En prélude à sa présentation et adoption par le Conseil des ministres, l’ébauche de la nouvelle Constitution du Gabon a été ce vendredi 11 octobre l’objet d’un séminaire gouvernemental présidé par le chef de l’État à la Pointe Denis.

Autour du président de la transition, les ministres et des parlementaires en séminaire gouvernemental, le 11 octobre à la Pointe Denis. © Com. présidentielle

 

Objectif : accélérer le processus d’élaboration de la future Constitution. Ce vendredi à la Pointe Denis, le général Brice Clotaire Oligui Nguema a présidé un séminaire gouvernemental axé sur les amendements proposés par les parlementaires réunis en Assemblée constituante du 12 au 22 septembre. Au palais présidentiel, on évoque «un pas décisif» avant la soumission de l’ébauche finale au Conseil des ministres pour adoption. Cette séance de travail à laquelle ont été conviés des responsables de l’Assemblée nationale et du Sénat permet donc «de procéder à un dernier examen et d’intégrer les ajustements nécessaires», explique-t-on.

Au gouvernement, on renchérit, soutenant que ce séminaire vise également à faire en sorte que la Constitution qui sera soumise au référendum, probablement en décembre prochain, «reflète les aspirations et les besoins de notre nation». En somme, «cet événement revêt une importance capitale dans le cadre du processus d’élaboration du projet de Constitution».

C’est le 8 octobre dernier que le président de l’Assemblée nationale, Jean François Ndongou, et la présidente du Sénat, Paulette Missambo, ont officiellement remis au président de la transition le rapport de l’Assemblée constituante réunissant les 800 amendements des parlementaires.

 
GR
 

1 Commentaire

  1. Rembourakinda dit :

    Je suis désolé mais vous êtes tous des blagueurs, vous ne savez pas à quoi rime une République. Savez vous vraiment ce qu’est une République ? La première République en France c’est après la révolution de1789, plus de deux cents ans, nous sommes « indépendants » depuis 64 ans, une misère. Continuons à perdre notre temps, nous sommes immatures c’est tout. Personne ne se pose la question de ce qu’il adviendra des nombreux enfants qui naissent chaque année chez nous, l’immigration n’est ce pas ? Pauvre Gabon, pauvre Afrique. Le monarque président qui n’y connaît rien va nous apporter quoi.

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