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Perspective de collaboration entre Rougier et l’IFC
Le groupe Rougier discute avec la Société financière internationale (IFC), entité de la Banque Mondiale dédiée au secteur privé, en vue d’une collaboration sur les concessions forestières en forêts naturelles et les usines de transformation au Gabon, au Cameroun et en République du Congo regroupées au sein de Rougier Afrique International.
Le projet passerait par un financement maximum de 22,7 millions d’euros apporté par l’IFC, dans le cadre d’un plan 2012/2016. Il porterait sur la mise à niveau des sites et de la logistique de Rougier Afrique International, la création d’une centrale de cogénération au Cameroun et l’amélioration de la gestion des actifs forestiers.
Pendant que Rougier Afrique International exerce ses activités selon les principes de la gestion responsable des forêts, l’IFC soutiendrait ainsi les activités durables tout au long de la chaîne d’approvisionnement des produits forestiers, depuis les plantations jusqu’à la production de panneaux et de meubles de qualité, en passant par la production de papier et de bois de construction.
Il est à noter que l’IFC facilite le développement durable du secteur privé dans les pays en développement. Elle s’efforce en particulier de promouvoir le développement économique dans ses pays membres, dont le Gabon, en favorisant l’essor d’entreprises privées productives et l’épanouissement de marchés financiers efficaces.
Fondé en 1923, le groupe Rougier est un leader des bois tropicaux certifiés africains. Il opère autour de trois activités : la branche «exploitation des forêts naturelles» (exploitation forestière, transformation et négoce de bois tropical à travers la société Rougier Afrique International et ses filiales), la branche «Importation et distribution en France» (Rougier Panneaux et Rougier Sylvaco), et la branche «Forêts de plantation» (étude et gestion des forêts de plantations industrielles en Afrique à travers la société Lignafrica).
3 Commentaires
Comment cette entité de la Banque mondiale qui à pour mission de promouvoir des investissements privés durables qui réduiront la pauvreté et amélioreront les conditions de vie des populations peut soutenir financièrement une entreprise comme Rougier qui n’a aucun respect du travailleurs africain et en particulier gabonais, qui magouille la certification FSC depuis des années et qui depuis plus de 40 ans d’exploitation au Gabon ne contribue en rien au condition de vie des populations qui vivent à la périphérie de ces CFAD.
Les membres de cette institution se base sur quoi??? ont ils été à la rencontre des populations des villages Ayol, Elata bakota, Mouyabi, Kélé, Eyouga Lengori ou dans les commune comme Boumango et Ovan ??? visité les bases vie comme Mikongo, Ivindo, Babylone et Massouna ou le salaire des travailleurs appartient à 60% au boutiquier déguisé en économat ???? Ces bases vie ou l’on trouve encore le camp du blanc avec le courant 24h/24h et le camp des ouvriers noir avec le courant de 18h à 5h du matin!!!Les cadres expatriés avec les différents avantages et les speudos cadre africain rien de rien….Mais nous sommes dans quel monde???
je partage avec fermeté les déclarations de Mr OMVA , pour avoir travailler en tant que chargé de suivi et du contrôle des travaux d’aménagements, à massouna et boumango,ou j’avait pas le droit de discuter avec mes frères Africains ,Ou même les fréquenter le weekend, pour le simple faite que j’était responsable, j’ai connu à cette époque un certain Mounanga, à 14 ans de boite trimais encore avec un solde de 22O.OOO frs CFA par mois au poste de chef d’équipe de comptage, Rougier Gabon à massouna c’est le pays coloniale en miniature, ou règne la discrimination raciale à volonté……
Comment contactez??