Villégiature sur les routes neuves du Gabon
Aux côtés de l’Agence nationale des grands travaux, maître d’œuvre délégué de l’Etat, et sous la supervision de la Direction de la communication présidentielle (DCP), un voyage de presse a permis de toucher du doigt, dans le Nord-est du pays, les vastes chantiers des routes pour le développement.
Resté de longues années dans un piteux état, le tronçon Ndjolé-Medoumane qui relie le Moyen-Ogooué au Woleu-Ntem est littéralement devenu une ardoise de billard, après des travaux en voie de livraison, entamés il y a 3 ans bientôt. Tout le linéaire de ces de 47 km de route accueille actuellement sa dernière couche de béton bitumineux. Il en est de même pour les 116 km de l’axe Lalara-Koumameyong-Ovan dans l’Ogooué Ivindo.
La randonnée avec les techniciens de l’Agence nationale des grands travaux (ANGT) à travers les routes du Nord-est du Gabon laisse entrevoir un raccourcissement considérable du temps des voyages vers ces régions grâce à la livraison incessante de nombreux tronçons de routes réputées jusque-là difficilement carrossables. Il en est ainsi du mythique calvaire de Ndjolé-Medoumame dont les travaux, exécutés depuis 38 mois pour un investissement de 58 milliards de francs CFA, sont en phase de finition. Pour l’essentiel, ce qui reste de travaux sur ce tronçon, concerne la construction, à moins de 5 km de Ndjolé, d’un site de pesage. La plateforme en construction sur cet axe où fourmillent des grumiers, permettra de règlementer le chargement des véhicules, étant entendu que les véhicules en surcharge accélèrent le vieillissement et l’usure des routes et autres infrastructures. Ce qui, par voie de conséquence, engendre pour l’Etat des coûts de remise à niveau très élevés. Selon les techniciens, les pèses essieux qui vont être installés à ce niveau serviront d’outil de répression et de sensibilisation des usagers de la route.
«Si jamais le tonnage est supérieur à ce qui est autorisé, le camion sera immobilisé et il sera déchargé», explique Arnold Essene Ekoua, ingénieur génie civil, représentant du ministère des Travaux publics sur le chantier Ndjolé-Medoumane. Le tonnage autorisé est de 13 tonnes, explique-t-il. Mais «certains grumiers surchargent jusqu’à 20 tonnes à l’essieu». Toute chose qui contribue à agresser et détruire très vite la chaussée dont la durée de vie est pourtant de plusieurs décennies. La loi, ajoute l’ingénieur, prévoit des amendes pour des véhicules en surcharge.
Sur le même axe routier, des ouvriers de l’entreprise Dragages ont été rencontrés, à pied d’œuvre sur le nouveau pont de Ndjolé. Long de 80 m, l’ouvrage d’art, qui traverse la rivière Missanga, est conçu pour supporter des engins de plus de 50 tonnes. Ce pont qui permet de contourner le centre-ville de la capitale départementale de l’Abanga Bigne, «va permettre aux grumiers et autres poids lourds de ne plus traverser la ville», explique Frédéric Ernaud de Dragages/DTP terrassement. La poussière, les risques d’accidents et autres aléas bien connus de tous ceux qui font ou ont fait escale à Ndjolé, ne seront plus que de lointains souvenirs.
Ces scènes d’hommes à l’ouvrage et ces décors de pays en transformation ont également été observés sur un autre axe routier à 126 Km de Ndjolé : Lalara-Koumameyong, point d’intersection entre le Woleu-Ntem et l’Ogooué-Ivindo. Longue de 65 km ce tronçon a été provisoirement livré en juillet dernier, même s’il reste une période d’un an, prévu dans le contrat entre l’Etat et l’entreprise adjudicataire, First Highway Engineering Compagny (FHEC). «Nous sommes dans la phase d’entretien pour remédier aux erreurs et aux défaillances de la route qui pourraient être constatées», indique Xiang Bin, directeur adjoint de travaux de la FHEC.
Ici, la construction de la route et son bitumage ont été effectués 1×2 voies et, dans le cadre de la responsabilité sociétale de cette entreprise chinoise, de nouveaux ponts et autres ouvrages d’arts, plusieurs salles de classes, des dispensaires et des logements pour enseignants ont été construits en termes des travaux connexes. De plus, la qualité de cette route ne souffre d’aucune contestation. Selon Xiang Bin, la Banque islamique de développement (BID), principale institution financière de cet axe à hauteur de 42 milliards de francs CFA, y a commis un audit qui a débouché sur des résultats positifs.
L’axe Lalara-Koumameyong comme celui de Koumammeyong-Ovan (51 km) s’inscrit dans le cadre d’un projet intégrateur du Nouveau partenariat pour le développement en Afrique (NEPAD). Le tronçon construit, par la société chinoise Sinohydro a coûté plus de 40 milliards de francs CFA. Il va se poursuivre jusqu’à Makokou (100 Km), le chef-lieu de l’Ogooué-Ivindo, avant de s’étendre dans les prochaines années jusqu’au Congo-Brazzaville.
Cette villégiature à travers les nouvelles routes du centre et du nord-est Gabon survient dans un contexte marqué par la célébration des cinq ans de pouvoir d’Ali Bongo. Durant cette période, son régime aura construit et bitumé environ 2 000 Km de routes dans un pays qui n’en compte que 11000 km dont 3 000 km de bitumés. Le pays n’avait en effet que 936 Km de routes goudronnées avant 2009.
35 Commentaires
Le projet des routes du nord-est et celles du sud a été lancé au milieu des années 2000 avec l’obtention du financement de la banque islamique qui a imposé de payer elle-mëme l’entreprise sans passer par l’Etat Gabonais. Ce protocole avait été signé par Omar. L’ANGT n y a rien á voir. La route LBV-Ntoum confiée à une entreprise famiiale qui n’a jamais fait de route, les rues de LBV qui n’en finissent pas d’étre aménagées, ou la Marina bloquée son ses projets á elle. A César ….
Comme on dit,LOL!
Quand on a plus rien,et bien on trouve toujours quelque chose à redire même si les faits sont là!
Lancé au milieu des annees 2000 mais pas réalisé ! Pourquoi donc ? Tout n’est pas parfait, mais restez tout de même objectifs. Reconnaissons les faits positifs et dénonçons ce qui ne va pas. Il vaut mieux tard que jamais, et si Ali a forcé pour mieux faire, on peut lui accorder le bénéfice du doute mais pas un chèque en blanc. Ne soyons pas aveuglés par la haine et le ressentiment, mais de la lucidité pour lle pays.
« et si Ali a forcé pour mieux faire »
T’es sérieux ?. Si tu viole une fille et tu lui offre une robe après, vous êtes quittes ?
Non mais quel peuple !
Les routes sont réalisées et c’est une bonne chose. Ce que je que je condamne c’est la basse récupération politicienne qu’on en fait. De toutes les façons avec ou sans Ali ces projets devaient aller à terme vu les conventions signées entre OBO et les bailleurs de fonds. Et les projets qui pataugent actuellement et que j’ai cités sont ceux initiés depuis 2009 par l’ANGT et ses créateurs. Ces faits-là aussi sont têtus.
TOUT CECI EST BIEN
MAIS A QUI PROFITE LA SURFACTURATION?
DONC ARRETER DE NOUS FAIRE MIRROITER AVEC SI PEU.
Ngouss Mabanga : le site demande de ne plus écrire en lettres capitales. Merci.
eh oui 58 milliards pour 47 km. Et quel routes, des pistes qu’on a goudronné. Toujours des routes étroites et sinueuses.
Pendant ce temps la guinée construit des autoroutes..sans dettes….avec l’argent du pétrole….
Et vous êtes content, quel peuple !
Parlez encore!
Autant le domaine du logement est un échec autant le domaine de la route est relativement un succès avec un peu de chance en 2016 lbv-makokou se fera sur du bitume ce qui était impensable en 2009
la route avance et c’est tant mieux!!!
faudra surtout doubler des efforts encore pour les autres axes prioritaires
Tonton d’OKALA soyons un peu plus sérieux souvent,on dit souvent le bon sens est la chose la mieux partagée,qu’on aime ou qu’aime pas ALI il faut savoir reconnaître son mérite dans le domaine de la route,c’est un fait et les faits sont têtus,parce que ils parlent d’eux-mêmes!
Quel faits sont tetues? la Hausse de la pauvreté? a oui!! j’avais oubliez que le rapport Mackinsey commandé par le roi lui meme etait une vue de l’esprit!!!!
le visionnaire,
J’aimerai bien comprendre ce qui vous dérange tant, quand des compatriotes critiquent l’action des gouvernements successifs,et partant d’Ali lui-meme!
Tous les outils pour s’informer existent au Gabon, l’exercice n’est pourtant pas si complexe.
Pour ta gouverne, la plupart des routes bitumées ont été initiées sous OBO, N’en deplaise..
Et que lesdites routes ont été financées dans le cadre de l’integration sous regionale par :
– La BAD ( Banque Africaine de developpement)
– AFD ( Agence Francaise de Developpemnet)
– BID ( Banque Islamique de developpement)
Je suis desolé, racontez le à ceux qui manquent de logique algebrique.
Il faut souligner avec importance ici que, les bailleurs avaient refusé de verser un radis au Trésor pour ne pas retomber dans les mauvaises pratiques que nous connaissons tous.
Le tronçon Lbv-Kango 96km, avec 26km de réalisés
Muila-Ndende long de 75km, mais 4km réalisés en 5 ans
Ndende -Tchibanga 100km, avec 40km réalisés en 4 ans
En réalité, Ali n’a bitumé que 70km, ça je le lui reconnais,et refuse l’idéé de 1800 miliards de Fcfa, pour l’investissement du reseau routier entre 2012 -2016. alors Cher ami 2000 km de routes bitumées semblent demagogiques,veuillez nous indiquer par tronçon, le travail concretement achevé actuellement.
@ Harvy,
…Honnêtement,cher Harvy,vous allez jusqu’à contester l’article de gabonreview???? De grâce,relisez bien l’article de Gabonreview.Tous autant que nous sommes critiquons ce qui ne marchent pas dans la politique du chef de l’État et c’est normal car un individu normalement constitué est doté d’un sens critique.Cependant,je suis au regret de constater,que bon nombre de compatriotes font dans la mauvaise foi…que nous puissions critiquer la politique des logements sociaux,c’est normal car force est de constater que ce qui est fait est en de ça des attentes….etc mais concernant les routes et les structures sanitaires(même si le gouvernement peux faire d’avantage),les avancées sont considérables et c’est vraiment à encourager.Faisons des critiques objectives svp.
Mr Harvy,
A vous lire, on a l’impression que vous maitrisez la chose… c’est très bien mais j’aimerai juste que l’on revienne sur quelque chose de très important que vous avez écrit, je cite : » Il faut souligner avec importance ici que, les bailleurs avaient refusé de verser un radis au Trésor pour ne pas retomber dans les mauvaises pratiques que nous connaissons tous » Donc vous admettez quelque part que le financement existait déjà mais le manque de confiance des bailleurs de fonds ne permettait donc pas la réalisation des ces projets n’est ce pas ?
Ma question: D’après vous, qu’est ce qui a fait changé d’avis les bailleurs de fonds? Le bon Dieu peut-être?
Autre chose, même si ces projets auraient été initiées par OBO, vous n’allez pas quand même nous faire croire qu’il les a initié 2 mois avant sa mort quand même? Certainement ces projets dates de plusieurs années mais pourquoi n’ont-ils jamais été matérialisés?
Merci la vision,vous avez tout dit et posez de bonn question
@Le visionnaire,tu as tout dit mon frère…et même si le bon sens devrait être la chose la mieux partagée,force est de constater que bcp l’on perdu il y a belle lurette au Gabon.Même preuves à l’appui vous continuez à nier l’évidence.
où sont ces routes? ma voiture est cabossée à force de circuler sur les routes défoncées. Arrêtez de caresser dans le sens du poil vous ne lui rendez pas servive
Bjr les routes avanceent d’apres la communication qu’impose votre « mercenaire de la com » consequence personne d’autre pour le Gabon si se n’est Ali? A vous suivre le Gabon commence en 2009 alors qu’ali est un ancient du systeme Feu le President Bongo qui n’a rien fait. D’ou lui vient instamment cette competence?
elle lui viens de la légion étrangère
@ Tonton d’okala,
…Une locution latine d’Augustin d’Hippone dit ceci: « Humanum fuit errare, diabolicum est per animositatem in errore manere » (littéralement : « Commettre des erreurs est le propre de l’humain, mais il est diabolique de persister dans l’erreur par orgueil »). Meme, preuves à l’appui vous persistez dans votre raisonnement…eh bein chapeau !!!!
JE LANCE UN APPEL à tous les enfants de nos pseudo riches du Gabon, vous tous dont les parents ont contribué a la misère de 80% des gabonais, vous tous dont les parents ont pillés le pays pour vous financer des études en occidents pendant que l’école gabonaise est délabrée, vous tous qui allez dans les boites de nuits claquer des bouteilles de champagnes, depenser des millions que vous volé a vos parents qui volent le Gabon, vous tous qui continuez a croire que ce schema va perdurez, ressaisissez vous, parlez à vos voleurs de parents dans les maisons, dites leurs qu’ils ont fait et qu’ils font du mal à 80% des gabonais, dites leur que c’est vous qui porterez les « pots-casser » lorsqu’ils partirons, dites leurs d’arreter les crimes économiques, vous etes avant tout des gabonais, ne vous contentez pas de voyager et de beneficier des biens mal acquis par vos parents, rectifiez le tire, car nous n’allons pas accepter que vous reproduisiez les memes schema que vos voleurs de pères qui vous ont envoyé étudier en occident sur le dos de la misère de 80% des gabonais…
Reconnaitre quand quelque chose de bien est fait ne vous tuera point et n’enlevera pas votre haine contre un individu ou un regime, au contraire cela vous rendra plus credible lors de vos futures critiques.Par contre tirer a boulet sur des projets qui avancent sous de arguments fallacieux du genre c’est finance par x ou y, ou c’etait un projet depuis…cela enleve de la credibilite a vos critiques permanentes et steriles.
Quand les choses vous dépassent, on démissionne Mr Le PM. le gouvernement ALI BONGO est arrogant, furtif, mafieux et irresponsable.
Que fait le Gabon chaque année avec plus de 3000 milliards de budget annoncé bon an mal an?
En fin d’année, les excédents budgétaires doivent permettre la résolution des problèmes des gabonais et non pas leurs envois dans des paradis fiscaux… Le Gabon est forcément au moyen age ou le mot budget de la république n’a aucun sens devant les citoyens.
Décembre 2013 excédent de 85 milliards de cfa
Décembre 2013 Indemnité ADDAX Petroleum de 330 milliards
Mars 2014 économies de 650 milliards sur les budgets antérieurs
Mai 2014 la chine octroie de façon officielle 440 milliards pour la protection de la foret gabonaise.
Tous ses fonds sont virés dans des paradis fiscaux et les maboules gabonais ne disent rien, ils ont la peur au ventre pourtant ils sont au parfum des magouilles budgétaires budgétivores.
Le 25 octobre 2014, nous demandons à tous les gabonais de descendre dans les rues pour proclamer la souveraineté du Gabon sur son sol, pour demander l’abolition du franc cfa qui nous trainent dans la boue depuis 1960. Les africains sont désormais dans les réseaux sociaux planétaires, il est tant de vaincre les ennemis du Gabon et de l’Afrique. L’heure de la prise en main du destin des peuples africain a sonné, levons nous tous de façon énergique et boutons dehors les voleurs de la république et leur puissance franc-maçonnique. Sauvons le Gabon de la prédation des BONGO. Tchonda na wé!
Je pense qu’il faut se poser la question de la multitude des critiques à l’égard des actes posés par le Président, il y a un problème il doit se faire un autocritique il serait souhaitable pour lui de demander pardon au peuple d’accomplir ce mandat et tirer sa révérence en 2016, le peuple lui en sera très reconnaissant.
Et c’est sera pour être remplacé par qui?
Cher frère il faut être objectif nul n’est indispensable, le PDG de TOTAL viens de disparaitre tragiquement ce n’est pas pour autant que TOTAL va disparaitre, que TOTAL ne continuera plus à découvrir du pétrole, ne continuera plus à faire des bénéfices, son successeur risque de faire certainement mieux que le défunt, si vous réagissez de la sorte cela prouve à suffisance que dans l’exercice des responsabilités qui sont les vôtres dans votre sphère vous ne pourriez en aucun moment prendre des galons parce que vous estimiez inconsciemment que vous n’êtes pas à la hauteur. Le pays possède des compétences, organisons une élection transparente avec la publication des résultats, au fur et à mesure qu’ils tombent, village par village, ville par ville. Les populations pouvant suivre en direct à la radio à la télévision à travers les réseaux sociaux, la progression des voix obtenues par chaque candidat. La présence des journalistes du pouvoir mais aussi de la presse libre dans les bureaux de vote lors des dépouillements mais aussi dans les lieux de compilations. Ces conditions s’ils sons mises au point ce n’est pas le candidat auquel vous porteriez votre choix mais le candidat du peuple.
Enfin, on a presque envie de dire voici de belles routes ! Mais quelle honte en appoint de ce constat : les organismes financiers refusent de remettre un franc au Trésor public gabonais afin que la route prévue sur son territoire se fasse effectivement. Mais c’est une ignominie ! D’autant que les tronçons financés de la sorte sont bien achevés. Et voilà que les maîtres du Trésor Public ainsi honni, auxquels des institutions internationales responsables refusent de confier directement des financements à cause de la manie qu’ils ont de se mettre un tel pognon dans leurs poches, ces fameux « maîtres » disais-je, exultent et poussent des cris de victoire ?! En réalité, ne sont-ils pas en train de pleurer en constatant que nous, le petit peuple, allons circuler sur de belles routes au lieu de trimer sur ces tronçons désormais sécurisés et rendus agréables ? Ne regrettent-ils pas plutôt de n’avoir mis dans leurs poches ces financements qu’ils auraient dû placer pour leur propre compte dans une banque étrangère…?? Malheureusement, ces routes sont bien là. On va voir si nos dirigeants en voulaient vraiment : il va falloir maintenant les entretenir. Celle qui mène à Eboro commence à donner de grands signes d’essoufflement. Que fait-on ? De plus, on voit bien que ces voies n’ont pas été commandées après 2009. Est-ce pour cela qu’elles sont vraiment achevées par rapport à celles commandées depuis 2009, dont les chantiers sont bien à l’arrêt… ????????????
Faire la politique dans un pays comme le Gabon ou certains ne savent pas ceux qu’ils veulent. Même si on mettait ses eternels boudurs sans propositions ni projet en Suisse ils vont toujours dire quelque chose. Vous dit que le gouvernement ne fait rien quand on vous presente les realisations vous dites que c’est pas ça. c’est pour cela votre fameuse opposition est presque nulle. le temps que vous passez à dire les betises le pdg travaille, voila l’election senatoriale est déjà presente le pdg va encore vous talochez comme d’habitude….
@ Obalango
Il me parait essentiel aujourd’hui que chaque gabonais, ou du moins presque tout un chacun puisse exprimer son point de vue sur la realité de l’actualité de notre très cher pays, le GABON.
Toute fois, si on s’en tient aux statistiques données, je pense que depuis l’arrivée au pouvoir de l’actuel président, un certain nombre de choses ont évolué.
Ici précisément, nous parlons de la route. Ok très bien. Si vous avez le temps prenez votre stylo et du papier. 950 km bitumés avant 2009 sur 11000 km que compte le Gabon. Si mes calculs sont exacts, on atteint même pas 10%.(8% pour être plus précis) Et ce, en combien d’années? 40 et plus…si on soustrait les années avant le boom pétrolier des années 70, on abouti à a peu près 8% de route bitumées en plus de 30 ans. Peut-être pour vous ça n’a pas forcément attiré votre attention…mais bon, à chacun son opinion. :S
De 2009 à 2014 on annonce 2000 km bitumés, environ 18% (en 5 ans), bon je ne sais pas si vous travaillez au TP ou dans une entreprise qui construit les routes mais quand même on trouve qu’entre 8% en 30 ans (et plus) et 18% en 5 ans, ya kan même eu de l’évolution.( moi et ceux qui partagent mon point de vue).
Autre chose, vous avez parlé de la Guinée E. et son « vrai bitume » pensez-vous les entreprises qui construisent les routes en Guinée sont diff que celles qui le font au Gabon? En m’informant la dessus (puisque la plupart des projets ont presque les mêmes sources de financement), on constate que ce sont presque les mêmes entreprises…bref. Et Pour votre gouverne, la guinée Equatoriale compte 2700 km de routes ( soit l’équivalent de ce qu’à bitumé le Gabon ces 5 dernières années) dont 1600 km sont déjà bitumés. Votre comparaison, tient-elle vraiment lieu d’être?
pour finir, concernant les prix des denrées alimentaires, je suis d’accord avc vous dans le sens ou l’état devrait faire encore mieux pcq le coup de vie au Gabon reste et demeure trop élevé pour le Gabonais lambda que nous sommes.
La pauvreté a évolué et les crimes rituels et économiques aussi, les assassinats aussi..;
@ tous ceux qui exultent l’emergence sans réflechir.
si les routes dont vous faites selon moi une publicité exagérée ont été financées par lea Bailleurs de fonds extérieures.. dites nous alors ce que nous avons fait de nos ressources » Propres » étant entendu que seules les ressources d' » emprunts » produisent ces résultats…et en passant ressources injectées directement par les organismes financiersdirectement les entrperises par appels d’offre ouverts .. c’est le meilleur moyes d’éviter la corruption ambiante. de deux, des salles classes non réalisées en 5ans, les centres de santé non équipés, non construits, et toutes le torrents des réalisations non réalisées par Ali Bongo, à quoi ont servi alors les 15 mille milliards engrangés par l’Etat en 5 ans ( juste une addition des differents budgets du pays depuis 2009).. pourquoi tous les autres Chantiers financés sur fonds propres sont tous à l’abandon.. vraiment les autres viennent nous réaliser les routes ont est content alors que nous même brillons par une incapacité criarde….Mais bon chacun voit midi à sa porte selon.
Ali meme si tu fait une tour effeil avant 2016, on ne te dira pas merci car c’est notre argent, personne ne t’a envoyez a la presidence tu es parti laba de force, par un coup d’etat, tu pense qu’on va oubliez sa parceque tu fait quelques routes(rire)!!! donc fait tes maigres realisation, apres tout, tu a un bureau, mais tu degage en 2016, car tu est loin du compte, ce que tu fait est dérisoire, tu prend des mesurette, fait nous la route pk5-Ntoum, et apres ouuuusttt, bye bye, tu degage, tu n’est pas indispensable au Gabon, on serait mieux sans toi…
Mais enfin, la route au gabon est un serpent de mer, parce que les gens qui ont les mille diplômes disent que la route est un facteur de développement, et qu’aucune route n’est supérieure à l’autre, mais allez au Sud Est du gabon en prenant la gauche, c’est la piste d’éléphants avec des ponts faits en longrines non praticable en saison de pluies, pas d’électricité donc pas de télévision, pas radio, pas d’hôpital en tout cas zéro, les populations vivent à l’état primitif, bon enfin je ne fais que dire, pardon, ce n’est pas le mauvais cœur ho.