainsi que les autres prédateurs dont vous dénoncez les méfaits, devront se réformer; peut-être vertueusement, qui sait? S’adapter donc, « en bougeant avec les lignes », selon votre brillante formule.
            Les Gabonais agissent pour se libérer de la tyrannie; ce qui est, pour nous, non seulement un droit mais un devoir, une exigence qu’impose la Déclaration universelle des droits de l’homme, qui fait partie du bloc de constitutionnalité en vigueur au Gabon. Nous avons besoin de nous sentir coudoyés par les peuples et pays amis, par les organisations internationales encore lucides, par les intellectuels de bonne volonté, par des philanthropes, pour que notre action aboutisse; sans que le Gabon ne soit précipité à l’article de la mort par l’ennemi qui nous tient lieu de Président.
            Le Gabon est un petit pays, mais c’est un cas d’école, qui ne peut laisser indifférente une âme bien constituée. Mon cher Presquen, vous êtes une de ces âmes capables de « faire bouger les lignes », en transmettant votre enthousiasme aux autres.
            Amicalement.

  7. Lastrate dit :

    Pourriez-vous, s’il vous plaît, dire à ces candidats au poste de Président de la France que ce ne sont pas les Gabonais qui les voteront. De plus le GABON est fauché. ON N’A PLUS RIEN.

    • Akébé Vite !!! dit :

      pour être tout à fait complet dites aussi qui a donné notre argent à qui ? et pourquoi ?

    • Jean Charles MASSE dit :

      kiakiakiakia….
      @Lastrate,…. »fauché de chez fauché…. », maixant accrombessi, jean denis amoussou, seydou khane, jean fidele adjaou dit otandault…sont passés par là….
      kiakiakiakiakiakia…
      Patriotiquement

    • persquen dit :

      Bonjour
      Comme je l’ai dit pour votre compatriote BUKETI, ils ne font que répondre à une pression de la diaspora Gabonaise en France qui elle par contre va voter pour beaucoup d’entre eux. Donc comme je l’ai dit dans mon poste précédent, ils disent ce que les Gabonais de France veulent entendre, cela porte un nom, la pêche aux voix. De toute façon, Fillon et Macron, c’est la même tambouille, ils font parti tous les deux du club très sélecte « Des lumières » et aussi le dîner du siècle et bien-sur invité au club des clubs comme dit l’humoriste Camerounais/breton Dieudonné  » au dessus c’est le soleil » je parle du club Bilderberg. Et je peux vous garantir que moi le ntanga (le blanc en kota) et vous les colorés on ait tous que de la merde pour ces gens là. On est tous dans le même bateau. Regardez les américains, ils ont élu Trump, c’est la merde américaine qui l’a élue, le farmer, le paysan, l’ouvrier d’usine, le black qui ramasse les poubelles à Detroit ou l’hispano à Houston et là le Fillon ou le Macron américain ils font la gueule, ils ne sont pas contents. Donc ne vous occupez pas des élections en France, aujourd’hui elle ne peut plus rien pour vous en bien comme en mal, puisqu’elle a vendu avec l’air sarko sa france/afrique ou sa françafric a des lobbies industrialo/financiers à caractère totalement mondialiste.Ces mêmes lobbies qui font parties du club Bilderberg et voilà la boucle est boucler. Fillon Macron même combat « aller circuler il y a rien a voir »

  8. MWANE NYAMBI dit :

    S’il y a des doutes à avoir, c’est sur le double emploi de sa femme au parlement et à la revue des deux mondes et l’emploi comme attachés parlementaires de ses enfants.
    J’ai aussi des doutes que ce Monsieur ait restitué à Bourgi les costumes qu’il lui a offerts en échange de son soutien à Ping. La presse a fait état du don et pas de sa restitution.
    Merci aux français qui ne font pas confiance à ce truand.

    • Akébé Vite !!! dit :

      Quand il disait ca comme son chef il n’était pas escroc et Ping n’était toujours pas dedans mais maintenant ….
      http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2010-02-24/en-visite-au-gabon-sarkozy-soutient-ali-bongo/924/0/427522

      • MWANE NYAMBI dit :

        M. François Fillon aime l’argent. Dont acte.
        Il ne refuse pas les cadeaux, même les plus somptuaires, même s’ils émanent d’un mandataire de tyrans africains qui en est le porte-valise. Et alors? dira-t-il.
        Son goût de l’argent ou la peur de la pauvreté le conduisent à faire rembourser par sa propre fille les frais de son mariage et à facturer des consultations qu’il donne à un prix que, personnellement, je n’ai jamais eu l’occasion de réclamer à quiconque, sans doute parce que je suis beaucoup moins compétent…
        La France entière sait maintenant que l’homme qui conspuait l’un de ses rivaux, en mettant en exergue l’exemple du Général de Gaulle, dont il fit croire qu’il partageait la pureté quasi monacale, s’est révélé être un imposteur.
        Mais surtout, ce qui est le plus extravagant, c’est qu’avant d’être pris lui-même la main dans la cassette, il avait enjoint à son rival mis en examen de renoncer à présider la France, comme il l’aurait fait lui-même si cela avait été son cas. « Je donne des leçons que je ne suis pas obligé de suivre », pourrait-il dire.
        Se présenter comme un archétype d’homme intègre et désintéressé quand on a les poches pleines de l’argent public, constitue déjà, pour le peuple ébahi, un juste motif de colère. Mais imputer à un soi-disant cabinet noir ce que M. Fillon tient pour un complot cynique et inavouable incite à l’éclat de rire.
        M. Fillon ne prétend pas que ce qui a été révélé est faux. S’il ne rend pas l’argent, il rend déjà le costume. Ce qui a été découvert est donc vrai et, heureusement, le peuple de France l’a su avant de se laisser abuser jusqu’à voter pour lui.

    • OKAZAKI dit :

      On aurait pu s’attendre à une reponse un peu plus stucturée d’un individu qui a décidé de prendre parti pour un assassin, un criminel sans vergogne qui n’a pas hesité à bombarder le QG de son adversaire. Personne n’ignore que Bongo a perdu les elections car personne qui soit normalement constitué puisse penser que 99.93% des habitants d’une province aient tous decidé d’aller s’inscrire et de tous voter pour une meme personne. Vous ne trompez personne, que cela sorte de la bouche du colon ou pas Ali bongo n’a pas gagné et il doit s’en aller

  9. MWANE NYAMBI dit :

    La france entière attend des explications sur le détournement par lui de deniers publics et non sur l’élection d’Ali:
    s informations de nos confrères de Mediapart, François Fillon aurait encore menti sur l’emploi de sa femme Penelope Fillon en tant qu’assistante parlementaire. En effet, elle aurait été rémunérée à partir de 1982 et non 1986 comme l’avait expliqué l’ancien Premier Ministre.
    Encore un caillou dans la chaussure de François Fillon, et encore un possible mensonge… En effet, selon les informations de nos confrères de Mediapart, l’ancien Premier Ministre n’aurait pas été totalement honnête sur année pendant laquelle sa femme, Penelope Fillon a commencé à être rémunérée en tant qu’assistante parlementaire. Il avait annoncé que cela avait débuté en 1986, mais selon Mediapart, Penelope Fillon aurait en réalité commencé à être rémunérée en 1982…
    Elle aurait ainsi bénéficié de l’argent public dès le premier mandat de député de son mari grâce à « des contrats d’études ou de mission » comme le rapporte le site. Ainsi, ces contrats intéresseraient eux aussi la justice qui va tenter de déterminer si Penelope Fillon a réellement travaillé ou pas. Les forces de l’ordre rechercheraient ainsi les rapports qu’elle aurait écrit entre 1982 et 1986. François Fillon a été mis en examen le 14 mars dernier pour abus de biens sociaux, et détournements de biens publics dans cette affaire d’emplois présumés fictifs.
    Penelope Fillon ne dort presque plus
    Le 2 mars dernier, le domicile des Fillon a été perquisitionné. Une perquisition qui a traumatisé Penelope Fillon comme le racontait l’ancien Premier Ministre à des élus : « Le plus dur, ce qui me fait le plus mal, ce sont les treize heures d’audition qui lui ont été infligées. Elle n’en peut plus. Chaque matin, elle met le réveil à 6h30 car elle craint une nouvelle perquisition. »

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