Journée des Droits des Femmes : Zita Oligui Nguema promeut l’égalité et de l’autonomisation

Le 8 mars, à l’occasion de la Journée internationale des Droits des Femmes, Zita Oligui Nguema a réaffirmé son engagement en faveur de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes. La première dame du Gabon a mis l’accent sur un message fort : «pour toutes les femmes et les filles, droits, égalité et autonomisation».

La première dame du Gabon, Zita Oligui Nguema. © D.R.
«Pour toutes les femmes et les filles, droits, égalité et autonomisation», a lancé, le 8 mars dernier, la première dame Zita Oligui Nguema. Cet appel résonne particulièrement dans un contexte où les inégalités persistent et où de nombreuses femmes luttent encore pour accéder à leurs droits fondamentaux. Au Gabon, des progrès significatifs ont été accomplis ces dernières années en matière de reconnaissance des droits des femmes, notamment dans les domaines de l’éducation, de l’entrepreneuriat et de la protection contre les violences basées sur le genre, mais beaucoup reste à faire.
Lors de cette journée symbolique, où il a été essentiel de rappeler que l’égalité entre les sexes n’est pas seulement une question de justice sociale, mais aussi un facteur essentiel de développement et de prospérité pour tous, elle a dans sa démarche, souligné que l’engagement en faveur des droits des femmes doit être une priorité collective, afin de construire un avenir plus juste et équilibré pour les générations futures.
Cette journée a également été l’occasion de mettre en lumière les initiatives qui favorisent l’émancipation féminine. Ce, dans un contexte où, de nombreuses associations et organisations travaillent activement pour renforcer la participation des femmes à la vie économique et politique du pays. Cependant, les défis restent nombreux. L’accès à l’éducation pour toutes les filles, l’élimination des discriminations en milieu professionnel, ainsi que la lutte contre les violences faites aux femmes sont des priorités qui pour plus d’un, doivent continuer à mobiliser les pouvoirs publics et la société civile.

1 Commentaire
« L’égalité des sexes » et « le genre ».
Ils s’agit de problèmatiques homosexuelles femmes-femmes et/ou homme-homme.
Explication : Là où la loi le permet, le ‘mariage’ ou l’union entre personne de même sexe est approuvé.
Quand l’un(e) des partenaires divorce ou décède, l’autre n’a pas droit à la passion alimentaire ou à l’héritage.
Pourquoi ?
Parce que la même loi qui les autorise à s’unir DÉFINIT le mariage comme union de sexe opposé – cela a donné naissance au mot CONJUGALE et CONJOINT – où ses sexes opposés se JOIGNENT.
Je ne parle pas des pays qui interdisent cela.
Je parle des pays qui autorisent la célébration de l’union de même sexe.
Je précise pour notre gouverne que les union de fait (une sorte de concubinage) qui uni un homme et une femme, ne donne pas droit à la passion alimentaire par exemple, parce que c’est un droit pour les mariés.
Il y a des exceptions à ce que j’écris, mais c’est la règle générale.
Le réel nous dit que les sexes femmes et hommes ne sont pas ‘égaux’ mais COMPLÉMENTAIRES.
Pour me résumer, il s’agit de la promotion de l’hommosexualité homme-homme ou femme-femme quand l’égalité des sexes est dit.
Pour le problème de violence conjugale, il est lié à la mauvaise éducation. De plus, il y a des cultures où battre sa femme EST une preuve d’amour.
En Zambie, battre sa femme est considéré comme un acte d’amour.
Source : netafrique.net
NIGERIA. Battre sa femme, un devoir conjugal
Source : Courrier international
Zita va dans la mauvaise direction.