Mission VLRI : Convention internationale annuelle et prières pour le Gabon
La Mission Vérité pour une liberté réelle internationale (VLRI) a organisé, du 1er au 4 décembre à Libreville et Akanda, sa convention internationale annuelle. Des centaines de délégations en provenance de différentes villes du pays et de l’étranger ont assisté à ce grand évènement qui ne s’était plus tenu depuis près de quatre ans en raison des mesures anti-Covid.
Jolis moments de partage au sein de la Mission Vérité pour une liberté réelle internationale (VLRI). Solidement implantée au Gabon et dans d’autres pays, ce puissant ministère vient d’organiser sa 4e convention internationale annuelle. Celle-ci ne s’était plus tenue depuis près de quatre ans à cause des mesures gouvernementales qui interdisaient les rassemblements pendant la période de la Covid-19. Cette édition a enregistré des centaines de délégations en provenance des différentes villes et pays où l’on trouve des églises de la Mission VLR (Gabon, Sénégal, Togo, Ghana, Côte d’Ivoire, Maroc, Tunisie, Afrique du Sud, Canada, États-Unis, Bolivie, France, Allemagne et Chine).
«En Afrique, pour ne citer que le cas de notre continent, les gens connaissent l’apostolat nigérian, ivoirien, congolais, sud-africain, etc. En revanche, l’apostolat gabonais est très peu sinon mal connu. En qualité de chrétien et de serviteur de Dieu, il est de notre devoir de promouvoir cet apostolat. Il nous revient en tant que praticien de la foi de Jésus-Christ d’être ses témoins dans notre pays et à travers d’autres nations, conformément à l’instruction de notre Seigneur et Sauveur», a expliqué le fondateur et le président des églises VLRI, le 4 décembre à Libreville.
2000 participants venus du Gabon et d’ailleurs
«Les missionnaires gabonais que nous envoyons dans ces pays sont également la preuve que le Gabon regorge de serviteurs et de servantes de Dieu capables d’annoncer l’Évangile de Christ et de prendre soin du peuple de Dieu, ailleurs que dans notre pays. En ce qui concerne l’implantation et la croissance des églises VLR, il n’y a de secret que la prière, le principe de l’imitation des pères dans la foi et l’accomplissement de la volonté de Dieu. C’est Dieu qui fait grâce et nous avançons seulement sous la direction du Saint-Esprit», a ajouté l’apôtre évangéliste Georges Olivier Mbazaboua.
La 4e convention internationale annuelle enregistré la participation de centaines de délégations en provenance des différentes villes et pays où sont implantées les églises de la Mission VLRI. Plus de 2000 participants ont pris part à aux activités prévues à cet effet. En marge de la convention internationale annuelle, la Mission VLRI a organisé la 3e édition des prières nationales en faveur du Gabon ayant pour thème : «Seigneur, aie pitié du Gabon».
300 serviteurs et servantes de Dieu de nationalité divers, comprenant des apôtres, des prophètes, des pasteurs, des évangélistes, des docteurs de la parole de Dieu et même des prêtes, venus de différentes églises qui sont extérieures à la Mission VLRI, ont pris part à la présente édition. Plusieurs sujets de prière autour de la santé, de la sécurité sociale, de la vie chère, de l’eau et l’électrification, de l’insécurité, de l’implication des églises dans le renforcement des plateaux sanitaires et des structures de formation, de la paix post électoral, du développement économique ont mobilisé et captivé l’attention d’une foule de plus de 2000 personnes qui ont envahi tout le gymnase d’Oloumi, à Libreville.
731 personnes ordonnées
La convention s’est achevée le 4 décembre avec l’ordination de plusieurs niveaux de responsabilité allant d’évêque à diacre. La cérémonie était présidée par l’apôtre évangéliste Georges Olivier Mbazaboua en sa qualité de président des églises VLR, en présence de plus de 1500 invités. «Ce sont 731 personnes qui ont été ordonnées soit deux évêques, huit délégués, 10 assistants délégués, 61 pasteurs, 30 assistants pasteurs, 97 anciens, 179 diacres et 344 compagnons d’œuvre. Beaucoup sont à la tête des églises VLR au Gabon et à l’international», a révélé la Coordinatrice générale de la Mission VLRI.
«Ne vous fiez pas à ce nombre. Pour certains, cela peut paraître suffisant pour effectuer les différentes tâches de l’Église. Cependant, pour la Mission, ce nombre est inférieur aux besoins ecclésiastiques. Néanmoins, il nous encourage à intensifier l’évangélisation, la formation et le suivi de nouvelles personnes, car l’œuvre de Dieu nécessite toujours des nouveaux serviteurs de Dieu», a conclu Marie Rosine Itsana. Le rendez-vous est pris pour l’année prochaine afin d’ordonner d’autres serviteurs de Dieu actuellement en formation.
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