Lutte anti-Covid : La Jica offre des équipements médicaux au Cermel

Dans le cadre de la lutte contre le Covid-19, l’Agence japonaise de coopération internationale (Jica) a offert au Centre de recherches médicales de Lambaréné des équipements médicaux. Ce don d’une valeur de 75 317 786 francs CFA composés de 8 types de produits qui sera livré au Cermel avant la fin du mois de mars. Le 3 février, à Lambaréné, 5 000 sachets jaunes pour les déchets à risques infectieux ont été livrés à titre symbolique.

Remise symbolique du don au directeur du Cermel. © Gabonreview

Dans la foulée du don d’équipements médicaux au ministère de la Santé pour la lutte contre le Covid-19, l’Agence japonaise de coopération internationale (Jica), s’est rendue le 3 février au Centre de recherches médicales de Lambaréné (Cermel) pour un don de la même nature. D’une valeur d’un peu plus de 75 millions de francs CFA, ce don est composé de 8 types d’équipements médicaux pour permettre au Cermel de renouveler ses stocks aussi bien en termes d’équipements de protection individuelle, que de matériels de diagnostics et produits d’hygiène hospitalière.

Photo de famille à l’issue de la remise du don le 3 fvrier au Cermel. © Gabonreview

Au nombre des équipements, 1 800 marques médicaux, 3 000 blouses jetables, 11 000 charlottes, 2 500 paires de « surchaussures » (couvres-chaussures), 300 litres d’Ethanol (-98%), des QIAamp viral RNA mini kit (250) pour 6 500 prélèvements et ART filter 1 250XL Refill pour 3 225 prélèvements qui seront tous acheminés sur Lambaréné avant la fin du mois de mars prochain. A cela s’ajoutent 5 000 sachets jaunes pour les déchets à risques infectieux qui ont été livrés le 3 février à titre symbolique.

A travers ce geste, la Jica et globalement le gouvernement japonais a dit réaffirmer au Gabon, et particulièrement au Cermel, son soutien dans le cadre de la lutte contre le Covid-19. Au Cermel, la Jica avait mis en place un projet d’établissement d’un système de surveillance en laboratoire des maladies virales représentant un problème de santé publique(Symav) accompagné d’un volet formation pour les chercheurs gabonais.