Jean Pierre Pont, candidat aux législatives 2012 pour les Français de l’étranger
Pour la première fois, cette année les Français de l’étranger vont élire 11 députés au sein de leur Assemblée nationale. La 10e circonscription des Français de l’étranger compte quatre candidats : le député UMP Alain Marsaud, le vendeur de matériel médical François Kahn, l’avocate Patricia Elias Smida et l’expert en mobilité internationale, Jean-Pierre Pont, éditeur bien connu au Gabon.
Fort d’un parcours professionnel au sein des 49 pays de cette circonscription, dont le Gabon, Jean Pierre Pont est notamment directeur de Mobility Media Agency, qui édite deux périodiques économiques gratuits « Côte d’Ivoire Économie» et «Economie Gabon +».
«Il n’est plus envisageable que les Français de l’étranger soient représentés par des élus mandatés par les instances politiques et ignorants des problèmes quotidiens auxquels sont confrontés nos compatriotes. (…) Les problèmes quotidiens rencontrés par les Français de l’étranger ne doivent plus être appréhendés à l’aune des discours purement politiciens. L’isolement dans lequel ils se trouvent, depuis trop longtemps, recouvre des problématiques spécifiques à chacun des pays de cette circonscription. Ces réalités quotidiennes ne peuvent trouver de réponse dans un discours global et lénifiant, mais par une prise en compte et des réponses adaptées aux réalités locales», a souligné Jean Pierre Pont dans une interview.
Le candidat à la députation sur la 10e circonscription des Français de l’étranger sera suppléé par Mirna Bassil Khalife, titulaire d’un Master francophone de journalisme de l’Université libanaise et actuelle rédactrice en chef de l’hebdomadaire féminin panarabe «Haya». «Loin du discours politique traditionnel et des enjeux partisans, j’ai découvert un candidat qui écoute, comprend, et vit au quotidien les problèmes auxquels sont confrontés les Français de l’étranger. Sa grande connaissance du terrain, ses réseaux professionnels, ses innombrables amitiés et sa foi dans le potentiel de la société civile, lui fournissent de précieux atouts pour faire entendre notre voix et défendre nos intérêts», a affirmé la colistière.
Jean-Pierre Pont sera donc opposé au député UMP Alain Marsaud, au vendeur de matériel médical François Kahn et à l’avocate Patricia Elias Smida. Le scrutin aura lieu les 3 et 17 juin prochains.
6 Commentaires
Monsieur François Kahn, pharmacien, n’a strictement rien à voir avec Jean-François Kahn, journaliste et écrivain.
Un minimum de sérieux et d’intelligence est nécessaire pour se prétendre journaliste, mêm dans un article commandité tel que celui-ci.
C’est Francois Kahn et non pas Jean-Francois Kahn, aucun rapport entre les deux!!!!!!!!!!!!!!!
Mea Culpa et pardon à Monsieur François Kahn à qui nous promettons un article s’il le désire : Son site de présentation ici
Bonjour,
Je vous remercie, chers amis, de m’avoir alerté sur cette petite coquille. Je vous invite à vérifier que je n’ai rien a voir avec mon presque homologue, en allant sur mon site :
http://www.francoiskahn.com
J’en profite, sans vouloir polémiquer avec Mondueur Pont que je ne connais pas et qui est certainement très estimable, que je trouve un peu populiste son argument sur les candidats ayant été investis par des partis politiques. Me concernant, je n’ai absolument pas le profil du politicien loin des préoccupations de ses administrés. J’ai la prétention de largement mieux connaitre le terrain de l’Afrique que lui, et je ne suis pas issu du sérail politique. Franchement, ce ne sera pas en adoptant la posture poujadiste du « tous pourris » que Jean Pierre Pont arriverait à peser a l’Assemblée Nationale,; mais le chemin est encore long.
Bien amicalement.
François Kahn
Merci et a bientot.
Francois Kahn
Cher M. Kahn
Tout d’abord, l’intention de populisme que vous me prêtez est parfaitement infondée. Je n’ai à aucun moment évoqué la formule du « tous pourris » que vous énoncez, accolée qui plus est à un « poujadisme » que l’on ressort à toutes les sauces, faute d’argument.
Je note simplement que j’assume mon statut de candidat parfaitement indépendant et observe que votre appartenance au Nouveau Centre, elle, n’est pas clairement affichée sur l’en-tête de votre site. Est-ce l’influence de M. Morin qui incarne la célèbre expression d’Edgar Faure : « Ce n’est pas la girouette qui tourne, c’est le vent… » ?
Quant au petit jeu un peu puéril qui consiste à savoir qui de nous deux est le plus légitime, je vous renvoie à mon parcours professionnel. Pour mémoire, j’ai vécu dans les trois régions – Afrique, océan Indien, et Moyen-Orient – de cette circonscription depuis 1952, et non pas quelques mois dans des hôtels depuis 1989. Je le réaffirme par ailleurs, je préfère avoir des comités de soutien par pays, constitués d’amis de la société civile proches de mes convictions depuis de très nombreuses années, plutôt que de compter sur des militants d’un parti politique qui prennent leurs « éléments de langage » à Paris.
Puisque vous êtes à Beyrouth pendant quelques jours, je vous recommande la lecture de L’Hebdo qui vous donnera plus de détails sur ma légitimité. Après ma visite de dix jours dans ce pays à partir du 18 mars, vous pourrez comparer mes motivations aux vôtres. À titre d’exemple, je préfère résoudre les problèmes de mobilité de l’emploi dans la 10e circonscription, aider certains de nos compatriotes à percevoir les bourses scolaires de leurs enfants, ou encore leur fonds d’aide sociale, que d’organiser des ateliers culinaires… À chacun ses priorités !
Quand à l’estime que vous me prêtez néanmoins, sachez qu’elle est réciproque !
Bien cordialement
Jean-Pierre Pont
Bonjour Monsieur PONT,
Vous êtes venu au Gabon au début des années 80 pour un évènementiel que vous avez organisé pour le lancement de notre bateau « Cobra » au profit de Ocean Nautic et Plastique Industrie qui à l’époque étaient les pricipaux partenaires.
Auriez-vous conservé une copie du film de l’exibition hélico/bateau ski nautique , tourné devant l’hotel le Dialogue
La cassette nous a été volé il y a plusieurs années et nous aimerions, ma femme et moi reconstituer notre parcours des dix belles années passées dans ce beau pays .
Cordialement
Jean Claude GAVAINI
PS: Nous avions fait connaissance à l’île Boulay à Abidjan avec les Sabatier (s)