Journée mondiale de l’Environnement : l’ANPN au contact des écoliers

En prélude à la célébration dimanche prochain de la Journée mondiale de l’Environnement, l’Agence nationale des parcs nationaux (ANPN) a convié plusieurs élèves de la capitale un atelier pédagogique le vendredi 3 juin à sa direction technique sise à Santa Clara, dans la commune d’Akanda.

Photo de famille au terme de l’atelier. © ANPN

Moment de l’atelier à Santa Clara. © ANPN

Comme tous les 5 juin depuis 50 ans, la Journée mondiale de l’Environnement sera célébrée dimanche prochain sur toute la planète, et le Gabon ne dérogera pas à la règle. Une allocution du ministre en charge de l’Environnement, Pr Lee White, est prévue pour l’occasion. Mais à l’ANPN, on a souhaité prendre de l’avance sur cette célébration qui cette année revient avec le thème choisi lors de la toute première édition en 1972 : «Une seule Terre». En partenariat avec l’organisation environnementale Éveil en Forêt, pionnière de l’éducation environnementale en Côte d’Ivoire, l’agence dirigée par Christian Tchemambela a également fait le choix de mettre les jeunes écoliers au centre de cette célébration, en les conviant ce vendredi à un atelier pédagogique dans la commune d’Akanda.

© ANPN

Organisé à sa direction technique, sise à Santa Clara, cet atelier est présenté par l’ANPN comme «une séance d’éducation environnementale» donc le but était de proposer aux élèves âgés d’une dizaine d’années de découvrir la biodiversité du Gabon au travers des parcs nationaux, le système de gestion et les métiers liés à l’environnement. Une immersion en milieu naturel, à la pépinière de l’Arboretum Raponda Walker, a également été offerte aux jeunes participants. L’objectif étant de leur faire prendre conscience de la nécessité de préserver les riches de la nature, en veillant dans un premier temps à la préservation de l’environnement.

Pour ce faire, écoguides, écogardes, conservateurs et responsables administratifs et techniques de l’ANPN ont présenté leurs différents métiers à leurs jeunes hôtes. Ils espéraient ainsi susciter en eux quelques vocations pour les métiers dits «verts».