Quatre jours après la tentative d’assassinat d’une fillette 3 ans : La mise au point de la justice
Quelques jours après la tentative d’assassinat de Marie-Catherine Ntsame Ovono, le parquet de la République annonce l’interpellation des auteurs présumés et rejette les rumeurs faisant état d’une supposée mutilation de l’enfant.
Eventrée à vif dans la journée du 3 juin dernier, Catherine Ntsame Ovono, retrouve peu à peu ses esprits. La fillette semble désormais hors de danger. Si les derniers jours ont été éprouvants, aussi bien pour elle que pour sa famille, le tribunal de première instance de Libreville a récemment annoncé que tout est mis en œuvre pour que les auteurs de la tentative d’assassinat dont elle a été victime paient le prix fort dans les plus brefs délais. Pour rappel, vraisemblablement kidnappée la semaine dernière par trois individus, la fillette de trois ans a été éventrée à vif, à en croire des témoins, dont certains ont contribué à l’interpellation des présumés agresseurs, pris sur le fait. A la faveur d’une déclaration de presse faite dans la nuit du 7 au 8 juin dernier, le tribunal de première instance de Libreville a notamment rapporté qu’en plus des deux Gabonais, dont une adolescente et un jeune homme, l’un des sujets interpelés est un Béninois vivant au Gabon sans titre de séjour.
Alors que le malheureux événement a donné lieu à des interprétations aussi diverses qu’invraisemblables, le premier adjoint au procureur de la République est revenu sur les rumeurs distillées sur les réseaux sociaux, dont la plupart se rapportent à la pratique malheureusement courante des crimes dits rituels. Une bien triste réalité qui sévit depuis plusieurs années au Gabon, sans que rien ou presque ne soit fait pour endiguer ce phénomène, dont l’explosion survient le plus souvent en période électorale où avant les nominations au sein des administrations ou institutions. «Nous tenons à préciser que la jeune enfant de trois ans, victime d’une tentative d’assassinat n’a subi aucune mutilation de quelque nature que ce soit», a par ailleurs déclaré Dick Fabrice Boungou Mikolo, selon qui les trois présumés agresseurs sont gardés à vue dans les locaux de la police judiciaire jusqu’au terme de l’enquête.
18 Commentaires
quelle enquête pour des criminel pris en flagrant délit. oh! la justice gabonais vraiment me déçoit. même pour des évidences il faut engager des interminables enquêtes.
Il sont fort pour trouver des armes que eux ont caché dans des iles que personne ne connait. POOUAHHHH
«Nous tenons à préciser que la jeune enfant de trois ans, victime d’une tentative d’assassinat n’a subi aucune mutilation de quelque nature que ce soit» mais comment peut il dire un tel mensonge? et pourquoi a t-elle ete eventer alors?? et tout ces bandages sur son abdomen elle ce l’ait ait fai elle-meme pour jouer a la poupe?? mis qu’elle scandale! mais ce Bikoulo est un criminel lui-meme ou quoi?
Avant de sortir ces inepties pensez que vous avez des enfants et que cela peut arriver a tout le monde meme aux enfants des magistrats
Le magistrat, t’es trop gentil de l’appelé ainsi, lui même ne connait pas son role il ne fait que réciter.. Tous que des guignols!!!
Quand les plus faibles ne peuvent plus être protégés par l’État Nation, quand les bandits et les hors la loi deviennent les protégés de l’État Nation, quand le doute et la peur deviennent le quotidien d’un peuple. Que peut-on alors penser de nos dirigeants? Jusqu’à quand cette détresse, jusqu’à quand le pouvoir maudit, jusqu’à quand l’arrogance judiciaire, il en faut enfin combien de gabonais morts pour l’appétit bestial des gouvernants. ENFIN, MONSIEUR LE PRÉSIDENT, QUE FAITES VOUS DE CETTE MAIN POSÉE SUR LA CONSTITUTION, QUE FAITES VOUS DES ATTRIBUTS DU POUVOIR, QUI ÊTES-VOUS ENFIN POUR VOIR LE PEUPLE ÊTRE EXTERMINÉ PAR UNE BANDE DE RACAILLES SANS ÂMES NI FOI. JUSQU’À QUAND?
Svp donnez à l’adjoint du procureur la définition de mutilation. Il en a besoin
La justice gabonaise s’est montré compétente dans cette affaire et fera en sorte que les coupables paient le prix fort
Tu blagues ou quoi???
le bute principale du pourvoir en place est de nous tuer par tout les moyens…je suis pour la justice populaire donc DIEU lui meme sera le juge pas un garçon comme moi…
Doit on être encore surpris par les paroles de ce « magistrat »?! Comme souvent et comme par hasard, il y a un étranger dans le coup mais la nationalités des deux autres n’est pas dite!! Et comme d’habitude on chope trois suspects mais après on ne saura rien du commanditaire de cet acte et qui est tout aussi coupable et sauvage que les auteurs. Et si un jour c’était l’enfant d’un magistrat ou d’un de ces commanditaires obscurantistes à qui ça arrivait, ce n’est à souhaiter à personne évidemment mais pourraient ils y penser?
Le pouvoir en place n est pas responsable de tout nos crime, bas besogne
Ou va le monde!vraimen
qu’est ce que Sidoni Owé à dit fasse à une telle situation ou elle approuve? Merci
comme d’habitude ils feront du bruit dessus et apres il arreterons l’enquete car nous savons tous que l’on ne decide pas un bon matin d’aller eventrer une petite fille si ce n’est que pour de l’argent et c’est sur que ces personnes ont ete envoye par des personnes bien placés mais bon on attend la suite et on vera bien si la justice gabonaise respecte bien la loi
C’est tout de meme extraordinaire que chez nous en afrique ceux qui sont en charge de nous gouvrner passdnt tout leur temps chez Les marabous pour avoir une promotion alors qu’I’ll faut simplement travailler
[…] Marie Catherine Ntsame, son nom vous dit quelque chose, il s’agit d’une enfant de 3 ans qui a échappé il y ‘a quelques mois à une atroce tentative d’assassinat dans la partie habitation du centre pour personnes handicapés de Nkembo. lire sur Gabonreview […]
[…] Marie Catherine Ntsame, son nom vous dit quelque chose, il s’agit d’une enfant de 3 ans qui a échappé il y ‘a quelques mois à une atroce tentative d’assassinat dans la partie habitation du centre pour personnes handicapées de Nkembo. lire sur Gabonreview […]