Présidentielle 2016 : «Une élection ne s’improvise pas», dixit Jean Ping
L’ancien président de la commission de l’Union africaine justifie sa posture.
Répondant aux critiques relatives à sa déclaration à la candidature en vue de l’élection présidentielle de 2016, Jean Ping affirme, dans une interview de l’hebdomadaire «Nku’u le messager», du 19 août courant, ne pas être allé trop vite en besogne. Pour lui, l’enjeu étant de taille, une campagne pour une élection présidentielle se prépare de très longs mois avant la date du scrutin. On ne s’improvise pas candidat à quelques encablures de l’échéance la plus structurante de la vie politique d’une nation. «Par expérience, une élection ne s’improvise pas. Elle nécessite la mise en concours de plusieurs conditions bien longtemps en avance. J’estime donc que le peuple, qui est notre seul et ultime arbitre doit être entretenu et instruit de toute l’actualité et des enjeux du moment. Voilà pourquoi je crois qu’il est nécessaire d’être en permanence sur le terrain et non s’enfermer durant des décennies dans les seuls débats de salon. Voici plus de deux ans que je sillonne le Gabon avec tous ceux qui ont accepté d’entreprendre cette démarche avec moi», dit-il.
Pour l’ancien président de la commission de l’Union africaine, son approche ne saurait être préjudiciable au combat pour les réformes juridiques et institutionnelles. A ses yeux, le débat sur la désignation du candidat du Front de l’opposition pour l’alternance est d’actualité car il peut créer une véritable dynamique en interne comme à l’international pour que ces conditions soient précisément obtenues. «La désignation du candidat du Front est-elle séquentielle ou concomitante? Je m’explique : faut-il procéder par étapes ou faire les choses en même temps ? En quoi la désignation du candidat du Front est-elle incompatible avec le combat pour la transparence électorale ? Ne croyez-vous pas que la désignation de ce candidat qui va nécessairement rassembler, peut constituer un véritable électrochoc pour ce combat qui doit être mené tous azimuts ?», interroge-t-il, poursuivant : «Nous sommes à un an des échéances électorales constitutionnelles. Et alors que nous ne maitrisons pas ce calendrier électoral, comment comprendre qu’à cette période-ci, le candidat de l’opposition ne soit toujours pas connu et que l’on nous répète que cette question n’est pas à l’ordre du jour ? Dans tous les cas, il faudra bien que les candidatures se déclarent et soient par avance connues de tous». Soit ! Mais si l’un n’exclut pas l’autre, l’autre n’exclut pas l’un non plus.
Une élection, quelle que soit sa dimension, respecte une conduite : ni aventure, ni amateurisme. «Une élection se prépare bien longtemps à l’avance et sous toutes les formes et ça se prépare en allant justement au contact avec nos concitoyens, qui ont besoin d’en savoir un peu plus sur les leaders politiques qui se positionnent et surtout ce qu’ils entendent faire de notre pays. Ce n’est pas en restant dans les salons comme toujours, et en distillant du venin contre son propre camp que l’on édifiera les Gabonais sur ces enjeux majeurs. Il faut quand même raison garder et tirer les leçons du passé», affirme-t-il. Est-ce à dire que par le passé les candidats de l’opposition n’étaient pas connus ou n’avaient pas assez expliqué leurs programmes respectifs ? Comprenne qui pourra….
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les USA sont déjà en pré-campagne et les potentiels candidats connus, pourquoi pas le Gabon. Lorsqu’ali bongo offre des biens, comment appelez vous çà? n’est pas là les prémices d’une campagne? arrêtez de diaboliser Jean Ping.
Bien dit et merci a jean ping
mon frère tu a raison que l’on arrête de diabolisé ping, c’est maintenant que le candidat de l’opposition doit être connu et mettre en place un programme fiable et réelle de campagne et pour le développement du Gabon. c’est pas à 5 mois de la présidentielle que l’on doit connaitre le programme de l’opposition. c’est maintenant qu’il faut désigner le candidat qui va discuter des reformes constitutionnelles avant la présidentielle
Jean Ping ou pong a trouvé un terrain sarclé et en profite; quand les autres ont commencé avec l’opposition où était-il?
Ayez un minimum de respect cher monsieur il s’appelle PING et non pong quelle éducation donnez vous à vos enfants et pour votre gouverne Mr PING était président de la commission africaine à Adis-Abeba
@Bassomba,
Soyez un temps soit peu poli. Il s’appele Jean PING et vous n’avaez pas lu quelque part PONG.
Sur ce point entièrement d’accord avec vous, croyez moi, la vie est faite d’opportunisme. Et ce Mr ne fait que saisir sa chance car il a le charisme d’un homme d’Etat averé. Joingnez vous à nous pour soutenir sa candidature c’est tout.
La vraie question est celle de savoir si le non respect des résultats issus des urnes est due au fait que les leaders se pointent trop tardivement vers les populations? A mon humble avis non car le vrai problème réside dans l’ épineuse question du dispositif qui gère et proclame les élections au gabon et tant que cette équation ne sera pas résolue les politiciens peuvent silloner le gabon pendant 100ans l’ alternance n’ Aura pas lieu M Ping le sait mais il feint de l’ ignorer juste pour des raisons inavouées .
Cher monsieur réfléchissez un temps soit peu à cette assertion du Pr John NAMBO dans une interview à l’hebdomadaire Ezombolo: »le problème dans toutes les dictatures et le Gabon en est une, c’est que l’opposition gagne toujours les élections mais ne prends jamais le pouvoir »les dernières élection présidentielle de 2009 à vu AMO(paix son âme) remporter cette élection mais il n’a pas prit le pouvoir; c’est à cette équation à plusieurs inconnues que nous devrions méditer, c’est n’est pas non plus à coup de conférence de presse que cela va changer quoi que ce soit. Je trouves la démarche de Monsieur Ping salutaire une élection capitale se prépare plusieurs mois à l’avance
Bien dit Markus, mais l’un d’exclu pas l’autre. Exemple on désigne déjà un candidat, et une solide équipe de campagne hétérogène….! et une autre équipe s’occupe de l’épineux dossier de la gestion et l’organisation de l’élection !
@markus,
Croyez vous qu’Ali va accepter d’applanir la gestion les institutions qui gèrent les élections au Gabon sous prétexte qu’il veuille installer une démocratie conforme? Si tel est le cas, attendons d’aller aux élections vers 2017/8.
Ce type là(ABO) a besoin d’un contre poids et ce dernier ne peut-être que celui choisi par l’opposition gabonaise. PING, MYBOTO, NDONG SIMA, CHAMBRIER, LUC, MAYILA, MAGANGA, MOUKAGNI…
Peut importe, l’essentiel qu’i faut battre le fer quand il chaud. Après il sera trop tard. Et c’est le peuple gabonais qui va se mettre à pleurnicher comme d’habitude. Je te jure, si l’opposition est solidaire, elle peut battre ali(s’il est candidat) avec sa fraude en 2016.
Retenons l’essentiel et d’y croire.
Croyez le ou pas, ce M. PING, un grand monsieur n’est pas de la gnognotte, il a deja assurée ses arrières quant au vole des votes. il fait parti dpui longtemps du cercle des illuminatti qui sauront eux defendre le vote de PING.
Il lui faut pour cela pas tricher et réelmt gagné cette election. et ca commence par le parcours du terrain. Suivez mon regard…
Depuis l’an passé , PING quadrille le terrain ,souvenez vous ; Paris , Washington , Londres , Bruxelles ,Stockholm ….
Maintenant , c’est la rencontre du Gabon profond avant les grandes capitales Africaines , oui Ya Jean , pas d’impro , de la méthode rien que de la méthode ……
Le problème est déjà de comprendre c’est quoi une élection?Qui veut voyager loin ménage sa monture et en quoi la désignation actuelle du candidat de l’opposition constitue une entorse dans le débat sur la transparence electorale?Arrêtons franchement,les Légistes sont permanence en champagne.Et puis,ce n’est pas déclinant le nom du candidat de l’opposition en 2016 que l’on pourra changer la tendance car les émergents n’attendent pas le débat sur la transparence électorale et sur ce point mr Ping a raison, des politiques qui ne tirent les leçons du passé. Et puis qu’est qui a de mauvais de composer deux groupe un qui travaille sur la transparence électorale et l’autre quadrille le terrain?Mr Ping allez-y votre démarche est la bonne sauf i il y a des opposants qui font semblant de vouloir l’alternance dans ce pays mais le saura bientôt, bon courage mr Ping.
Jean Ping sur les traces de Maky Sall.
Wait & See
Arrêtez de donner du credit à ce type qui n’a fait sous l’1ere de OBO.il est au chomage , qu’il reste tranquille, il a entendu Koffi Anan ou Abdoudjouf devenir opposant?
Il va gagner quelle election au Gabon ? quelle puissance va le soutenir? USA. France? G.Bretagne? Russie? rien, Ping est une personne non grata pour ces pays à cuase de la guerre en Libye et Coté d’Ivoire.Ping a oublié son passé?
Monsieur jean ping est sur la bonne voie. Il doit y avoir une certaine dualité ou concomitance d’action,se battre pour les conditions d’une election transparente et la connaissance du terrain politique et des desiderata des populations afin de tisser des liens et contrats avec elle.
Pourquoi l’UN ne se divise pas en deux groupes: un groupe sur le terrain (un peu comme ping le fait) et un autre groupe (coaché par le président de l’UN pourquoi pas) sur le terrain politique qui sera chargé d’établir les bases pour élections sans fraudes???
C’est même pas le pouvoir en place qui reproche à PING d’être déjà sur le terrain c’est son propre camp! L’image d’une opposition cacophonique n’est pas forcement celle qu’il faut envoyer aux population un an de l’élection.
Accordez-vous il n’est pas encore trop tard !
Aux Etats-Unis les primaires prennent du temps. Jean, je te donne raison et te soutiens. Les autres veulent faire le jeu du pouvoir.
Bonjour mr Ping,toutes mes félicitations pour ce travail de terrain que vous faites c’est cela qui a toujours manqué à nos opposants par le passé,on ne les voyaient sur le terrain que pendant la campagne.Aussi,je me pose la question de savoir si dans notre opposition nous n’avons pas de taupes?Car ce débat n’a pas sa raison d’être,a ceux qui vous font le reproche,dite leur qu’une campagne pour une election présidentielle n’est un jeu.Comme ils n’aiment pas le terrain, qu’ils vous laissent faire ce travail oh combien important et eux fassent le travail sur la transparence électorale(comme ils aiment les bureaux) qui pour moi est incertain puisque que les Pdgistes et les émergents n’en parlent pas et peuvent revoir un système qui leur va très bien.Afin,juste vous demander de redoubler de courage car vos amis qui vous font le reproche sont suspects ils prêche peut être pour l’autre camp avec l’argent on peut tout acheter car chacun de nous a un pris,courage mr le Président.
MÉTHODE, DÉTERMINATION ET LUCIDITÉ
Jean PING a parfaitement raison de s’être lancé dans la bataille pour l’investiture du Front, pendant qu’il dispose du temps nécessaire pour établir une véritable relation de confiance avec les potentiels électeurs que sont les populations disséminées sur l’ensemble du territoire national. Je parle bien d’investiture du Front, pour être le candidat de ce bord à la présidentielle prévue en 2016. Il ne s’agit pas, dans l’état actuel des choses, de la candidature de PING à ladite élection.
Jean PING a parfaitement raison de souligner que la désignation, dès maintenant, d’un candidat unique du Front à la présidentielle prochaine, non seulement n’est pas en contradiction avec le combat à mener pour la transparence électorale mais que, bien au contraire, elle en constitue un facteur déterminant; puisque ce candidat ne peut être que le visage et la voix rendant plus visibles et audibles les aspirations de l’opposition gabonaise tout entière, laquelle apparaîtrait alors dense et unitaire.
Jean PING a parfaitement raison de blâmer l’attentisme de ses pairs de l’opposition et leur propension aux débats de salon sans fin; non pas que la plupart d’entre eux soient de parfaits inconnus aux yeux de leurs compatriotes, mais en ceci que, au-delà des projets et des programmes, les populations ont besoin de tâter la détermination de leurs leaders en faveur de la cause qui leur est commune ainsi qu’une empathie certaine entre leur candidat et eux-mêmes. En d’autres termes, il faut des atomes crochus entre le candidat et ses électeurs. Il faut que chaque électeur se sente concerné au plus au point point par les opérations de vote; mais qu’il soit également prêt à défendre, jusqu’au don de soi, non pas la victoire d’un individu quelconque, mais la victoire du peuple au sein duquel il s’identifie lui-même. Le peuple a besoin de ressentir cette même détermination, ce même don de soi chez le candidat qu’il choisira.
La communauté internationale, même si ce n’est pas elle qui vote de façon directe chez nous, constitue également un ensemble de protagonistes dont il faut tenir compte. Pour ne pas ramener le débat sur cette question au face à face entre la France institutionnelle et le Gabon dans le contexte de la Françafrique, il faudra noter que toutes les puissances occidentales et les États voisins du GABON s’interdisent de moins en moins de donner leur avis, voire à s’impliquer dans certaines affaires relevant de la souveraineté de notre pays, au nom du devoir d’ingérence, pour la bonne cause. Sans oublier la société civile internationale constituée par les ONG, Internet, les réseaux sociaux. Nous savons à quel point tous ces protagonistes peuvent peser sur l’issue d’une élection, notamment sur les questions de la sincérité du vote et le triomphe du vrai gagnant; à condition qu’ils soient édifiés en profondeur et dans la durée sur les forces en présence.
Quand Jean PING dit que: « Il faut quand-même savoir raison garder et tirer des leçons du passé », il veut peut-être faire entendre que si, à l’occasion de la présidentielle anticipée de 2009, AMO n’avait pas été contraint de présenter sa candidature dans l’urgence; s’il n’était pas handicapé par des bruits provenant du pouvoir en place, selon lesquels cet homme n’aurait été qu’un allié objectif de son frère ABO et que leur mission commune (à AMO et à ABO) était de barrer la route au vrai opposant qui n’était personne d’autre que Pierre MAMBOUNDOU; s’il n’y avait pas eu ce contexte-là, AMO aurait eu le temps de convaincre de sa sincérité,non seulement les compatriotes qui avaient voté pour lui, mais aussi tous les autres. S’il avait été ainsi, c’est le peuple gabonais, dans son ensemble, qui aurait fermement et promptement revendiqué la victoire d’AMO. Et il aurait été entendu, chez nous comme à l’extérieur. De la même façon qu’il vient d’être entendu, six ans plus tard, lors des obsèques d’AMO. Cela n’amène-t-il pas tout bon patriote à regretter ce décalage entre l’action et le temps de sa mise en œuvre? A ce sujet, l’opposition ne devrait-elle pas se blâmer de n’avoir aucune stratégie pointue et efficace ?
Nous aurions pu faire comme les Ivoiriens avaient fait, quand Robert GUEI avait tenté de voler sa victoire à Laurent GBAGBO, et lorsque ce dernier avait tenté d’empêcher OUATTARA d’accéder au fauteuil présidentiel. Et nous aurions été entendus.
« Il faut savoir tirer des leçons du passé », voilà une affirmation que comprennent, non seulement ceux qui le peuvent, mais surtout ceux qui veulent comprendre.
Comme Jean Max, Fulo, le Francophone, Claudio Nguimbi ci-dessus, je dis donc: « Arrêtez de diaboliser Jean PING ».
Tout à fait raison.
Yove,
Quand je vous disais que dans le Front il y a des problèmes, certains n’ont pas hésité à me malmener, eh bien les propos tenus par Ping me donnent raison, il faut bien l’admettre, le Front dans quelques temps finira comme la COD, le FUAPO et tous les autres blocs des années 1990.
Ceci dit, Ping étant plébiscité par les populations et beaucoup d’entre vous, pourquoi continuer à faire miroiter aux sympathisants et militants l’éventualité d’une primaire, demandez proprement à votre candidat d’avoir le courage et l’élégance d’aller seul aux présidentielles, sans tenir compte des autres.
Pour ma part, le Front c’est presque de l’histoire ancienne et j’en suis profondément affligée , et l’entourage de Ping y a largement contribué, notamment certains souverainistes et activistes dont le seul objectif serait de « protéger et préserver » Ping des nécessiteux intrus et taupes constitués de militants et leaders venant d’autres partis du Front. la belle blague!
Alors pour mener à bien leur mission, l’entourage proche du meilleur candidat traque tous ceux qui ne s’abaissent pas comme eux, distillant de fausses informations, c’est la compétition à la délation, et à la servitude , je suis désolée de te le dire mon ami YOVE, mais le népotisme a pris le dessus, les parents, surtout le neveu agrégé excellent dans ce travail de sape et Ping se satisfait de ces manœuvres le pouvoir lui montant à la tête….
Yove, je reviens du G9 et la question récurrente , souvent posée aux différentes clans est celle de savoir pourquoi Ping et les autres ne font plus les tournées ensemble comme au début. Des patriotes sincères s’inquiètent de la bataille des communiqués qui a cours à la RTG d’Oyem entre les partisans d’Essone Mengue et ceux de Ondo Edou et J-Cristophe Owono réunis. Tout ça fait désordre et n’augure rien de bon.
Dans le Sud, Ping passe pour le candidat des fangs et cela n’est pas du gout de tout le monde, c’est la raison pour laquelle Divungui organise ses causeries .
Yove, nous avons des problèmes , arrêtons nous un moment et réfléchissons à comment retrouver la sérénité au lieu d’enflammer les passions;
Le fait que les gens assistent aux nombreuses causeries de Ping ne doit pas être interprété comme une adhésion massive des populations à sa personne ou à son discours, Ping comme tant d’autres leaders est une star de la politique, quand il arrive, les gens qui ne le connaissent pas accourent pour le voir et l’écouter.
Quand je lis certains posts surtout ceux qui encensent Ping, je crois entendre les militants pdzozo chantant des hymnes à la gloire de leur leader charismatique….Au lieu de diviser, de détruire, travaillons à retrouver l’unité et la crédibilité de l’opposition, la route qui mène à la présidence est longue et semée d’imprévus.
Comme disent mes oncles antillais « coze sere, poze poze » traduction, mesurons nos propos, tout doux tout doux…
Yove, tu sais que toi et moi c’est du solide, alors STP, relis mes propos , relis bien mes propos et après calmement tu rependras à mon post.
Fraternellement
Imagine56
je te fais la promesse de répondre bientôt à ton post, point par point, quand je l’aurai relu, conformément au conseil que tu me donnes. Je le ferai donc à tête reposée puisque, entre nous, « c’est du solide ». Je ne puis me permettre la moindre légèreté avec toi. Merci d’attendre un peu.
Fraternellement.
Imagine56,
S’il te plait, accorde-moi un petit moment, et je répondrai à ton post, fraternellement. Car, entre nous, c’est effectivement « du solide ». A bientôt, c’est promis.
Imagine56,
Ayant relu ton post, je viens, comme promis, apporter les éléments de réponse qui suivent. Si jamais mes propos s’avèrent approximatifs, ou si quelque affirmation de ma part te fait froncer le sourcil ou t’irrite, je te prie à l’avance de m’excuser. Mais je tiens à ce que tu saches que c’est de façon honnête que je m’exprime ici, comme je m’efforce de le faire dans tous les forums auxquels je prends part, notamment sur Gabonreview.
– Question 1: Pourquoi faire miroiter à vos sympathisants et militants l’éventualité d’une primaire, au lieu de pousser PING à aller aux élections tout seul?
– Réponse 1). D’abord, je ne suis guère un proche de PING ni de quiconque d’entre les leaders de l’UN ou des Souverainistes. Je ne suis militant d’aucun parti. PING, pour moi, c’est presque un « enfant de la télé », selon le concept de TF1.
Je me considère comme un électeur libre. Quand tu dis « vos » sympathisants…, je ne peux pas me sentir inclus dans ce pronom personnel.
Au scrutin présidentiel de 1993, mon choix s’était porté sur Paul MBA ABESSOLE (PMA), le candidat le mieux placé à mes yeux, lors de cette élection. Mais PMA a trahi ceux qui avaient voté pour lui, en se livrant, comme tu le sais, à la danse du ventre autour de la mangeoire des BONGO. C’est ainsi que, en 1998, 2005 et 2009, c’est sur Pierre MAMBUNDU que j’avais jeté mon dévolu, parce que, vu son punch et sa constance, je considérais qu’il était le mieux placé pour terrasser l’hydre Bongo-PDG. Aujourd’hui, mon choix se porte sur Jean PING parce que je discerne en lui les qualités nécessaires pour terrasser n’importe quel candidat que le PDG lui opposera (Je n’oublie pas que H&M n’a pas désarmé). Je suis surtout convaincu que PING fait preuve d’une farouche détermination qui laisse augurer de ce qu’il ne vendangera pas sa victoire sitôt celle-ci acquise dans les urnes. Car, pour moi, c’est là que se situe le nœud de la présidentielle à venir.
Mais tout cela ne fait pas de moi un homme d’appareil, un de ces militants tenus à la discipline du parti, parmi lesquels se recrutent les thuriféraires les plus zélés. Je n’attends rien de personnel du prochain pouvoir, pour la conquête duquel je suis cependant prêt à offrir ma poitrine aux salves des mitraillettes.
Mon souhait le plus cher est de voir le Front persévérer dans son être, car il a été conçu comme un puissant instrument de conquête du pouvoir. Je serais meurtri s’il devait passer à la trappe, comme le FUAPO ou la COD, ses devanciers. J’y reviendrai dans ma réponse à ta question 6.
Ceci dit, je crois pouvoir dire, sans risque de me tromper, que Jean PING ne peut pas s’en aller seul, non plus en tant que candidat à la candidature, mais directement en tant que candidat à la future élection présidentielle, puisque cela ne correspond nullement à son désir profond, ni à son tempérament. Il se pose comme un rassembleur. Il ne peut donc pas prendre sur lui des actes qui créent la division.
– Question 2). Pourquoi PING et les autres leaders du Front ne font-ils plus des tournées ensemble, comme au début? (Question que se posent les populations du G9, que tu relaies aimablement)
– Réponse 2). Sans être catégorique sur la question, je crois pouvoir dire que PING a maintes fois tenté, dans ses conversations à bâtons rompus, à amener ses pairs du Front à se mettre d’accord sur le calendrier des tournées à l’intérieur du pays, comme cela s’était fait à Franceville, à Port-Gentil et à Oyem, déjà. Mais certains ont pensé qu’il allait trop vite en besogne. Il est vrai que Jean PING était de plus en plus porté aux nues par des populations enflammées… Qui peut réformer le cœur humain?
-Question 3: Des patriotes sincères se sont demandé les raisons pour lesquelles des leaders du Front, comme Vincent ESSONE MENGUE et François ONDO EDOU se sont livrés à une bataille des communiqués sur la RTG-Oyem.
-Réponse 3: Je ne suis pas au courant du phénomène et encore moins de la teneur desdits communiqués. Tu pourrais peut-être m’édifier là-dessus!
-Question 4: Dans le Sud, la candidature de PING passe pour être celle des Fang, et cela irriterait des gens comme DIVUNGI di NDING!
-Réponse: La candidature de PING à la candidature n’est pas celle d’une ethnie, mais celle de nombreux Gabonaises et Gabonais de toutes origines. Prétendre le contraire ne peut qu’inquiéter, puisque cela exhalerait, ne serait-ce qu’ à dose homéopathique, les miasmes de l’immonde TSF.
Il faut préciser que le Sud que tu désignes ici, ce ne peut être que celui qui constitue mon biotope naturel, c’est-à-dire le Sud-Ouest (la contrée Méri: Punu, Ghisir, Lumbu, Vungu, Varama, Ngowé, Vili…); qui se distingue du Sud-Axial (la contrée Métiè: Nzébi, Aduma, Wandji, Tsangui…); laquelle se distingue du Sud-Est (la contrée mbédé: Téké, Obamba, Kaningui, Wumbu…). C’est en vertu de cette différenciation, aussi bien ethnique que de l’ordre de la géographie physique, que les théoriciens du TSF ont inventé un « grand sud », pour l’opposer, artificiellement, au « grand nord » ou « pays fang » qu’ils vouent aux gémonies.
Ce serait une honte que de participer à une bassesse pareille, surtout de la part d’un ancien haut dignitaire de l’État.
-Question 5: « Ping est une star de la politique. Que les gens accourent pour le voir et l’écouter, cela n’entraîne pas forcément l’adhésion des auditeurs ».
– Réponse 5: Ta question est une affirmation, qui peut paraitre un peu raide, péremptoire. Quant à moi, pour avoir servi à Oyem, en tant que fonctionnaire, et selon les observations que j’avais pu y faire, je me suis convaincu que les Gabonais du G9 sont généralement fidèles en politique, comme ils le sont en amitié. Quand ils disent « Ossou », c’est qu’ils soutiennent vraiment. Si tu n’as pas trouvé grâce à leurs yeux, tu ne peux pas te faire d’illusion à ce sujet. Ce sont des gens entiers, là-bas, purs et sincères. C’est du moins l’image que mon épouse et moi-même en avons gardée.
– Question 6: Il s’agit de la clef de voûte de ton post: un appel à retrouver l’unité et la crédibilité de l’opposition, afin que celle-ci accède au pouvoir, car la route est longue et semée d’imprévus.
– Réponse 6: Naturellement, je partage entièrement ta préoccupation. Je crois que le modeste rôle que je peux jouer, en tant que citoyen lambda, pour apporter ma pierre à l’œuvre de restauration de cette crédibilité qui s’émousse sous nos yeux, consiste d’abord à ne pas envenimer les choses, par exemple, en balançant à tout va des mots blessants. Ce n’est que de cette façon que nous pouvons ramener à de meilleurs sentiments les leaders sur lesquels nous fondons nos espoirs. Un proverbe aduma (Sud-Axial) dit ceci: « Un fer de hache se remet dans son manche; mais, dès lors qu’elle est sortie de la bouche, une parole ne peut plus y retourner ». C’est à méditer ça, ma soeur, Imagine56! Comme le très chaloupé « Coze sere, poze poze » que tu as aimablement importé de chez tes oncles antillais.
Ensuite, que ceux qui peuvent trouver des relais avec les leaders essaient de faire passer un message de modération, de sérénité, de paix dans la maison opposition. Je suis fort étonné de voir que des gens qui ont tout pour s’entendre, comme le sont MUKANY-IWANGU et PING , donnent aujourd’hui l’impression d’éprouver bien des difficultés à se parler directement, librement, franchement.
C’est dommage!
Fraternellement.
On te soutient so! on en n’a mar de la même famille bongo au pouvoir
Je valide la démarche de M. PING. C’est maintenant qu’il faut se faire connaitre au peuple, expliquer les raisons de sa candidature et le programme qui l’accompagne.
Deux semaines ou un mois c’est peu pour l’opposition pour faire face au PDG avec tous les moyens dont il dispose.
Oui, au lieu de critiquer ce Monsieur, l’opposition gagnerait en choisissant déjà un candidat unique, a défaut de s’aligner derrière M. PING qui a déjà commencer le terrain.
Enfin, en politique, on ne travaille que sur les opportunités.
Il y’ a quelques semaines je postais un commentaire dans lequel je confirmais la posture de Mr Jean Ping en tant que fin tacticien et bon stratège… Je suis heureux que beaucoup d’entre-vous partage dorénavant cette assertion au vu de sa précampagne qui porte déjà des fruits.
En effet, Jean Ping a bien pris du large, de l’avance sur ces compères de l’opposition et de la majorité présidentielle. Quoi de plus normal pour ce compatriote qui a bien retenu la leçon que lorsque l’on veut aller loin, effectivement, il faut ménager sa monture et éviter de perdre du temps.
Actuellement, l’opposition (infiltrée par le pouvoir) est laminée par tant de freins dû aux intentions et vœux fussent-ils légitimes (sic) de ses camarades qui ne se concentrent pas sur l’essentiel mais s’attardent à autre chose non moins importante. C’est fait à dessein. Le pouvoir PDG qui est aux manœuvres depuis belle lurette, fait dans la diversion et la distraction. Le buzz actuel sur cet héritage supposé être donné à une jeunesse gabonaise perdue et désœuvrée en est la parfaite illustration. Il s’agit de faire perdre du temps à certains, distraire au maximum, gagner du temps pour soi et surtout réactiver des réseaux perdus…
Pendant ce temps, Ping en homme averti, parcourt monts et vallées dans le Gabon profond, va au contact des populations, prend le pouls, communie, communique et partage avec les gabonais afin de leur offrir une autre offre politique, l’alternance tant attendue. La capitalisation est telle que une bonne partie de notre pays est conquise par cet homme qui se distingue des autres.
Certains ont dit, Ping n’a aucune assise à l’international… J’en ris. Ping est actuellement le seul candidat de cette échéance de 2016 qui dispose de bons contacts, de bonnes ressources et surtout d’une crédibilité certaine auprès de la gauche socialiste française et d’autres nations dont je tairais les noms par discrétion. A lui tout seul, il conjugue des atouts indispensables à un homme politique : expérience, argent, réseau, lobbys d’affaires, etc.
Croyez-moi, la stratégie de Jean Ping est bien suivie et appréciée à l’international. Par ailleurs, ses appuis dans la sphère politique locale attendent le moment, y compris ceux du PDG qui seraient susceptibles d’être des transfuges à temps opportun. Qui plus est, une bonne frange du patronat gabonais est disposée à le soutenir financièrement et des lobbys puissants sont déjà activés à propos. Alors, Ping ceci, Ping cela, hé bien Ping a bien de l’élan !
Le rouleau compresseur « JEAN PING » est en marche. Ce Monsieur connaît parfaitement comment il faut remporter une élection présidentielle au GABON: d’abord sur le terrain (ce qu’il fait actuellement), sur le plan international (ce qu’il fait depuis la publication de son ouvrage et ses voyages à l’extérieur du pays). Monsieur JEAN PING sait parfaitement que la décision de désignation du vainqueur de l’élection présidentielle au GABON n’est pas du ressort de la CENAP ou de la cour constitutionnelle; organes de proclamation et non de décision. Il est donc inutile de perdre du temps à réclamer la mise à plat des ces deux entités. Par contre, face au candidat PDG et à sa milice armée privée qui voudront à tout pris conserver le pouvoir après leur défaite, il pourra compter sur le soutien du peuple Gabonais (déja conquis sur le terrain) et à la pression de ses soutiens internes et externes.
@MonsieurA,
Je partage parfaitement votre lecture du positionnement et de la capacité de Mr Jean Ping à remporter l’élection présidentielle… Mr Ping a le potentiel pour conquérir ce pouvoir. Son passage à la présidence de la Commission de l’Union Africaine (UA) a immanquablement apporté beaucoup à l’homme.
En effet, outre se tisser un relationnel important à la dimension d’un Chef d’Etat, gérer les conflits, en connaitre les tenants et les aboutissants, en apprécier les sources d’origine et les effets endogènes et exogènes, Jean Ping a su mesurer comment conquérir le pouvoir.
Encore oui, lorsque vous dites que la décision de désignation du vainqueur d’un scrutin ne relève (officieusement) ni de la CENAP ni de la Cour Constitutionnelle… Dans les pays africains sous giron français, les exemples sont courant. En Côte d’Ivoire et ailleurs, combien de fois ces institutions se sont fait « larguer » par des institutions non officielles mais françafricaines (et d’une grande influence) telles que RFI, France 24 et le Quai d’Orsay ? C’est dommage pour l’Afrique mais c’est comme çà ! A l’heure où nous célébrons nos pseudos indépendances, la France, qu’elle soit de droite ou de gauche désigne ses candidats, les suit et les confirme… On a beau dire ou vouloir le contraire, c’est comme çà…
Enfin, face à Ali Bongo et ses milices privées, l’on peut, l’on doit espérer sinon croire que la grande muette s’impose en véritable force d’interposition républicaine… Les militaires, et parmi eux d’imminents officiers voient, savent et aspirent également à l’alternance. Le Gabon ne doit plus être en reste, le Gabon doit produire sa révolution.
Bien dit!
MONSIEUR A Je suis d’accord avec vous que DIEU vous entende car nous peuple gabonais sommes trop couards tenez une note secrète du département d’état américain a déploré le manque de courage des leaders de l’opposition et du peuple gabonais en 2009 cette note disait que les leaders et le peuple avaient fui aux premiers coups de fusil ALORS QUE LE POUVOIR ETAIT A TERRE! souhaitons que si l’opposition gagne en 2016 encore que le peuple saura défendre bec et ongle sa victoire
MONSIEUR A, l’ombre qui marche, le patriote 123,
Félicitation, pour avoir insisté sur ce point capital que souligne Jean PING, à savoir que les populations gabonaises doivent se mobiliser et s’organiser, dès maintenant, pour gagner l’élection présidentielle à venir; et surtout s’armer de détermination et de hargne pour prendre le pouvoir qu’elles auront gagné dans les urnes, en faisant tout ce qu’il faut pour ne plus se la laisser voler.
Que le peuple gabonais sache que, cette fois-ci, les regards du monde entier sont rivés sur le Gabon. Nous, Gabonais, savons que le pouvoir Bongo est voleur et criminel. Il vole tout, à commencer par les élections. Donc, il tentera encore de voler en 2016. Il tentera de voler à main armée, mais il faut que nous soyons là pour couper cette main criminelle alors qu’elle est encore dans le sac de notre vote. Les moyens les plus puissants dont nous disposons sont notre volonté, notre détermination, notre foi.
Nous devons bannir la peur: la force est en nous, sachons seulement la mobiliser. Le monde nous regarde. Plus de place pour la lâcheté! N’oublions pas que « tout peuple est considérable », comme le dit Pierre AKENDENGUE.
Mr. PING vous avez bien raison, foncez et ne vous occupez pas de ses tortues; et puis que les gens sachent qu’ avant que vous ne répondiez à la proposition de votre candidature à la candidature unique de l’opposition faite par Mr. EYEGUE NDONG et compagnie, il faudrait bien que vous puissiez prendre la température du GABON profond. courage et que l’éternel dieu veille sur vous; vous êtes très méthodologique comme moi
Je vote utile alors je vote Ping avec les 5 membres de ma famille et j’exhorte mon voisin le plus proche de chez moi à faire de même.
Mes amis, c’est clair et nette ALI n’organise pas les élections pour perde ! il ne va rien faire pour que ces dernières soient, transparentes…rien ! Je suis dans le regret de vous annoncer ceci : ALI VA GAGNER !
Donc nous peuple, partisan du changement, la question que l’on devrait se poser est : qu’allons nous faire? comment allons nous réagir ! avec quels moyens….!
C’est triste, les élections présidentielles se suivent au Gabon, et se ressemblent toutes ! PITIE du GABON
pitié des aveugles, PING….président! où? j’ai pas confiance en ce gar, et à toute la meute qui cour après, uniquement, la chute d’ALI. Grands hommes de l’opposition rendez aussi, les « MIANS » que vous nous avez VOLE. M. MOUKAGNI a géré la FEGAFOOT, détournements en cascade, emploie des pères et mère de familles gabonaise sans bulletin de salaire. Du projet goal, qu’avez vous fait ? appelez votre acolyte ABABE, qui a vendu son âme au PDG pour être protégé. Vous avez osé envoyé des images truquées à la FIFA pour faire croire que le projet était arrivé jusqu’à son terme. VOUS VOUS soudez les coudes parce que vous tous des affamés. Je ne suis pas aveugle. Vrai vrai
Complètement mégalo on parle ici de la candidature de Mr Ping à la prochaine élection présidentielle et vous nous ramener les histoire de la FEGAFOOT apprenez à vous taire quand vous avez rien à dire mais mon Dieu que deviennent les Gabonais ha j’oubliais des simples béni oui-oui
Bon caméléon, euh pardon, Don Corleone. Achète toi un peu de classe quand tu veux intervenir, vu que t’en a pas.
Faux faux de la vous pensez l’avoir mon œil vous me tutoyer alors nous nous connaissions pas c’est cela la classe selon vous, Chiche
Depuis hier, je te dis que t’es toujours hors sujet.Commence déjà à écrire en bon français pour que tu puisses être compris des autres. TU AS VRAIMENT LA TETE DURE TOI. TCHERRRRRRRR
Peuple Gabonais, lève toi et marche. Ni le PDG, ni l’Opposition ne t’apportera point du salut, peut être la société Civil.
Je ne sais pas si je pourrais donner ma voix à Ping mais le fait est que 50 de cette famille Bongo, ça suffit. Trop c’est trop.
Miss T Je soutiens l’idée les propos de Manzo sinandong et comme tu l’as dit 50 ans de famille Bongo c’est l’overdose de surcroît dans cette famille les gens ne pouvaient pas présenter un Bongo gabonais de souche? Miss T le prochain président ne pourra pas faire 50 ans dans un de mes post ici j’avais dit que s’il faut l’aide des anciens pédégistes nouveaux opposants pour bouter hors du palais cet usurpateur je suis prêt à faire cette alliance objective ALI POURRAIT FAIRE DU GABON L’EGAL DE DUBAÏ QUE JE NE VOTERAI JAMAIS ALORS LA JAMAIS POUR LUI CAR LE FAIT QUE C’EST UN BIAFRAIS M’INSUPPORTE ET QUAND NOUS AURONS MIS L’ETRANGER HORS DE LA PRESIDENCE NOUS LAVERONS NOTRE LINGE SALE EN FAMILLE CROYEZ MOI MISS T TOUS CEUX QUI ASPIRENT A LA PRESIDENCE SAVENT QUE PLUS RIEN NE SERA COMME AVANT ILS N’AURONT PAS LA VEINE DE FAIRE 50 ANS AU POUVOIR COMME BONGO OMAR ILS SERONT GABONAIS CERTES MAIS S’ILS NE BOSSENT PAS APRES UN SEUL MANDAT OUT ET AU SUIVANT DE CES MESSIEURS OU DAMES! ALI NON SEULEMENT C’EST UN SANS PAPIERS MAIS C’EST AUSSI UN FAINEANT, UN JOUISSEUR INVETERE, IL N’A RIEN FAIT PENDANT SON MANDAT VOLE PEUT-ÊTRE CECI EXPLIQUE T’IL CELA !?
Pour moi jean ping est le chemin par lequel nous devons passer pour vivre l’alternance. Cela se fera sous forme de transition que les autres leaders le comprennent et le soutiennent.
Exactement. La présidence de Jean PING ne peut être qu’une transition nécessaire à une refondation de la République que le système Bongo/PDG a mise en lambeaux. L’avenir, à moyen terme, appartient aux actuels jeunes cracks qui l’auront soutenu et qui auront pris le temps de donner la pleine mesure de leurs capacités au sein de ce qui sera la majorité de demain. Cette majorité-là, les Gabonais souhaitent qu’elle soit la plus large possible.
Je dis hein, vous reprocher quoi même à Jean Ping ?
Depuis le départ d’AMO du Gabon pour des raisons que nous connaissons tous, aucun leader de l’opposition (que ce soit Zacharie Myboto et son beau-fils Gondjout, Maganga Moussavou, Moukagni Iwangou, Louis Gaston Mayila, Jules Bourdès Ogouliguende, Casimir Oye mba ou Eyeghe Ndong), n’a entrepris la démarche d’aller entretenir et instruire le peuple sur le terrain dans le Gabon profond tel que chez moi à Mékambo ni à Ndjolé, Mayumba, Omboué, Pana, Franceville ou Kango. Ils se contentent seulement des meeting à Libreville et des conférences de presse dans les salons climatisés des sièges de leurs partis à Sobraga ou à la Chambre de Commerce.
Le retour de Jean Ping au Gabon et son entrée dans l’opposition a donné un souffle, un espoir à la base de l’opposition gabonaise parce que leurs leaders traditionnels étaient amorphes. Le seul opposant à avoir tenu un meeting à Franceville, c’est Ping.
Les militants de l’Union Nationale ont fait savoir à leurs leaders qu’ils sont fatigués des discours, ils veulent les actions concrètes d’un rassembleur, quelqu’un qui les booste. Et c’est ce que les Fangs qui soutiennent Ping ont compris c’est pourquoi ils l’accompagnent dans cette démarche d’aller rencontrer le peuple comme Mba Abessolo l’avait fait à l’époque des Bucherons et avait remporté la présidentielle de 1993. Vous reprochez quoi à Ping ?
Comme vous attendez que toutes les conditions de transparence à l’élection présidentielle soient réunies avant de lancer l’appel à candidature, attendez toujours qu’Ali vous les accorde. Pendant ce temps, laissez Ping et ses compagnons faire leur boulot, celui de ramener les électeurs indécis aux urnes grâce à la confiance retrouvée à l’opposition.
@ YOVE, merci pour ton analyse du 20 août.
Powè-Powè.
Merci pour l’exactitude de vos propos, et pour vos égards à ma modeste personne.
Mais j’aimerais ajouter ceci: Jean Ping n’est pas le candidat des seuls Fang, mais celui des Gabonais issus des neuf provinces que compte le pays.
Moi-même, je suis originaire du Sud-Ouest et considère comme mon biotope naturel la contrée MERI, c’est-à-dire la totalité de la province de la Nyanga, l’ouest de la Ngounié en suivant le cours de cette grande rivière, ainsi que le sud de l’Ogooué-Maritime (Ndougou). Mais je suis de ceux pour qui le cri de ralliement « GABON D’ABORD » n’est pas un vain mot.
Telle est, je crois, la motivation de tous ceux qui soutiennent Jean Ping ; parmi lesquels je vous compte vous-même, mon frère Powè-Powè, vous qui êtes soucieux de l’avenir de votre Mékambo natal, pour lequel vous formez sûrement de grands projets. Telle est aussi la motivation de Jean Ping lui-même.
Fraternellement.
Tu as tout compris, YOVE. PING est notre candidat, il sera élu à Mékambo à 100%.
Dieu nous entende, mon frère!