Le groupe Foberd Gabon dément les accusations de trafic d’employés étrangers
Suite à des rumeurs circulant sur les réseaux sociaux, le groupe Foberd Gabon, actif dans l’importation et la distribution au Gabon, a publié un communiqué pour démentir fermement les accusations dont il fait l’objet. Le PDG du groupe, Mesmin Sigha, n’a pas été arrêté comme affirmé sur Facebook.
Le Groupe Foberd Gabon, entreprise à caractère commercial implantée au Gabon depuis mai 1999, a récemment fait face à des allégations de trafic d’employés étrangers, de fraudes aux allocations familiales et de détournement de cartes de séjour. Ayant circulé sur les réseaux sociaux, ces accusations ont suscité de vives réactions parmi les internautes. Dans un communiqué officiel, l’entreprise a vigoureusement réfuté ces allégations et a réaffirmé son engagement envers le développement socio-économique du Gabon.
De même, Mesmin Sigha, haut hiérarque de l’entreprise, n’a pas été arrêté, contrairement à ce qu’affirmait un post viral sur Facebook. Appelant les médias et internautes à plus de rigueur, Foberd Gabon dénonce des informations «en déphasage avec la réalité».
Le communiqué publié par Foberd Gabon met en lumière l’histoire et l’impact positif de l’entreprise sur le pays depuis plus de deux décennies. L’entreprise a déclaré avoir créé plus de 1500 emplois nationaux, contribuant ainsi à la réduction du chômage au Gabon. De plus, elle a joué un rôle essentiel dans la croissance économique de plusieurs secteurs, notamment l’importation, la distribution grossiste/détaillant, et la production nationale, en offrant des produits et services de qualité à des prix compétitifs.
Selon les données fournies par Foberd Gabon, sur un effectif global de 1534 personnes, l’entreprise compte actuellement 1023 employés nationaux et 511 employés étrangers. Conformes aux enregistrements de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), ces chiffres soulignent l’engagement de l’entreprise envers la légalité et la transparence en matière d’emploi.
Le communiqué exhorte également les médias et les créateurs de contenu en ligne à faire preuve de responsabilité et à s’abstenir de diffuser des informations diffamatoires ou en déphasage avec la réalité. Il rappelle que de telles allégations non fondées peuvent nuire à la réputation des entreprises et entraver les efforts en cours pour stimuler la croissance économique du Gabon.
Ces récentes allégations et la réponse du Groupe Foberd Gabon mettent en lumière l’importance de la vérification des informations et de la responsabilité dans un environnement médiatique numérique. Il est essentiel que les médias, les internautes et les acteurs concernés travaillent ensemble pour promouvoir un dialogue constructif et contribuer au développement socio-économique du Gabon.
En fin de compte, le Groupe Foberd Gabon continue de s’engager dans le plan de développement économique du pays, en créant des emplois, en offrant des produits de qualité et en contribuant de manière significative à la croissance de divers secteurs économiques au Gabon.
4 Commentaires
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511 étrangers sur 1534 employés. Même ce ratio soit disant officiel est inacceptable!! Pourtant il existe des textes réglémentaires qui régissent l’emploi de la main d’oeuvre étrangère. Quid de leur application par Foberd?
1/3 de la main d oeuvre et surement 100 % des postes d encadrement occupés par des étrangers. Il faut agir
@ Les chiffres sont communiqués:
– 1534 emplois: directs ou indirects ?
– 1023 nationaux: combien de CDD ou CDI?
– Dans les 1023 emplois, combien de gabonais d’origine camerounaise(naturalisation peu orthodoxe) et de gabonais de souche ?
– Quels sont les postes de responsabilité occupés par les nationaux ?
– le SMIG est-il respecté, et il est à combien?
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De mon humble avis, ce groupe devrait prendre au sérieux les critiques sur les réseaux sociaux. Elles peuvent lui être utiles dans le contexte actuel. Le Gabon est entrain de prendre un nouveau départ, aide-le en parsemant son chemin d’embuches.
Le Gabon est un petit pays, et n’oubliez pas que ces 1023 employés ont des parents éparpillés dans tout le pays, par conséquent tout se sait (comparaison de salaire, traitement social, responsabilité, trafic d’influence…)
CHANGEONS SEULEMENT DE PARADIGME