Ville d’origine de sa seconde épouse, la commune de Kango où le président de la transition s’est rendu ce mardi 13 août dans le cadre de sa tournée républicaine dans la province de l’Estuaire a accueilli l’annonce d’une dotation de 500 millions de francs CFA au bénéfice des populations, en vue de «soulager à très court terme (leurs) besoins».

Brice Clotaire Oligui Nguema recevant du délégué spécial de Kango la clé symbolique de la ville, le 13 août 2024. © Capture d’écran/Facebook

 

Comme à Akanda la veille, il n’a pas caché avoir un lien personnel avec la ville de Kango. Le général Brice Clotaire Oligui Nguema a fait savoir que sa seconde épouse est originaire de cette localité dans laquelle il dit avoir investi pour ses enfants. Aussi, a-t-il dit connaître et partager les attentes de ses habitants. Conséquence : à l’instar des précédentes villes par lesquelles il est passé depuis le début de sa tournée républicaine à travers le Gabon, le président de la transition a annoncé la mise à disposition d’une enveloppe de 500 millions de francs CFA. 

Cet argent, a indiqué le chef de file du Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI), servira à «soulager à très court terme les besoins des populations». Il ne s’agit donc pas d’un fonds octroyé dans le but de financer les projets en cours dans la commune ou ceux à venir, à l’instar de la construction d’un complexe scolaire ou d’une nouvelle salle polyvalente d’une capacité de 500 places avec une partie abritant les services de la mairie.

À cette enveloppe, Brice Clotaire Oligui Nguema a dit ajouter l’octroi de deux véhicules pickup au profit de l’administration publique locale, ainsi qu’une ambulance pour l’hôpital de Kango.

 
GR
 

2 Commentaires

  1. Jean Jacques dit :

    Il ya 2types des nègres, nègres conscients qu’on trouve en Afrique anglophone et les nègres abrutis, inconsciente en Afrique francophone ou se trouve le dépotoir du malheur du Continent.

  2. Jean Jacques dit :

    En 2014, le Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine a dénoncé ​​ les « insuffisances en termes de gouvernance », mais aussi « la cupidité, l’égoïsme, une mauvaise gestion de la diversité et des opportunités, la marginalisation, les abus des droits humains, le refus d’accepter la défaite électorale, la manipulation des constitutions, ainsi que la révision anticonstitutionnelle des constitutions en faveur d’intérêts restreints et la corruption » comme fréquentes causes des changements anticonstitutionnels de gouvernement.

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