La finale nationale de la 2e édition du Concours inter-régional, «Mon idée, mon entreprise» aura lieu le 10 mai prochain à Libreville. Pour optimiser les chances des candidats à ce concours, deux formateurs qualifiés ont été mis à leur disposition par le bureau national de l’AUF afin de les aider à mieux structurer leurs projets et à préparer leurs pitchs. Le vainqueur représentera le Gabon à la compétition régionale au Cameroun.

La séance de formation dans une salle de l’AUF, le 27 avril 2023. © D.R.

 

L’Agence universitaire de la francophonie (AUF) organise la phase 3 de la 2e édition du Concours inter régional, « Mon idée, mon entreprise « en faveur des étudiants dont les établissements sont membres.  Selon le responsable du Campus numérique francophone de Libreville (CNFL), Brice Ondjibou, ce concours veut promouvoir et susciter l’esprit d’entrepreneuriat en milieu universitaire. «Il s’adresse aux étudiants des établissements membres de l’AUF et vise fondamentalement à leur offrir l’opportunité et les moyens de transformer leurs idées en projet d’entreprise», a indiqué Brice Ondjibou.

Pour la finale nationale, deux formateurs ont été mis à la disposition des candidats sélectionnés, par le Bureau national de l’AUF via son Centre d’employabilité francophone (CEF) de Libreville, du 27 au 28 avril 2023, afin de les aider à bien structurer leurs projets et préparer leurs pitchs. Les étudiants sont enthousiastes et motivés à prendre part à ce challenge. Et pour certains, cette formation est plus que nécessaire pour envisager la poursuite des projets soumis après ce concours.

Une vue des candidats © D.R.

Pendant deux jours, les candidats ont été formés au montage de projet (le business plan) et le pitch (la prise de parole en public pour mieux défendre son projet). Les projets concernent plusieurs secteurs tels que la communication avec les applications mobiles, la préservation de l’environnement à travers les projets de recyclage et la promotion du tourisme durable.

Cette formation intervient dans un contexte où les universités de l’espace francophone sont confrontées à trois défis principaux. Il s’agit notamment du défi de la qualité de la formation, de la recherche et de la gouvernance ; du défi de l’employabilité des diplômés ; et du défi institutionnel pour l’implication des universités dans les évolutions économiques, culturelles et linguistiques des sociétés.

Pour cette 2e édition, apprend-on, 26 projets en provenance de l’UOB, IAI, UIL, USTM, IUSSO ont été retenus contrairement à l’édition précédente qui n’avait enregistré que 10 projets. Au bout de la finale nationale qui aura lieu le 10 mai prochain à Libreville, un projet sera primé et le vainqueur sera pris en charge pour la compétition régionale au Cameroun.

 
GR
 

1 Commentaire

  1. Loozap dit :

    C’est une très bonne initiative

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