Présidentielle 2016 : Décès brutal d’un haut fonctionnaire du ministère de l’Intérieur
Directeur général de l’administration du territoire, Jean-Félix Magangas est soudainement décédé le 19 juillet 2016, dans la matinée. Son rayon d’action s’étendait à la gestion des opérations électorales et des libertés publiques.
Alors que, le lundi 18 juillet dernier à l’avenue de Cointet (ancien siège du ministère de l’Intérieur), il a eu une longue journée de travail avec les fonctionnaires du ministère du Budget et des Comptes publics dans le cadre des conférences budgétaires préparant la loi de finances 2017, Jean-Félix Magangas n’est pas revenu au travail le lendemain : le directeur général de l’Administration du territoire a été retrouvé mort, dans la matinée du 19 juillet à son domicile, non loin de l’École normale d’enseignement technique (Enset) à Libreville.
La conférence budgétaire devait se poursuivre ce 19 juillet au Delta Postal, nouveau siège du ministère de l’Intérieur à Akanda dans le Nord de Libreville. Ne le voyant pas arriver, il a été décidé de s’enquérir auprès de son chauffeur ; son épouse et ses enfants étant en vacances à Port-Gentil. C’est ainsi qu’il a été indiqué qu’il avait été retrouvé mort dans la matinée, alors que la veille il ne manifestait aucun signe de maladie ou même de fatigue particulière.
Magistrat, Jean-Félix Magangas avait été promu, en juillet 2006 à la faveur du Conseil supérieur de la magistrature de cette année-là, à la 1ère classe du 1er grade de l’ordre judiciaire. Depuis 2014, il était, au ministère de l’Intérieur, en charge du «Programme administration territoriale» ayant pour mission l’élaboration et la mise en œuvre de la politique publique en matière d’administration du territoire, de gestion des collectivités locales, des élections et de libertés publiques. À ce titre, il assurait la coordination de l’activité des unités territoriales déconcentrées et décentralisées (gouvernorats, préfectures, sous-préfecture, conseils départementaux et conseils communaux), la gestion des opérations électorales, la reconnaissance légale des structures associatives et partis politiques, la délimitation des circonscriptions administratives, la délimitation et la gestion des frontières.
Jean-Félix Magangas disparaît à 39 jours de l’élection présidentielle en préparation. Le «Programme administration territoriale» dont il avait la charge de supervision s’articule, entre autres, avec le programme Police nationale et collaborait avec la Commission nationale autonome et permanente (Cenap), la Commission nationale pour la protection des données à caractère personnel (CNPDCP) – donc la biométrie – et l’Agence nationale des infrastructures numérique et des fréquences (Aninf). Bref, presque toute la superstructure de l’organisation des élections.
En tant que directeur général de l’Administration du territoire, il était la seule autorité habilitée à opérer, à la Caisse des dépôts et consignations (CDC), une main levée (sorte de remboursement) sur les cautions versées par les candidats aux élections politiques. Avec les 19 candidatures déclarées, le montant total de ces cautions s’élevait à 380 millions de francs CFA. La Cenap n’ayant retenu que 14 candidatures, il pourrait se trouver à rembourser 100 millions aux 5 candidats recalés. Autant de choses relatives à l’élection présidentielle en cours qu’il avait à gérer.
Jean-Félix Magangas était donc quelqu’un d’important dans le processus électoral en cours. La disparition brutale de ce haut fonctionnaire amène nécessairement à se poser des questions quand elle ne suscite pas des suspicions.
0 Commentaires
Tout ceci m’inspire cela:
Avis aux trouillards et autres, indécis occupants des postes de responsabilité administratives ou politique:
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– Soyez comme Aboghé Ella, déterminé en devers et malgré tout. Le système espère et attend de vous que vous violiez la loi pour le soutenir.
– Sinon déterminé vous dans le changement en perdant vos privilèges. Au moins vous serez fiché comme tel. Libérez-vous de la peur.
– A ceux qui pensent que la position intermédiaire existent dans un État de non-droit, A ceux là qui veulent jouer aux équilibristes. ..ATTENTION! !!!!!!
ce n’est que mon avis! !!
Paix à son âme.
Mais personne n’est indispensable.
Ce genre de décès existe partout dans le monde j’en n’ai eu dans ma famille.
Arrêtez de tout politisé et d’accusé le pouvoir parce que vous êtes en manque idée et de vision.
Il y a des gens qui meurent partout dans le monde en bonne physique.
Que Dieu ait pitié à son âme.
Faite montre d’un peu d’intelligence en se taisant.
c’est une liquidation pure et simple,à cause de ce magot
Faite une autopsie c’est tout! On connaîtra les causes de son décès ! Rip serviteur de la république
ça ressemble à une liquidation pure et simple,à cause de ce magot.famille en voyage,le comando à operé avec facilité.
Il y a plusieurs mois je vous disais:
– Le régime d’Ali BONGO a toujours ses listes et ses résultats déjà préparés pour les élections présidentielles
– l’inamovible Secrétaire général du Ministère de l’Intérieur est la clef de toutes les tricheries, avec les privilèges pharaoniques dont il jouit (petit fils d’Omar BONGO)qui depuis des décennies est placé à cet endroit.
-Ali BONGO a juré devant tout le monde de mettre le Gabon à feu et à sang (mercenaires et armes) ont pris position. La CENAP et le Ministère de l’intérieur sont déjà retranchés dans des « forteresses » que lui, estime imprenables.
Et vous vous étonnez de ce type de décès d’un cadre du sud? Creusez…
Il a paru gênant, et dangereux.
Ils ont choisi de le réduire définitivement au silence.
La liste sera à nouveau longue dans la chévauchée meurtrière pré et post élections. Ali BONGO-ACCROMBESSI-OTOUNGA-MOUNDOUNGA et autres pensent que …personne ne les voit. Ils pensent être plus intelligents que tous les gabonais.
Quelle erreur!…
Mais vous êtes un danger public! vous êtes un mythomane! Le défunt occupait ce poste par héritage de son père au point qu’on était obligé de le tuer pour l’enlever de là? Vous êtes stupide!
Il a été nommé, si vraiment il gênait le pouvoir, ce dernier l’aurait tout simplement dégommé de là pour un autre poste, c’est tout. Arrêtez d’inventer des histoires!
Le pauvre. On a presque envie de vouloir que ça plutôt Ya Ali.
L’éternel a donné L’éternel a repris que son nom soit loué.
Toutes nos condoléance à la famille éprouvée
Que la terre te soit légère
Repose en paix .
Paix a son âme
Dites plutôt revanche pour son âme.
mes condoléances à la famille, c’était quelqu’un dont j’ai beaucoup apprécié la simplicité, qu’il repose en paix
Repose en paix
Que la famille exige une autopsie. C’est pas clair. RIP.
Paix à son âme
Que Dieu est son âme et qu’il repose en paix
Voici 1 hoe,qui de son vivant à tjrs apprécié l’intégrité, vertus disparu dans mon pauvre pays!
Alfa et oméga c’est lui qui ferme et personne ne peut ouvrir c’est lui qui ouvre et personne ne peut fermé nuls n’est à la hauteur des exigences de l’Éternel donc arrêter nous sommes africain nous ont respecte nos morts OK pour nous les croyants nous savions que c’est Dieu qui permet tout ce qui arrivent dans le monde OK c’est par ça grâce et ça miséricorde que nous sommes humain africain gabonais OK et nos dirigeant dirige grâce à cette volonté du Seigneur OK toutes autorité vient de Dieu OK donc notre exécutif notre législatif et notre judiciaire sont légale notre Numéro 1 est légitime par l’autorité du Seigneur Dieu vive le Gabon et paix à l’âme de notre compatriote gabonais grand père père grand Frère oncle ami épouse beau père beau-frère beau-fils ayez un maximum de respect pour le repos de son âme
C’est une perte importante que le corps de la magistrature vient de subir par le décès brutal de ce haut magistrat, connu pour sa simplicité et son action dans les différents circonscriptions judiciaires où il a servi. Paix à son âme et sincères condoléances à sa famille durement éprouvée.
Aux profito-situationnistes qui ne respectent plus rien dans ce pays où vous avez tous pourri, avant de dire que tout est pourri par vos actions multiformes et multidimensionnelles, respectez au moins la mémoire de ce digne fils du pays. respectez au moins la douleur de sa famille qui vient de perdre un père, un oncle, un neveu, un appui important. Lui, il est parti, il faut parfois taire vos commentaires, dans nos us et coutumes, il est nécessaire de respectez nos morts. Après les obsèques vos pourrez vous donner à votre désordre où vous ne proposez rien de constructif au delà de vos propos de tribalisme, de démagogie et de xénophobie. Monsieur le DGAT, que la terre vous soit légère.