Organisé depuis le 10 juin courant au Gabon, le «Central accord» a été, de fond en comble, expliqué au cours d’une téléconférence animée à l’Ambassade des États-Unis au Gabon, par le brigadier général Kenneth .H. Moore et le général Ferdinand Gaspard Olame Ndong, représentant l’armée gabonaise.

Une séance du Central accord 2015. © D.R.

Une séance du Central accord 2015. © D.R.

 

Organisé du 10 au 24 juin courant, par l’armée américaine en partenariat avec 14 Etats africains et les éléments l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN), le Central accord avait pour objectifs, entre autres, d’améliorer l’interopérabilité des opérations de maintien de la paix des Nations unies.  Pour clarifier davantage ces objectifs aux représentants des organes de presse, une téléconférence a été animée au sein de l’ambassade des Etats-Unis au Gabon, par le brigadier général Kenneth H. Moore Jr, de l’armée américaine, et le général Ferdinand Gaspard Olame Ndong, représentant le Gabon. À ce titre, les deux généraux ont débattu des opportunités de partenariat entre les armées américaines et africaines, des mesures de confiance, de la sécurité et de lutte contre l’extrémisme violent en  Afrique.

Avec plus de 1200 participants venus de 14 États africains, le Central accord qu’abrite pour la deuxième fois le Gabon après celui de 2015, a constitué une occasion pour les tous participants de pratiquer et démontrer leurs capacités à effectuer des opérations de maintien de paix. Il leur également permis d’augmenter l’interopérabilité et de renforcer les capacités tout en cimentant les partenariats entre eux.

LeCentral accord en cours vise à renforcer les capacités de la sécurité régionale africaine pour effectuer les opérations de maintien de la paix en République centrafricaine, à répondre aux scénarios de catastrophe naturelle et à améliorer les relations militaires et la capacité des forces américaines à intervenir dans des environnements austères avec leurs partenaires potentiels de la coalition.

«L’armée américaine est une armée opérationnelle. Elle pourra, au cours de ces manœuvres, nous permettre de gagner dans les domaines de la formation de nos soldats, avec les synergies entre tous les autres pays d’Afrique», s’est réjouit le général Ferdinand Gaspard Olame Ndong au cours de son intervention. Le brigadier général, Kenneth .H. Moore a, quant à lui, souhaité que ce genre de manoeuvres se perpétue pour  la renforcement de la coopération militaire entre l’armée américaine et celles des États africains pour une meilleure lutte contre l’extrémisme violent aussi bien en Afrique que dans le monde.

Auteur : Jean-Thimothé Kanganga

 

 
GR
 

4 Commentaires

  1. Nzafeu dit :

    Avoir les USA pour partenaire, c’est coopérer avec le DIABLE. Ces gens là foutent la merde partout dans le monde jusqu’en Syrie en finançant le térorrisme pour leurs intérêts. Rentrez chez vous Américains de malheur!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  2. Jean dit :

    Ces manœuvres militaires permettent d’augmenter l’interopérabilité et de renforcer les capacités tout en cimentant les partenariats entre eux.

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