À l’issue de la rencontre des correspondants nationaux d’Afrique centrale, le sigle du Réseau des structures et institutions nationales chargées de la Francophonie en Afrique centrale (Resifaco), s’est mué en Resifac, pour les mêmes objectifs.

Clôture de la rencontre des correspondants nationaux d’Afrique centrale, le 14 décembre 2016. © Gabonreview

 

À l’occasion de la rencontre des correspondants nationaux d’Afrique centrale tenue du 13 au 14 décembre 2016, à Libreville, les participants ont consacré une partie des assises sur la vie et le fonctionnement du Réseau des structures et institutions nationales chargées de la francophonie en Afrique centrale.

Pour les correspondants nationaux, il s’agissait de mettre à jour les textes fondateurs de leur réseau, dans le contexte du rattachement de certains pays à la zone Océan Indien. Ainsi, le Resifaco s’est mué en Resifac. Ils ont par ailleurs identifié des pistes concrètes de redynamisation du fonctionnement de leur organisation.

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«Il s’agissait de consolider la dynamique de mise en réseau de ses correspondants nationaux. Sur chacune de nos zones géographique d’intervention, nous avons mis en réseau les correspondants nationaux pour qu’ils partagent leurs bonnes expériences, les bonnes pratiques entre eux afin de consolider davantage l’encrage de la francophonie dans les pays concernés», a souligné le représentant régional de l’OIF pour l’Afrique centrale, Boubacar Noumansana.

Les participants ont également échangé sur leur contribution à la mise en œuvre de la programmation 2015-2018 révisée de l’OIF dans la région, ainsi que sur le rôle des correspondants nationaux dans la promotion de la Francophonie. Ils ont envisagé des initiatives qui pourraient nourrir le plan d’action régional de l’OIF pour l’Afrique centrale que le Bureau régional de l’OIF pour l’Afrique centrale (BRAC) devrait élaborer à partir de 2017.

 
GR
 

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