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Présidentielle 2023 : «C’est le moment où jamais. Nous devons gérer le pays autrement !» Albert Ondo Ossa
À l’issue de sa désignation par les membres de la plateforme Alternance 2023, le candidat à la présidentielle du 26 août 2023, Albert Ondo Ossa a invité le peuple gabonais à se mobiliser partout où il se trouve et à rendre effectif le rêve du changement au sommet de l’État. L’Objectif étant d’offrir au Gabon l’opportunité de se redresser par le biais d’une nouvelle gestion.
Le candidat consensuel de la Plateforme Alternance 2023, le Pr Albert Ondo Ossa, au terme de la concertation du 18 août 2023. © Gabonreview
Ému par sa désignation par ses pairs en tant que candidat consensuel de la plateforme Alternance 2023 à l’élection du président de la République, à l’occasion de sa première prise de parole, le Pr Albert Ondo Ossa a appelé le peuple gabonais à la mobilisation en vue de sa victoire par les moyens constitutionnels au soir du 26 août prochain.
«Gabonaise, Gabonais, vous avez souhaité qu’il y ait un candidat consensuel, c’est votre souhait. Vous avez devant vous le candidat consensuel, il vous appartient désormais de vous mobiliser dans les campagnes, dans les villages, dans les villes pour que ce candidat devienne effectivement le prochain président de la République, le 4e de la République gabonaise», a-t-il lancé, assurant lutter avec les moyens que lui offre la Constitution.
Présenté comme le meilleur profil pour porter haut et loin les espoirs des membres de la plateforme Alternance 2023 et leurs chapelles respectives, le Pr Albert Ondo Ossa estime que c’est le moment ou jamais de gérer le Gabon autrement et de faire valoir les compétences. «Les Gabonais ont payé de leur sang. C’est le moment ou jamais, nous devons gérer le pays autrement. Faire valoir les compétences. Je lance un appel à tous ceux qui ont souffert de ce système : militaires gradés assis à la maison, aux retraités, aux handicapés, aux veuves, aux orphelins, à tous ceux qui sont brimés par la société, l’heure est venue de mettre les ressources du pays au service des Gabonais», a-t-il invité, soulignant que lorsque les Bongos ont pris le pouvoir, il n’y a pas eu de morts, pourquoi faut-il qu’au moment où ils doivent partir du pouvoir après plus de 50 ans, qu’ils y aient des morts ? «Nous devons avoir des élections libres et transparentes, sans morts».
3 Commentaires
Mon avis ? Que le meilleur gagne.
Oui, je sais que les autres candidats de la formation appelleront à voter Albert.
Cependant, l’élection est remporté par celui qui a la meilleure apparence (JFK versus Nixon), ou celui qui a un viage connu.
Il a face à lui, un candidat qui est revenu « d’entre les morts », et cela a marqué l’imaginaire de plusieurs.
Je répète que son visage est inconnu de plusieurs électeurs.
Je ne me souviens plus s’il a fait le tour du Gabon pour se faire connaître.
à 7 jours du scrutin, a-t-il le temps de travailler son côté Peoples !
Dans la vie réelle, l’électeur dans l’isoloir a toujours choisi la personne qu’elle connaît.
Je ne critique pas son choix.
Simplement, il faut faire connaître son visage au plus grand nombre.
Et, Que le meilleur gagne.
Quand on a besoin de voir un nouveau visage ou quelque chose de nouveau au sommet de l’état, qu’il soit connu ou pas cela nous importe peu. ce que nous cherchons c’est de faire partir celui qui est là, on verra le reste après
ne dit t-on pas « q’un homme qui se noie est prêt a accepter le secours d’un ours pour le sortir de l’eau même si après il sait qu’il sera mangé par ce dernier »
Sincèrement, comment peut-on présenter Ali Bongo, invalide physiquement et psychiquement.
Ce n’est pas Ali qui me fait de la peine mais sa dulcinée de femme qui voit comme un homme malade s’écroule par ci par là. Et ces gabonais qui ricanent en voyant ce spectable ignoble démontrent ô combien bas le PDG a conduit ce pays.
Enfin, pourquoi pas un DEBAT TELEVISÉ?