Présidentielle 2016 : L’éducation et la santé au cœur du projet de Jean Ping
Comme annoncé tout dernièrement, l’ancien président de la Commission de l’Union africaine, candidat à la prochaine présidentielle, a rendu public son projet de société, le 4 mai à Libreville.
Estimant que ces six dernières années le Gabon a été mal géré et vit une crise sans précédent du fait que «l’intérêt général est purement et simplement oublié» par les tenants du pouvoir, qu’il accuse d’avoir dilapidé les richesses du pays à leurs seules fins, Jean Ping a décrété, le 4 mai à Libreville, qu’«il faut que ça change». Pour ce faire, le candidat déclaré à la présidentielle d’août prochain a rendu public son projet de société. Il y apparaît que l’éducation et la santé sont les priorités parmi les nombreux chantiers qu’il espère lancer en cas de victoire en août prochain. Un projet qu’il dit avoir conçu et finalisé grâce à sa tournée à travers le Gabon et des échanges avec certains opposants. Pour l’ancien ministre des Affaires étrangères, il s’agit d’«un projet crédible et réalisable, susceptible de mettre les Gabonaises et les Gabonais à l’abri de la peur et du besoin».
Axé sur deux principaux chantiers : «instaurer la démocratie pluraliste et le respect des libertés fondamentales», et «préparer l’avenir», le projet de société de Jean Ping est un condensé d’engagements et de promesses de «mesures audacieuses», que l’intéressé affirme fondé sur la «rupture» qu’il entend incarner d’avec la gouvernance actuelle voire d’avec l’ère d’Omar Bongo, dont le bilan, a-t-il estimé, a été fait au cours de la conférence nationale. Comme quoi, de 1990 à sa mort, rien ne devrait être reproché au défunt président.
N’empêche, le candidat à la prochaine présidentielle envisage de «bâtir un Gabon nouveau», où le dialogue national sera institué, où le renforcement des institutions, l’indépendance et l’impartialité de la justice seront une réalité et où le développement des collectivités locales et la diversification de l’économie seront effectifs pour coller aux véritables besoins des population, tout en œuvrant pour limiter la dépendance vis-à-vis de l’extérieur.
S’il n’a pas nié la rudesse de la tâche, tout en se gardant d’avancer un chiffre du coût réel que ses différents projets pourront nécessiter en raison de l’«état d’opacité actuel de la gestion des finances publiques», Jean Ping n’en a pas moins annoncé qu’avant tout lancement des chantiers, «une analyse minutieuse des lois de finances des deux dernières années permettra de conclure à des possibilités réelles de réduction substantielle de la dépense publique et à un meilleur recouvrement des recettes». Il dit toutefois entrevoir plusieurs pistes de financement : le développement des partenariats public-privé (PPP), un meilleur suivi des activités des douanes et du trésor public, les apports extérieurs sur la base d’audits préalablement réalisés par les bailleurs de fonds internationaux, la découverte des niches fiscales, et même la vente des biens en France et dans d’autres pays, appartenant aux dirigeants actuels, cités dans l’affaire dite des biens mal acquis (BMA). Tout un programme !
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Le moins qu’on puisse dire est qu’il n’y a rien de vraiment nouveau sous le ciel d’Omboué ! La rengaine ordinaire : « L’enfer c’est Ali Bongo et cet enfer date de 2009 à nos jours. Je me présente comme votre nouveau Messie ou votre nouveau Moïse. Votez-moi en Août prochain si non c’est le chaos ! » Pour être honnête, c’est cela le véritable programme de société de Jean Ping. Quant au reste :
Santé et éducation : un lieu commun bien connu. Qui n’en a jamais parlé ? Qui n’en parle pas ? Et qui n’en parlera pas ?
« Instaurer la démocratie pluraliste et le respect des libertés fondamentales » ? 1990 et la Conférence Nationale sont bien loin derrière nous ! Du reste, l’activisme politique et la candidature de notre champion auraient-ils été possibles si ce préalable ne fut pas déjà garanti par la Constitution gabonaise ?
« Préparer l’avenir » : un autre truisme. Généralités déjà entendue sous d’autres vocables plus attractifs notamment « L’avenir en confiance » du Plan Stratégique Gabon Emergent.
« Bâtir un Gabon nouveau » : un autre poncif. Une sorte de version corrompue et plagiée du Changeons Ensemble.
« Rupture » : un concept piège et démagogique. Encore un cliché en vogue. Mais, le passé du candidat comme celui de Gabon n’est pas une « white paper » ou une feuille blanche à la John Locke. Une rupture absolue avec les Bongo est simplement irréaliste pour le père géniteur de quelques petits fils à Bongo d’une part et, d’autre part pour celui qui s’est construit un nom et une marque au Lycée politique d’Omar Bongo.
« Mesures audacieuses » : Un stéréotype commun à toute démarche de marketing politique surtout en contexte électoral.
………………………………………………..
A la fin que reste-il ? « L’enfer c’est Ali Bongo et cet enfer date de 2009 à nos jours. Je me présente comme votre nouveau Messie, Jésus d’Omboué ou Moïse d’Omboué. Votez-moi en Août prochain pour un Gabon à l’abri de la Peur et du Besoin. Sans moi c’est le chaos ! » C’est noté, Monsieur le Président, rendez-vous le 28 Août prochain.
Finalement que proposez-vous ? Continuer avec ALI ?
Je crois que dans ce site du contribuerait mieux à la promotion d’ALI Bongo . http://timesgabon.com/
@Kem Wr,
Votre critique sur le projet de société de M. PING est assez objective et je m’incline devant votre pertinence.
Que proposez-vous? Bien sûr vous me direz que vous n’êtes pas candidat, mais vos idées peuvent inspirer certains leaders qui nous lisent. Pour ma part, j’adhère à sa philosophie, raison pour laquelle je soutiens son programme.
Aussi, et je sais que vous le savez, il y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis. Hier il était(M.PING) au PDG avec tout ce que nous connaissons, aujourd’hui, il nous propose une autre vision de la gestion de la chose publique, par conséquent, il change de costume. Donc, n’est pas imbécile !
Comme quoi, la clé qui ouvre une porte est aussi utilisée pour la fermer. Corrigez ce que vous aurez à corriger, seulement, l’idée est là.
l’heure n’est plus au calcul voilons-nous les faces afin que nous puissions soutenir nos idées à travers nos candidats. Lol !
Vous comprenez cela?
Tu n’as rien compris KEM MACHIN.On se fout de savoir si c’est réaliste ou pas. Le but est de faire partir « la famille Bongo du pouvoir ».
@Kem Wr
Sachez Cher Monsieur, que pour tout candidat sortant, à la fin de son mandat, l’heure n’est plus aux promesses ou aux belles tournures de phrases, l’heure est au BILAN
Dresser-nous le bilant de ces 7 dernières années, comme cela nous aurions au mois quelques choses à montrer a nos voisins de la Guinée Équatoriales, ces jaloux qui n’ont meme pas été capables de monter un projet de société infiniment attrayant et finement pensée que le Plan Stratégique Gabon Emergent. Et ils osent se moquer de nous?
Envoyer le Bilan Svp, enfin qu’on ferme la bouche à ces illettrées.Qu’on leur montre une fois pou toute qu’ils ont eu tort de ne pas s’inspirer du projet de société du grand camarade.
Merci d’avance.
Kem Wr, quest ce que vous nous avez servie pendant 7ans? du vent, des promesses et maquettes. c’est claires que la honte ne tue plus dans ce pays. le programme de Mr Ping c’est du pipo, c’est l’égalité des chances qui est claire? svp Mr et votre dignité? quel est votre bilan après 7 ans?
Quand Mr PING dit que durant ses 7 ans il va mettre le Gabon à l’abri du besoin vous n’avez rien compris ?
Voila ce que cela veut dire : Le besoin recouvre l’ensemble de tout ce qui apparaît « être nécessaire » à un être, que cette nécessité soit consciente ou non.
J’ai lu l’analyse critique de Monsieur Michel OGANDAGA paru le 12 mai 2016 sur le Blog LE GABON EMERGENT relative au programme politique du candidat à l’élection présidentielle gabonaise Jean PING.
Il relève les principales faiblesses suivantes de ce projet :
« Premièrement, le manque de données crédibles pour soutenir le constat sombre qui est dressé. La crise économique s’apprécie à travers des données précises telles que la croissance, l’investissement privé, l’emploi, etc. Certes la situation actuelle est difficile mais elle est loin de refléter le bilan dressée par PING. En effet, tous les partenaires s’accordent à reconnaitre que le Gabon a réalisé des progrès importants en 6 ans qui ont permis de doubler son taux de croissance moyen et de réduire le niveau de pauvreté qui est passé de 33% en 2005 à 30% en 2015.
Deuxièmement, la vision de Jean PING n’est pas très tournée vers l’économie. Il ne se fixe aucun objectif clair en termes de positionnement du Gabon dans l’économie mondiale, contrairement au Chef de l’Etat qui ambitionne un Gabon Emergent.
La seconde partie du programme consacrée à ce qu’il appelle « Préparer l’avenir » manque cruellement d’objectif quantifiable qui permettrait d’apprécier les efforts attendus et d’être jugé en fin de mandat. »
Il résume sa critique ainsi :
« ….Avec tous ces instruments dont dispose le Chef de l’Etat, il est difficile pour l’opposition de présenter autre chose de meilleure.
En réalité, le débat devrait porter sur la capacité des uns et des autres à mettre en œuvre le programme du Gabon Emergent.
N’ayant pas suivi cette voie, PING vient de confirmer qu’il n’a que seul programme de société les injures envers le Chef de l’Etat. »
On comprend aisément que l’intéressé, Monsieur Ogandaga Michel est un aveuglé d’Ali Bongo au point de perdre toute logique.
Mais on lui répondrait aisément ceci :
Le rapport de printemps du Comité de convergence présenté à la Réunion des Ministres de la Zone Franc tenue à Yaoundé (Cameroun) le 9 avril 2016 donne, pour l’économie gabonaise, les chiffres suivants : Le PIB du Gabon est en diminution depuis 3 ans successifs passant de 5.6 en 2013 à 4.0 en 2015 avec une estimation de 3.6 en 2016.
Le stock de la dette n’a cessé de se détériorer :
– Dette extérieure a plus que doublé passant de 1283.8 en 2010 à 2880.2 en 2016 ;
– Dette intérieure a plus que triplé passant de 79.3 en 2010 à 244.2 en 2016, ce qui a pour conséquence immédiate de paralyser les entreprises locales et donc la consommation voire l’emploi.
Les dépenses de capital ont commencé à diminuer en 2011 malgré l’embellie sur les prix du pétrole passant de 1096.9 à 533.0 en 2015.
Il faut noter ici que la diminution des dépenses de capital donc de l’investissement, dans un conteste pourtant favorable (les prix moyens du pétrole ont tourné autour de 100 dollars le baril entre 2011 et 2013), indique la volonté des pouvoirs publics à maintenir l’économie dans une léthargie évidente et certaine malgré les slogans politiques de « Gabon Emergent » et « L’avenir en confiance » clamés dans les réunions publiques et les médias d’Etat par les griots d’une autre nature et les thuriféraires du régime Ali.
L’indicateur de l’intégration commerciale en zone CEMAC est en nette diminution depuis 2009 passant de 1.29 à 0.54 en 2014.
Plus clair, la première édition des Cahiers Economiques du Gabon datée de décembre 2015, une publication de la très sérieuse Banque Mondiale, constate :
• Un ralentissement important de la croissance économique qui entraîne une baisse des investissements publics.
• Fortement dépendante de l’exportation pétrolière, l’économie gabonaise est sujette à la volatilité, ce qui défavorise les populations les plus pauvres.
• Le taux de pauvreté du Gabon, qui inclut les personnes percevant moins de trois dollars par jour, se situe aux alentours de 22.7 % de la population en 2014. Si la croissance est inférieure aux projections à moyen terme, il est peu probable que ce taux diminue.
Sauf si Monsieur Michel OGANDAGA et son Gabon Emergent ont une autre grille d’analyse de l’économie, les données et analyses ci-dessus de la Zone Franc et de la Banque Mondiale montrent à suffisance la gravité de la situation de l’économie gabonaise.
Monsieur Michel OGANDAGA n’est pas assez futé pour comprendre que l’absence, dans la seconde partie du programme consacrée à « Préparer l’avenir », d’objectif quantifiable qui permettrait d’apprécier les efforts attendus et d’être jugé en fin de mandat participe du réalisme et de la stratégie politique. Car comment s’aventurer, à ce stade, dans des objectifs quantifiés sans connaître la réalité de la « caisse du Gabon ». Le diagnostic qui sera fait sur l’état des finances publiques permettra, au lendemain de la prise du pouvoir, d’établir des programmes sectoriels inclusifs avec des objectifs précis.
Monsieur Michel OGANDAGA pense par ailleurs qu’en réalité, le débat devrait porter sur la capacité des uns et des autres à mettre en œuvre le programme du Gabon Emergent de son Ali. Monsieur Michel OGANDAGA n’a pas compris la vacuité de sa notion d’émergence. Lui et son Ali se sont-ils posé la question de savoir ce qu’est un pays émergent ?
Il faut le savoir, la notion d’économie émergente est une invention de financiers et de consultants internationaux. En témoigne la confusion récurrente avec les « marchés émergents », dans lesquels il faut voir avant tout des marchés de capitaux. En d’autres termes, les économies émergentes, c’est d’abord une classe d’actifs financiers: des obligations et des actions émises par des agents (Etats, banques, entreprises) issus de pays longtemps absents de la finance internationale. Ces derniers sont donc apparus d’abord sur les écrans des salles de marchés, et ont été ensuite définis comme une catégorie d’économies, voire comme des pays réels et concrets.
Depuis lors, des spécialistes ont proposé des critères objectifs pour définir précisément le groupe des pays émergents :
1. Revenus intermédiaires : les pays émergents ont un revenu par habitant en parité de pouvoir d’achat (PPA) compris entre 10 et 75 % du revenu moyen de l’Union européenne. Ceci exclut donc les pays les moins avancés et les pays riches.
2. Croissance et rattrapage économique : durant la période récente (au moins une décennie) les pays émergents ont connu une croissance supérieure à la moyenne mondiale. Ils connaissent donc une période de rattrapage économique et pèsent de ce fait de plus en plus lourd dans la création de richesses mondiale.
3. Transformations institutionnelles et ouverture économique : durant la période récente, ces économies ont connu une série de transformations institutionnelles profondes qui les ont davantage intégrées aux échanges mondiaux. L’émergence économique est donc en grande partie issue de la mondialisation.
Au début des années 2010, une soixantaine de pays répondent à ces critères. Ensemble, ils représentent près de 50 % de la richesse créée dans le monde et les deux tiers de sa population
En regardant de plus près, Il n’est pas besoin d’être spécialiste des questions économiques pour relever qu’au-delà de leur grande taille ces pays sont réunis surtout par leur extrême diversité.
Ainsi des BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine) qui sont les figures de proue ont trop peu de chose en commun. Au-delà, que dire de l’Indonésie, de la Turquie, de Singapour ou du Mexique qui constituent d’autres « économies émergentes » de premier ordre. Plus sérieusement, la seule ressemblance entre les économies des quatre pays cités (Brésil, Russie, Inde et Chine) est quelles sont chacune au peloton des dix premières économies mondiales dans différents secteurs.
Mais si le contenu théorique de la notion d’économie émergente est incertain, en revanche le concept se vend bien. On a vu la « bataille » diplomatique de l’Afrique du Sud pour être comptée parmi les pays émergents alors que la réalité est que l’économie sud-africaine est une économie extravertie qui repose sur des filiales des industries occidentales venues, à l’époque pour la plupart, soutenir l’apartheid.
Voilà la réalité cruelle, implacable : « Gabon Emergent » est un slogan politique creux, sans contenu réel, servi aux Gabonais pour appâtés les plus naïfs comme Monsieur Michel OGANDAGA. En effet, si le Gabon des Bongo n’a pas pu en près de 50 ans de pouvoir réaliser le troisième critère portant sur les transformations institutionnelles et ouverture économique, par quel miracle le pourra-t-il au cours des dix prochaines années pour être émergent en 2025, alors même que la situation est en train de se dégrader davantage. Comment pourra-t-il se hisser au top dix d’un secteur de l’économie mondiale ? Monsieur Michel OGANDAGA cesse de nous faire rire, le temps n’est pas aux amusements dont la clic d’Ali raffole.
Joseph BEYEME ONDO BACHIR
joie programme pour un Gabon à l’abri de la peur et du besoin. lorsque candidat nous parle de la diversification de l’économie de notre pays, j’ai peine à y croire car depuis 1982, la provision pour investissements diversifiés ainsi que la provision pour le développement des hydrocarbures n’ont plutôt servi qu’à enrichir des hommes et des femmes du système Bongo dont le bilan n’a pas été fait en 1990, mais en décembre 2007 dans le mémorable discours que le Président Bongo a prononcé le 1 décembre à l’occasion du 40ème anniversaire de son accession au pouvoir. ce discours bilan devrait inciter tous les candidats à la présidentielle au Gabon de retenir dans leur programme la nécessité d’un audit pas des deux derniers exercices budgétaires mais sur quinze ou vingt dernières années. Cela permettrait aux gabonaises et aux gabonais de mieux comprendre le système de prédation financière qui prévaut dans notre pays.
Cet homme incarne le sérieux d’une nouvelle aventure fructueuse. Mais comme les hommes sont des penseurs plus fertiles et moins bâtisseurs de leurs propres rêves, il a le mérite de l’age des fonctions et l’expérience des états (état d’âme et état pouvoirs). Je le connais fortement et a suscité mon retour au pays après 42 ans à l’extérieur. Nos expertises assemblées ont besoin d’un iceberg poli en tout. Le pays intellectuel, accuse un dysfonctionnement incompréhensible de nos jours dans le manque de statistiques viables pour échafauder des plans réalistes et mesurés. Penser et tout faire pour vivre sa pensée est une grande bataille qui implique que tous les enfants du pays habités du désire de redresser le cap trouvent en cet homme, le porteur d’eau. Nombreux sont ceux qui ne parlent que des biens personnels accumulés tout au long de sa participation dans la gestion du pays mais sont sans ignorer que l’envie de consacrer sa dernières énergie pour redonner l’espoir est bien plus sacré que ceux-ci. Ce pays dispose de talents qui sont éparpillés de part le monde, les rassembler autour d’un projet commun exige des moyens qu’il n’hésite pas de tenir à disposition. Nous sommes déterminés à faire aboutir ce projet, « les ARMES DE LA REPUBLIQUE » sont écrites dans les sanctuaires des votants sacrés et concrétisées par le peuple souverain de la gouvernance populaire et démocratique.
De toutes les façons, en l’état actuel du pays, les populations très blasées depuis des décennies, ne peuvent croire à un programme quel qu’il soit. Si elles peuvent voter, ce serait pour choisir l’homme.
En réalité, peu importe ce qui peut être un programme, ce qui importe c’est : quel homme capable de sortir le pays de l’ornière? Avec qui? Ce pays a plus des problèmes qu’à la veille de son pseudo indépendance. Tout est à faire ou refaire. Un catalogue des mesures serait aussi long que le temps.
A la limite, on a besoin d’un MESSIE à même de nous construire: 1/ un système politique digne et respecté; 2/ une fonction publique capable d’accompagner les décideurs politiques et de traduire en actes les décisions politiques.
Ceux qui prétendent nous offrir des routes, une bonne santé, une bonne éducation, une bonne justice, une bonne police, en 5 ou 7 ans, ne sont que des menteurs!
Cassandre de Troie: Le plus motivant est la conclusion issue des aspirations. Meme si celles-ci sont souvent aux antipodes des réalités, les peuples sont souvent décevants par leurs manquent de clairvoyances. On exige plus sans être capable de se peser soit même l’apport dans la construction de la cité. Le prête est très étalé en trois fois le monde s’incline devant la métaphore de tes propres cieux, le messie est issue de la tribu contemplant les dogmes sociétales pour lesquels pieux t’embrasse. Le menteur est excusé car il ne te touche pas, tu ne prouveras pas à ton moi la vérité de vos aventures tous les deux. Route et bonne éducation sont des œuvres très pénibles. La justice est une condamnation damnée temporelle qui aboutit à élevé l’esprit et oui oui oui. La police est l’instrument des guets pour le roi sentant la fin du regne. Obligeant l’officier au rapport quotidien avec l’histoire. Aussi long que sera le temps, tes interrogations auront leurs limites car toi même pousse et grandi le départ vers ton maître. Je suis en lecture du livre « LES ARMES DE LA REPUBLIQUE » et suis de près tes écrits. Trouve toi l’oeuvre de salomé pour t’ouvrir la moisson de tes énergies vitales à cette République.
Bonjour, je ne me suis pas encore décidé pour qui voter en Août. Le candidat Jean ping vient de dévoiler son projet de société.
Je souhaiterais que le candidat Jean ping mette sur internet son projet de société. N’étant pas à la capitale, j’ai pas pu assister à sa conférence de presse.
Je souhaiterais aussi qu’on nous mette en ligne la fameuse constitution de 1991.Je n’étais pas encore,j’aimerais connaître les avantages de cette fameuse constitution par rapport à celle de 2016.
Merci d’avance pour vos réponses.
J’attends aussi le bilan de l’avenir en confiance ou PSGE.
OKO, la main de ping pointe vers le chemin de tes aspirations pour le pays. Humble vibre en lui la fécondité nouvelle d’un paysage beau en sagesse. La nouvelle constitution de la République définie dans le livre « LES ARMES DE LA REPUBLIQUE » symbolise l’énarque en lui et l’orgueil des valeureux fils tous croulant du désire de léguer à la prospérité le nouveau chemin que le pays doit emprunter.
Fantastique et très crédible mise au point et de mise en confiance du prochain avènement d’une nouvelle république laborieuse et faste.
Le paysage politique du Gabon nous met face à un constat: les gabonais ne choisiront pas un candidat sur la base d’un programme de société car les problèmes du Gabon sont connus de tous, le plus amateur des amateurs nous proposera les mêmes solutions avec des mots différents.
Le soucis général c’est l’alternance véritable dont Ali Bongo n’a pas voulu évoquer durant son septennat a cause de sa legimité douteuse. Les gabonais veulent les élections à deux tours ce qui mettra fin sur les polémiques de légitimité et permettra la formation des alliances véritables pour un gouvernement plus juste. Le reste c’est un bla bla bla déjà connu.
au gabon depuis 1960 ls défis st la santé l « education, l eau… le constat amère est que: si en 2016 on en revient à parler encore des fondamentaux d’une société c’est à dire l accès à l eau potable c’est qu’on est encore un pays moyenageux, il est temps de changer de régime, ls bongos n ont rien fait depuis50ans, à l heure actuelle mm un enfant de 5 ans pourrait faire le programme électoral du gabon tellement tout est à refaire, ceux qui st titilleux sur son programment comprennent pas que le gabon est en marge du développement, ns devons reprendre à la base même côté investissement avez vs vu ls prix des terrains et autres cmt investir dans un pays ou le simple terrain vaut des centaines d’euros sans compter le fait qu’il faudrait investir dans un groupe électrogène (mme la présidence en a un)et autre… un pays pauvre ne peut se mesurer aux instruments internationaux des gds pays: commençons par avoir de l eau potable, l électricité et une habitation convenable
ce que je veux dire, personnellement je ne cherche pas la bête dans le programme de ping, sachant qu’on a été gouverné par un clan qui ns a menti pendant 40 ou 50 ans personnes n’a trouvé ça bizarre que bongo promette à chaque élection de l’eau la santé pendant 40 ans, un moment il faut ê intelligent si on promet à chaque fois la mmm chose c kon a échoué: je vote ping 5 ans 1 mandat c’est une bonne transition pr le pays
Nous attendons de vive voix le détail de ce programme et surtout son coût car c’est l aspect le plus important! Il est aussi de bon aloi qu’il ouvre un débat autour de ce programme dans le but de susciter l’adhésion de la population et surtout les efforts que celui ci aura à faire car quoi qu on dise il y aura des efforts et des sacrifices pour mettre le pays dans la voie du développement!
Ce relevé d’intentions non chiffrés, vise un objectif obscur : sauver le soldat OBO et sa clientèle.
Financé par Pascaline, Je n’aborde aucun des problème de fonds qui plombe le pays : mal gouvernance, corruption, géopolitique, gestion de la dette, mauvaise gouvernance, confusion des caisses personnelles et publiques, séparation des pouvoirs, indépendance de la justice,….
Pas grand chose ou si peu….
Pourquoi ? Parce que cela ne fait pas partie du deal. Il faut sauver l’héritage OBO et sa clientèle. Pourtant la Guinée équatoriale nous démontre combien sa gestion à été médiocre.
https://www.afriqueconfidentielle.com/fr/component/k2/exclusif-projet-jean-ping-gabon-gout-rechauffe-inacheve.html
C’est vraiment décevant qui ni Jean Ping, ni Théodore Obiang Nguéma de la Guinée Équatoriale, Ni les Émirs du Qatar et Autres incompétents de ce bas monde, Ne ce soit suffisamment inspirer du Plan Stratégique Gabon Émergent pour définir leur Politique de développement. Ce Plan en moins d’une décennie,a sortie définitivement des milliers de Gabonais, ces paresseux,de la dépendance au pétrole, de la pauvreté crasse, du chômage endémique, de l’injustice rampante,….Et qui a ouvert la voie aux nombreuses perspectives. Notamment par la créations des dizaines de millions d’emplois, la construction des centaines voir des milliers d’écoles, d’université, de ponts, d’autoroutes, de voies ferrées, des hôpitaux avec leurs réserves de médicaments infinies…bref. Un plan finement pensé,dont ce sont inspirer les grands de ce monde: Obama, Poutine, Salmane ben Abdelaziz Al Saoud (arabie Saoudite) Cheikh Hamad (Qatar) pour ne citer qu’eux.
Si vous avez des doutes, vous pouvez toujours cliquer sur le liens ci dessous, tout est chiffres et détaillés, avec des réferences vérifiables par tous. Vous avez juste a choisir votre sujet d’intéret. Alors lisez et fermez-la! bande de jaloux. VIVE LE GABON, VIVE LE GRAND CAMARADE.
http://www.mays-mouissi.com/
Notre pays a besoin des projets forts et des décisions fortes dont le changement de la constitution. il faut commencer par limiter les mandats et l’élection présidentielle à deux tours. Dans tous les cas, que ce soit X ou y au pouvoir, nous sommes fatigués des mêmes à la tête du pays.
J’ai toujours été contre le fait qu’un BONGO gouverne notre pays, contre le fait que le PDG continu à regner mais en lisant l’essentiel du programme de PING via GR, j’ai bien peur que le plus difficile soit de trouver un remplaçant aux BONGO.
Je trouve cette présentation démagogique. Il n’y a pas un véritable rapport de ce qu’il a vu dans l’hinterland du GABON.
En lisant PING on peut résumer ce rapport par une phrase: PING président, il fera le bon partage du gâteau GABON.
Nous attendions un programme fort, concret et évocateur. Je pense que PING veut s’appuyer sur le tout sauf les BONGO nourrit par de nombreux compatriotes et veut nous faire croire qu’il a un véritable projet.
Je ne suis partisans du béni oui oui. Aussi je dis que ce programme n’inspire pas.
J’attend celui des autres sauf, bien sùr, celui du BIAFRAIS.
Le projet de société n’est qu’une esquisse d’une vision de la société. Tout comme les livres sacrés, les adeptes sont instruits tous les jours des préceptes biblique et coranique par les guides. Si tu n’es pas capable de voir ta propre limite, rempli de ce que tu aurais souhaité, le pays partagé entre les désirs fantasques des énarques, ceux de la classe moyenne et la masse laborieuse traînant son pied, le maître est pris de panique. Autant d’êtres, autant de besoin, autant d’attentes. Comprend toi d’abord et mesure toi à l’idéal des nécessités pointera en toi le poids des énergies vitales offre de ta présence et ton appartenance à cette collectivité des biens.
@ AVIS A TOUT LES JALOUX
C’est vraiment décevant qui ni Jean Ping, ni Théodore Obiang Nguéma de la Guinée Équatoriale, Ni les Émirs du Qatar et Autres incompétents de ce bas monde, Ne ce soit suffisamment inspirer du Plan Stratégique Gabon Émergent pour définir leur Politique de développement. Ce Plan en moins d’une décennie,a sortie définitivement des milliers de Gabonais, ces paresseux,de la dépendance au pétrole, de la pauvreté crasse, du chômage endémique, de l’injustice rampante,….Et a ouvert la voie aux nombreuses perspectives. Notamment par la créations des dizaines de millions d’emplois, la construction des centaines voir des milliers d’écoles, d’université, de ponts, d’autoroutes, de voies ferrées, des hôpitaux avec leurs réserves de médicaments infinies…bref. Un plan finement pensé,dont ce sont inspirer les grands de ce monde: Obama, Poutine, Salmane ben Abdelaziz Al Saoud (arabie Saoudite) Cheikh Hamad (Qatar) pour ne citer qu’eux.
Et Maintenent que tout marche, vous voulez nous demander de tout recommencer, de tout changer ? Maintenant que nous sommes une nation développée, vous venez nous demander de retourner a l’age du Bronze?
Mais enfin, un peu de retenue quand-meme.
Apres ce réquisitoire, Si vous avez des doutes,sales sceptiques, vous pouvez toujours cliquer sur le liens ci dessous, tout est chiffres et détaillés, avec des réferences vérifiables par tous. Vous avez juste a choisir votre sujet d’intéret. Alors lisez et fermez-la! bande de jaloux.
VIVE LE GABON, VIVE LE GRAND CAMARADE.
http://www.mays-mouissi.com/