La Direction générale de la consommation et de la concurrence (DGCC) a lancé, le 5 avril, une opération de mise en garde contre les opérateurs économiques pratiquent des prix non homologués. Cette phase sera suivie par une campagne de répression assure le gendarme de la mercuriale.

Emmanuel Eyeghe Nze, patron de la DGCC, dans un magasin de Libreville pour la mise ne garde. © Facebook/DGCC

 

La Direction générale de la consommation et de la concurrence (DGCC) a lancé, le 5 avril à Libreville, une campagne de mise en garde aux opérateurs économiques qui ne respectent pas les prix fixés par la mercuriale.

Conduite par le directeur général de la DGCC, Emmanuel Eyeghe Nze, l’opération a consisté précisément à coller les tableaux contenant des prix des produits homologués par le gouvernement dans les débits de boissons, échoppes, bars, épiceries et inviter les clients et les vendeurs à s’en référer avant d’acheter ou écouler un produit. Destinée à s’étendre dans tous les quartiers de Libreville et sur l’ensemble du territoire, l’opération de la DGCC a débuté dans le 6e arrondissent de Libreville, notamment de Nzeng-Ayong. Près de 3000 affiches ont été collées.

La deuxième phase sera répressive, des sanctions sont envisagées pour les opérateurs économiques coupables d’infractions avérées. Selon Emmanuel Eyeghe Nze, lorsque l’infraction en termes de prix illicite est relevée, les responsables s’exposeront à trois types de sanctions. D’aucuns se verront «infliger une forte amende. D’autres verront leurs structurer fermées. Les responsables des cas les plus graves verront leurs dossiers transmis au tribunal pour des poursuites judiciaires».

 
GR
 

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