«Nuit des idées» 2019 : Une plateforme axée sur les enjeux contemporains

L’Institut français du Gabon (IFG)’a organisé le 31 janvier, de 16h à 23h30, la « Nuit des idées ». Un événement axé sur l’actualité des savoirs, simultanément réalisé sur les cinq continents.

La «Nuit des idées» a été célébrée pour la première fois à Libreville au Gabon. Portée par l’Institut français (IFG), cette invitation annuelle consacrée à la libre circulation des idées et du savoir, avait pour but de valoriser les scènes intellectuelles et culturelles sur les cinq continents. La manifestation s’est déroulée de 16h à 23h30, avec des points de vue croisés de plus de 70 intervenants de différentes générations et disciplines qui ont échangé sur les enjeux contemporains.

Avec pour thème principal « Face au présent », trois pistes de réflexions ont été proposées aux participants. La première axée sur l’actualité et les mutations technologiques, sociales, environnementales, géopolitiques que la société présente aujourd’hui. La deuxième sur l’engagement et les formes qu’il peut prendre pour relever les défis contemporains, la dernière sur la perception du temps et de ses transformations, dans une époque marquée par l’instantanéité de l’information.

Pour explorer l’ensemble de ces pistes, «le programme proposé par l’IFG a multiplié les formats : forums, tables rondes, ateliers participatifs, projections, concerts, œuvres collectives, spectacles vivants et performances artistiques. Toutes ces activités ont été l’opportunité de renouveler les débats d’idées sous une forme festive et plurielle, afin de permettre au visiteur de construire son propre parcours au sein de l’IFG», a indiqué l’IFG.

La première édition de cet événement mondial a reçu un franc succès auprès du public qui s’est émerveillé de la vitalité du débat. «La nuit des idées a été un très beau concept qui a permis le partage d’idées entre personnes d’horizons divers mais qui au fond, avaient un point commun : le bien être de l’humanité. J’attends vivement l’année prochaine pour la deuxième édition parce que j’estime que c’est une bonne parenthèse pour réfléchir sur les enjeux contemporains», a déclaré Ghislain Mboumba, l’un des participants.