Co-facilitateur du Partenariat des Forêts du Bassin du Congo (PFBC) aux côtés de la France, le Gabon a réaffirmé son engagement pour une communication environnementale renforcée à l’occasion du Forum Multi-Acteurs FOMADECIE-BC, qui se tient jusqu’au 25 avril à Brazzaville. Réunissant plus de 150 experts, ce forum souligne l’importance de la communication dans la lutte contre les changements climatiques et la préservation des forêts du Bassin du Congo.

Aurélie Flore Koumba Pambo lors de son intervention. © D.R.

 

Le Gabon participe à la première édition du Forum Multi-Acteurs sur le développement de la communication et de l’information environnementale dans le Bassin du Congo (FOMADECIE-BC), qui se tient du 22 au 25 avril à Brazzaville. En sa qualité de co-facilitateur du Partenariat des Forêts du Bassin du Congo (PFBC), aux côtés de la France, le pays réaffirme son rôle moteur dans la promotion d’une communication stratégique au service de la préservation des forêts d’Afrique centrale. Réunissant plus de 150 experts, chercheurs, journalistes et représentants institutionnels, ce forum inédit constitue une étape majeure pour le renforcement des capacités des communicateurs environnementaux de la région.

Il ambitionne de jeter les bases d’une vision commune autour de la sensibilisation, de la formation et de la mobilisation des populations sur les enjeux climatiques et forestiers. Le Gabon, souvent salué pour sa politique de gestion durable des ressources naturelles, plaide pour une communication environnementale plus proactive, fondée sur la rigueur scientifique, le dialogue et la pédagogie. Portant la voix du Gabon, le Dr Aurélie Flore Koumba Pambo a lors de son intervention, estimé qu’il est impératif de développer des campagnes ciblées et de créer des espaces de dialogue pour influencer les politiques publiques en faveur de la conservation.

Parrainé par la ministre congolaise de l’Environnement, Arlette Soudan Nonault, le FOMADECIE-BC met en lumière le rôle stratégique de l’information dans la lutte contre les changements climatiques. En insistant sur la nécessité d’un discours cohérent, partagé et mobilisateur, les participants s’accordent à faire de la communication un levier clé de durabilité pour l’avenir des forêts du Bassin du Congo.

 
GR
 

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