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Présidentielle 2016 : Persistance de cavaliers solitaires contre Ali Bongo
En dépit des souhaits d’une grande partie de leurs partisans de les voir s’unir avant le scrutin du 27 août, quatre candidats au moins expriment leur volonté de ne pas se retirer.
Gérard Ella Nguéma, Dieudonné Minlama Mintogo, Pierre Claver Maganga Moussavou et Augustin Moussavou King, déterminés à poursuivre leur marche en solitaire. © gabonvoice.com
Il s’agit tout d’abord de Bruno Ben Moubamba, candidat indépendant soutenu par une aile de l’Union du peuple gabonais (UPG). Lors d’une conférence de presse, le 16 août dernier, dont Gabonreview a rendu compte hier, Bruno Ben Moubamba s’est étonné de ce que, après avoir été l’une des premières personnalités à lancer l’idée d’une candidature unique de l’opposition, il n’ait pas été associé aux négociations tenues du 13 au 15 août chez Zacharie Myboto, le président de l’Union nationale. Est-ce de sa part une volonté de ne pas taire un égo surdimensionné ? Beaucoup en sont venus à le penser. Car, le 15 juillet dernier, Bruno Ben Moubamba avait réaffirmé «être disposé à soutenir, comme en avait rendu compte Gabonreview, une candidature autre que la sienne ; une candidature qui rassemblerait la majeure partie des adversaires d’Ali Bongo Ondimba, et qui représenterait l’opposition – et parmi les 13 autres candidatures retenues, celles de Casimir Oyé Mba, de Jean Ping et de Guy Nzouba Ndama semblent trouver du crédit à ses yeux». Le même Bruno Ben Moubamba avait fait part de la nécessité de «coaliser la nation, et d’arrêter les petites luttes d’égo qui n’arrangent que le pouvoir despotique de M. Ali Bongo Ondimba». Quid des «petites luttes d’égo» que M. Moubamba, dénoncait il y a moins d’un mois ?
Autre candidat déterminé à ne pas se retirer : Augustin Moussavou King, candidat du Parti socialiste gabonais (PSG), qui assure ne pas se sentir concerné par la «coalition Ping». Il avait pourtant débuté un cheminement commun avec d’autres candidats de l’opposition ces dernières semaines, en les rejoignant notamment lors de leur rencontre avec le président de la Commission électorale nationale et permanente (CENAP), René Aboghé Ella. Le signataire du Pacte social, en juin 2015, semble avoir choisi de lutter «en solo».
Il y a aussi, dans ce groupe anti-coalition, l’actuel maire de Mouila, Pierre Claver Maganga Moussavou. Le candidat du Parti social-démocrate (PSD) est un indécrottable abonné à l’élection présidentielle. En effet, en dehors de la présidentielle de 2005 au cours de laquelle il avait soutenu Omar Bongo, Pierre Claver Maganga Moussavou a toujours été candidat «jusqu’au bout».
De même Dieudonné Minlama Mintogo et Gérard Ella Nguéma, tous deux indépendants, devraient se maintenir jusqu’au bout, à moins qu’ils se désistent, selon un membre de l’état-major de campagne d’Ali Bongo, pour le chef de l’État sortant. Sur les 10 candidats qui demeurent en course, Pierre-Claver Maganga Moussavou, Bruno Ben Moubamba, Augustin Moussavou King, Gérard Ella Nguéma et Dieudonné Minlama Mintogo devraient donc maintenir leurs candidatures…
Il reste également qu’aucun signal n’émane des autres candidats que sont Paul Mba Abessole, Raymond Ndong Sima, Léon-Paul Ngoulakia, Abel Mbombe Nzondou et Roland Désiré Aba’a Minko.
24 Commentaires
Comment voulez vous que des candidats figurants à la solde d’IBUBU se rangent derrière un seul candidat.
Leurs rôles c’est de semer la discorde et ensuite monnayer leurs voix, en tout cas nous gabonais savons qui ils sont. La politique de l’autruche en live mode gaboma.
Ils sont candidats pour leurs idées pas pour monnayage ou partager le gâteau après la victoire comme l’a fait le parrain de la mafia gabonaise mr Miboto
La Persistance des cavaliers solitaires contre Ali Bongo fera à ce que Ali bongo gagne les élections, c’est clair. Il faut réellement une candidature unique de l’opposition, sinon ali va gagner, et c’est clair.
La Constitution du Gabon ne nous permet pas un deuxième tour de l’élection présidentielle. Je me réjouis cependant que d’une manière ou d’une autre, nous vivons quand même ce deuxième tour. Si réellement on est un électeur avisé, on peut déjà voir et voter pour son candidat du ’’deuxième tour’’ virtuel de l’élection présidentielle au Gabon.
Sur ce, bon choix à tous et à toutes. Ne gaspillons pas nos voix pour des gens qui veulent juste le titre de ’’Ancien Candidat à l’élection présidentielle de 2016’’.
Ce sont des charges de missions d’Ali Bongo.Ou ont ils eu les vingt millions de francs ?
Chers frères,
Ayez de la sagesse pour libérer le Gabon.
Le peuple vous jugera, prenez de la hauteur en adhérant à l’alternance.
En tout cas, les réfractaires n’auront leurs yeux que pour pleurer car leur score ne pourra pas atteindre le 1%.Il le savent que chacun d’eux face à Ali même sans tricher, Celui-ci les laminerait à plate couture. On connaît maintenant les vrais ennemis du changement de notre pays; parce que autant qu’ils sont, personne n’a un poids national à la dimension de Ping et ils le savent mais ils s’entêtent. Mauvais coeurs…
Moubamba, Ella Nguéma, Moussavou King, Minlama Mintogo, Maganga Moussavou, Mbombé Nzondou, Aba’a Minko, Ngoulakia, Ndong Sima, Mba Abessole: chacun de ces messieurs, avec ses propres mots et en relation avec ses centres d’intérêt privilégiés, tient un discours relayant généralement les préoccupations basiques des populations. Or, ce sont ces mêmes populations, disséminées dans les neuf provinces du pays qui les exhortent, avec empressement, au grand rassemblement autour de l’intérêt général, l’avenir de la nation, la cause commune, toute chose qui passe nécessairement par la mise hors d’état de nuire de BOA, le visage et les entrailles de ce qui constitue l’ennemi de la nation gabonaise aujourd’hui.
Cela est bien net pour nous autres, les gens du quartier ou du village. En effet, nous qui sommes décidés à aller voter et à qui s’adressent vos discours tonitruants, nous ne comprenons pas ce que vous entendez par « interposition », ou par « troisième voie », ou par toute autre billevesée de la même nature; notamment en prétendant que la jeunesse dont certains d’entre vous se réclament l’attribut, ou la longévité, le titre foncier acquis dans les limbes de l’opposition ainsi que la constance dans l’échec qui en est la conséquence, tout cela serait en soi, selon vous, de la vertu en politique. Vous croyez ainsi pouvoir embarquer quelques électeurs dans vos embrouilles intéressées.
Je pose ces quelques questions:
– Est-il possible de s’interposer entre la lumière et les ténèbres, sans créer plus d’obscurité qu’il n’y en avait auparavant? Répondez!
– Entre la misère, la souffrance, les alarmes insoutenables imposées aux Gabonais par une coterie mafieuse d’origine étrangère, soutenue par une engeance de profito-situationnistes et la nécessité de nous débarrasser de cette plaie purulente, ensemble, de façon urgente et coordonnée, quelle troisième voie peut-il y avoir? Répondez!
Sachez, chers compatriotes et discoureurs candidats, que nous, le peuple, nous SOMMES plus que jamais MISU BALA! MATUJI LIMBA! (Les yeux ouverts! Les oreilles attentives!)
A partir de maintenant je demande à tous les Gabonais de considérer tous ceux qui se présentent seuls d’être pour le maintien d’ali et de la famille Bongo au pouvoir. Tous partisans au changement, voter PING ne perdez plus votre temps avec des des pions du pouvoir et n’allez plus à leurs meetings. D’ailleurs ils ne pèsent pas lourds . S’ils ne rentrent pas dans les rangs ; derrière Ping; ils sont donc pour qu’Ali continue . Donc ils ne sont pas partisans du changement. Voter PING Leader de la coalition réelle du changement. ne dispersez plus vos voix vers des candidats de facette.
Ne voyez vous pas que M. Ping et ses ralliés sont tous issus du système PDG et qu’ils ne feront que le perpétuer?
Qui peut mieux dénouer un noeud que celui qui l’a fait ? Meme eux, si jamais ils jouent a tromper le peuple gabonais, ils se brûlerons les doigts a jamais. Le gabonais de 2016 n’est pas celui ensaucissoné, embobiné’par le système pdg/ bongo. Nous aspirons à autre chose au 21 eme siècle. Alors , attention’a ceux qui voudraient continuer a nous prendre pour des gabonais bons et bêtes.
Nous avons compris leur posture, ils sont contre le peuple et lutte pour eux memes.
Bien selon l’expression chère à ben MOUBAMBA les sorciers politiques sont connus par exemple quel est le poids politique du psg? paul MBA ABESSOLE? mais lui-même a dit qu’il est un candidat de la majorité présidentielle! MOUBAMBA? bof en dehors de se disputer l’UPG avec les autres il n’existe pas de toutes les façons il y a l’UPG MOUKAGNI-IWANGOU avec les autres, c’est mieux une coalition avec OYE MBA, NZOUBA NDAMA et PING que d’une autre avec un de ces trois et tous les autres qui sont cités comme indépendants dans cet article de GRW! pour maximiser la victoire éclatante du peuple la stratégie veut que les coalisés se rapprochent de NGOULAKIA et de NDONG SIMA par rapport à son nom si abel Mbombé Nzoundou est TSOGHO de la NGOUNIE comme moi en dehors de son environnement immédiat au niveau politique personne ne le connait dans la province dons un parfait inconnu qui pense que les gabonais vont l’élire président! est il sûr d’avoir le nombre de voix suffisant pour que sa caution lui soit remboursée? en ces temps durs jeter 20 millions comme ça! donc ce n’est pas lui-même qui a payé sa caution, MAGANGA MOUSSAVOU? au cours de l’arbre à palabre avec OSSAMANE c’est vrai qu’il a »pulvérisé » son adversaire mais quand même OSSAMANE a dit une vérité hors de principalement MOUILA et accessoirement LA NGOUNIE et encore à MIMONGO origine de son épouse le psd c’est zéro à zéro! je conseille d’ailleurs à ben MOUBAMBA d’entamer une grève de la faim devant l’assemblée nationale pour que celle-ci légifère pour qu’il soit désigné candidat unique de l’opposition! TOUS LES MOUTONS SE PROMENENT ENSEMBLE MAIS N’ONT PAS LE MEME PRIX!
Ces « petit candidats » affames n’on pas l’esprit patriotique. En pareille situation ou le peuple tout entier veut le changement, l’alternance, ces gens sans foi ni loi ne pensent dans leur petites tetes qu’au fauteil presidentiel.
Maganga Moussavou il faut grandir mon Dieu!!! Il s’agit ici de l’interet du pays, penses-tu que Guy Nzouba Ndama et Casimir Oye Mba n’etaient de veritables calibres pour ce fauteil, mais pourtant ils on pu s’elever et abandonner leurs ambitions personnelles au profit de l’interet de la nation.
Bruno Ben Moubamba, mon Dieu, ressaisit-toi!
A tous ces candidats qui ne se sont pas encore alignes deriere la candidature unique de l’oppostion pour soutenir tous ensemble Jean Ping, vous faites la honte au peuple Gabonais.
tres bien sachez que ceux qui ne veulent pas se ralier sont les traitres dont le seul but est de valider la candidature du president sortant.
de toutes les manieres le choix du candidat est personnel evitons de faire tout un tapage sur la presidentielle nous avons tous vue les changements apportes par le candidat sortant si vous etes sincere avec vous meme pourquoi vouloir donner le pouvoir a des persones qui l ont eu pendant plus de 2ans et n ont rien fait
Gabonais et gabonaises
Sachez que nous avons 2 ennemis dans notre pays. Ce genre d’hommes qui ne pensent qu’à leurs intérêts et nos institutions.
Vous pensez que ces candidats ne savent pas le danger qui guette le Gabon une fois Ali sort vainqueur de cette élection?
Ces personnes n’attendent que des appels d’offres venant d’Ali Bongo. Oubliant qu’en agissant ainsi ils n’auront jamais la conscience tranquille.
Pour nous, l’opposition est uni, dans la mesure ou les 3 candidats qui pesaient au point de risquer de diviser l’électorat sont unis, le biafrais ne peut plus gagner par les urnes. Pour les autres candidats, il est claire que ella nguema et moubamba roulent pour ali. Le moment est historique, tous les masques tombent, malgré la ruse, et la sorcellerie politique des corrompus et arrivistes ella nguema et moubamba. Vous ne trompez que vous même, plus le PEUPLE; a vous deux même pas 2 pour cent des suffrages!!!VOUS N’ÊTES PAS UN RISQUE POLITIQUE POUR L’ALTERNANCE, et vos semblant de carrières politique sont terminées avant d’avoir réellement commencées; il ne fallait pas vous rapprocher du biafrais qui transforme en « merde » tout ce qu’il touche.
@Adresse de la repiblic
Y a deja eu combien de Pr au Gabon
?Ping,oye mba ,Miboto ont certes ete membres de # gouvernements,de la a a affirmer qu ils ont echoue releve de la fiction.
La gouvernance de Ali ne peut etre comparee qu a celle de son pere Omar.
En quoi un ministre seul est responsable de l echec de tout un gouvernement qui lui est sous la responszbilite d un Pr?
Finalement le concept » union » devient un simple slogan.
Bruno Ben Moubamba a pris de l’argent a certains candidats pour se ranger derrière eux et le soutenir.De quel droit voudrait-il encore être associé a des négociations alors qu’il a accepté que d’autres se mettent en avant ? C’est une attitude pour le moins malhonnête car si on accepte de soutenir quelqu’un on perd toute possibilité de jouer les premiers rôles.De plus ceux a qui il a pris des sous attendent toujours qu’il fasse sa déclaration de publique de ralliement.
il y a un tour et tout le monde fait comme s’il y avait 2 tours. Faut grandir les petits, mathématiquement aucun candidat (qui ont tous démontrer leur nullité politique ) hors le pdt sortant (qui que ce soit) ne peut espérer faire plus que le sortant, donc arrêtez de délirer et revenez sur terre. Un seul candidat c’est le seul moyen, encore faut il que les candidats ait un cerveau et c’est pas gagné.
A noter qu’avec une candidature unique, on a le paradoxe que la somme de plusieurs zéro est égal à un (surprenant !) c’est beau la politique
Il y a des intelligences partout . Mais désolé Corto. Il y a des gabonais qui feraient même mieux que ce qu a fait Ali avec beaucoup d argent qu il a eu. Il n a construit aucune école. Il a voyagé en 7 ans l équivalent des voyage d omar en 42 ans. Oui la il a battu le record. Esclave des bongo
vrais patriotes; laisser ceux qui sont inféodés aux prébendes et qui pensent que le peuple gabonais est aveugle. Ceux qui pactisent avec le diable auront à rendre les compteS. Je voudrais dire aux gabonais qui légitimement sont derrière le candidat pdg qu’ils doivent comprendre que ceux qui aujourd’hui sont dans la majorité; apprennent à être les opposants demain.la démocratie véritable voudrait que le peuple soit écouté et ses aspirations mises en avant. Si tout le monde reconnait que le peuple gabonais est dans une misère extrême, qu’une nouvelle expérience soit tentée. Je pense que seul le Gabon sera gagnant ainsi que son peuple que les uns et les autres défendent. VIVE le Gabon uni et prospère.