Marathon du Gabon : M-J. Pérec, Mmes Kabila et Condé… avec Sylvia Bongo
L’épouse du président de la République a annoncé sa participation à la course féminine de 5 kilomètres, organisée le 28 novembre courant. Marie-Josée Pérec (triple médaillée olympique), deux épouses de chefs d’Etat africain et des femmes politiques venues du continent seront à ses côtés.
Certaine d’avoir eu une bonne préparation avant le marathon du Gabon auquel elle a déjà participé, l’épouse du président de la République a promis récidiver cette année. Pour Sylvia Bongo Ondimba, la troisième édition ne se fera pas sans elle ni les membres de la fondation qu’elle a contribué à créer. Pour cette édition, elle entend courir «La Gabonaise», une course féminine de 5 kilomètres. À ses côtés, d’autres célébrités féminines se sont invitées à cette compétition qui a gagné en grade au niveau international, parmi lesquelles l’athlète française, triple médaillée olympique, Marie-Josée Pérec, mais aussi Marie-Olive Lembe Kabila (épouse du président de RD Congo), Djéné Kaba Condé (épouse du président de Guinée), Gimbiya Dogara (épouse du président de la Chambre des représentants du Nigéria), Germina Mokui Mba (ministre de la culture de Guinée équatoriale), Dela Sowa (ministre déléguée au Genre et à la Protection sociale du Ghana), Kaffia R. Christelle Jackou (ministre déléguée aux Affaires étrangères du Niger).
Alors que 4 000 autres participantes sont annoncées, cette course prévue pour le 28 novembre courant à Libreville, sera l’occasion de clôturer la deuxième campagne de sensibilisation et de dépistage des cancers féminins dénommée «Octobre rose». Sur les raisons de sa participation à la course, Sylvia Bongo Ondimba répond : «Je cours pour les femmes gabonaises. Je cours pour qu’elles sachent qu’aujourd’hui on peut guérir du cancer s’il est détecté suffisamment tôt. Je cours parce que mon engagement rime avec action, courage, défi, audace». A ses yeux, l’implication de chacun est d’autant plus essentielle que «chaque année, le cancer touche au Gabon de plus en plus de femmes. On dénombre pas moins de 400 décès par an liés aux cancers féminins». «C’est en conjuguant les efforts de tous les acteurs que nous pourrons vaincre le cancer», estime-t-elle.
Les revenus tirés des inscriptions de cette année seront intégralement reversés à la «Maison d’Alice», une structure d’accueil et de séjour, dédiée aux malades du cancer. «Parmi les enjeux, se pose aussi la question de la prise en charge psychosociale des patients», indique Sylvia Bongo Ondimba. «Je mets toute mon énergie pour que (cette) maison de vie puisse accueillir dans les tout prochains mois, dans le respect de la dignité humaine, les malades qui sont dans l’incapacité de se loger à Libreville, (parce que) sur un continent où l’on est souvent confronté à la stigmatisation du malade, condamnant ainsi des femmes et des hommes à la solitude et au renoncement, il est de notre devoir de nous mobiliser, tous ensemble, contre le cancer», dit-elle, avant de lancer : «Oui, le cancer n’est pas une fatalité. On peut en guérir. On peut le vaincre en informant, en sensibilisant, en agissant. C’est pourquoi je cours «La Gabonaise» ce samedi 28 novembre».
6 Commentaires
Ce footing est purement persnnel et je ne trouve auqu’une cause pourque la press s’en interesse.
Heureusement que ce ne sont pas les fonctionnaires du ministére des Sports qui organisent ! le Suisse qui a vendu cette événement au Gabonais est trés fort ! arriver à les faire courir ! alors que toute l’opposition n’arrive pas à les sortir des bars, pour marcher !
les marches de l’opposition sont systématiquement interdites, au cas ou vous l’auriez oublier.
CE MARATON N’APPORTE RIEN AUX GABONAIS SI C’EST NE PAS POUR VENDRE L’IMAGE DE NOTRE PAYS SUR LE PLAN MONDIAL PENDANT QUE CELA COUTE CHER POUR LE PAYS AVEC LE MANQUE D’EAU, ÉLECTRICITÉ, EN PLEIN CAPITALE
N’IMPORTE QUOI PAS D’EAU, PAS D’ELECTRICITE EN PLEINE CAPITALE
un maraton d’exibitioniste bon qu’a exposer les boges