Le directeur général de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG)Alain Patrick Kouma, a livré le 9 février les travaux de réparation des groupes électrogènes du Centre hospitalier universitaire de Libreville (CHUL).

La centrale de secours du CHUL désormais opérationnelle, d’une puissance nominale de 700 KVA chacun. © Gabonreview

 

La directrice générale du Centre hospitalier universitaire de Libreville (CHUL), Marie-Thérèse Vane, a réceptionné le 9 février, les travaux de réparation de deux groupes électrogènes de marque SDMO, d’une puissance nominale de 700 KVA chacun, en panne depuis plus d’une année.

«Je témoigne ici le soulagement du personnel soignant qui, quand les groupes étaient en panne travaillait dans des conditions pénibles. Mais également, celui des patients qui eux aussi étaient accueillis dans des situations difficiles quand, il n’y avait pas d’électricité», a déclaré la directrice générale du CHUL, non sans remercier le directeur général de la SEEG et les équipes techniques qui ont participé à la  réhabilitation de ces équipements.

Les travaux de réparation démarrés le 17 juillet dernier se sont achevés le 28 janvier 2021, après six mois d’intervention. Ils ont consisté au remplacement des modules de commande par d’autres plus adaptés, la remise en état des câblages inter-armoires, le paramétrage des automates, le contrôle des paramétrages des moteurs et des alternateurs de puissance et le réglage des paramètres de couplage.

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«Le CHUL est un outil commun qui a appartient à toute la population gabonaise. Tout le monde peut être amené à passer au CHUL, parce que c’est Dieu seul qui maîtrise notre santé. Amener l’administration du CHUL, les agents à travailler dans de bonnes conditions et permettre aux patients d’être reçus dans ces mêmes conditions, est un souci majeur des hautes autorités que nous venons de résoudre», a confié Alain Patrick Kouma, assurant que la SEEG ne se limite pas seulement à la fourniture d’eau et d’électricité. Elle sait se montrer sensible et apporter des solutions aux problèmes des populations.

Avec la remise en état de ces deux groupes électrogènes inopérants depuis plus d’un an, le stress dû aux interruptions inopinées mal vécu par les praticiens et les patients du CHUL ne sera plus qu’un vieux souvenir. La SEEG sera sans doute mise à contribution pour donner de l’eau à profusion à cette structure sanitaire. Car, selon Marie-Thérèse Vane, les «installations du CHUL sont très vétustes, nous avons d’énormes problèmes d’alimentation en eau ».

 
GR
 

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