Instrumentalisation du Haut-Ogooué : La mise en garde d’Héritage & Modernité
L’appelant à reconnaître sa défaite au dernier scrutin présidentiel, le rassemblement créé par des députés démissionnaires du PDG a mis en garde Ali Bongo contre une éventuelle tentative d’instrumentalisation de la province du Haut-Ogooué.
Selon les résultats officiels, Ali Bongo a été réélu au terme du scrutin présidentiel du 27 août 2016 grâce une participation avoisinant les 100% dans le Haut-Ogooué. Trois semaines après la proclamation de ces résultats par le ministre de l’Intérieur, Pacôme Moubelet-Boubeya, au sein du Rassemblement Héritage & Modernité, la pilule ne passe toujours pas. Les responsables et militants de cette structure créée, il y a plus d’un an, par des députés démissionnaires du Parti démocratique gabonais (PDG), voient dans ces chiffres contestés par Jean Ping, une «tentative d’instrumentalisation sectaire ou communautaire» d’une province visiblement placée sous le joug du pouvoir en place. A la faveur d’une communication faite le 20 septembre, ils ont mis en garde les autorités gabonaises, en l’occurrence Ali Bongo.
Le Rassemblement dirigé par Alexandre Barro Chambrier accuse le président de la République de nier la volonté de changement exprimée par des milliers de Gabonais dans cette province, où seulement 47 abstentions ont été enregistrées selon les résultats proclamés par le ministre de l’Intérieur. Pourtant, «la réalité du Haut-Ogooué est la réalité de tout le Gabon sur toute l’étendue du territoire», ont tenu à indiquer les membres de Héritage & Modernité, regrettant qu’une «province immensément riche» ait été «prise en otage par un régime et une famille, qui l’a maintenue dans une honteuse pauvreté».
Alors que depuis quelques jours des Altogovéens du camp d’Ali Bongo semblent se lancer dans «une guerre de victimisation», Héritage & Modernité a rappelé au président et aux siens que «les Gabonais, jaloux de l’unité de leur pays, ne céderont pas aux chants de sirènes de la stigmatisation et de l’instrumentalisation de cette province à des fins bassement politiciennes, au service d’une ambition qui n’a que faire des Altogovéens».
Pour le Rassemblement Héritage & Modernité, l’heure est plutôt à la reconnaissance des véritables résultats de l’élection présidentielle ayant donné Jean Ping.
19 Commentaires
ABC ira JUSQU’À « Z » ça c’est mon type !!! looool !!
Avec Madoooo sans Madooooo le chef de l’état le Général M.A.O sera au BDM…. Ou bien ? 😉
Humm, les gars, 2009 vous rattrape. En politique on ne laisse jamais l’éléphant boire l’eau de la rivière avant le Lion et espérer qu’il cède sa place avant d’avoir vidé l’eau de la rivière.
ali tu vas DÉGAGER nous allons t’enlever avec force et détermination comme tu veut fuir la PRISON NOUS N’allons te donner l’occasion de fuir cette PRISON ET la CPI PARCE QUE TU MÉRITE D’être devant la bard de la Cour Pénal International
Parfaite réponse messieurs…
Qu’au grand jour chacun sache que la corruption le népotisme les meurtres et toutes les autres manigances de ce régime n’avaient qu’une seule fin, maintenir Bongo au pouvoir.
Ainsi, enrichir les Rawiri, Léon Mébiame et les autres avant hier, Mba Obame, Ping, Oyé Mba et les autres hier, Bilié bi Nzé, Moubelet, Steeve Ndong Ndong et les autres aujourd’hui sont tous des moyens pour une seule fin, maintenir Bongo et ses intérêts connaître à ceux de la nation au pouvoir.
Ce régime a volé, tué et aujourd’hui instrumentalise des miliers de gabonais pour que le régime Bongo soit infini… lorsqu’un homme ne peut plus mentir telle une pièce ce régime le remplace par un autre qui continuera le boulot.
Voyez vous même le niveau d’intelligence et de sagesse de ceux qui nous gouvervent. On a mis les pires d’entre nous au pouvoir… et ils nous préparent les pires exactions pour y rester.
Ils ont fait du gabonais une marchandise qu’on achète lors des meetings et des élections, qu’on bastone et qu’on tue après lorsqu’il boude et maintenant qu’on brandit tel un trophée pour soutenir un mensonge insoutenable, tout ça dans un seul but DEMEURER A JAMAIS AU POUVOIR.
Cette race d’homme on en veut plus… et actuellement ils sont incarnés par Bongo et sa bande ainsi que leurs idées morbides.
On veut notre liberté, rendez nous la plus dure chers émergents, elle n’en sera que plus belle.
en parfait accord avec votre analyse! un grande médiocrité, une incommensurable incompétence, un mensonge surréaliste, une imposture évidente, s’opposent violemment et avec ruse à la liberté et au développement du gabon au moyen de la corruption, de la stigmatisation de gabonais contre d’autres gabonais………la victoire n’en sera que plus belle, en effet!
Oui et ce sont les mêmes tueurs qui sont opposants aujourd’hui!
Mr.Ali Ben Bongo: ilfaut sortir par la porte grang,votre honorabilité, votre famille…
Sauf si cette eau est ensanglanté!
C’est pas possible donc Ali ce salo veut nous faire croire que tous les Altogovéens vivent dans des meilleurs conditions que les autres au point de voté 100% pour lui? C’est un vrai mytho! Tu vas mal finir avec ou sans l’aide de l’armée.
Tout ce qui est dénoncé par la majorité, complot, corruption triche, repli identitaire, pillages, violences et meutres, ce sont eux même qui font l’apologie de l’ethnisme autocentré, qui ont eu à triché, qui sont corrompus..etc alors que pendant ce temps dans le Woleu-Ntem le peuple a porté son choix sur M. Ping et non M.Ndong Sima, que 6 provinces sur trois ont été remportées par l’opposition, que la diaspora gabonaise a fait un vote sanction elle aussi. A la force de crier au loup il arrive, ce qui arrivera au PDG sera de sa propre faute à la force
effectivement l’heure n’est plus a la manipulation et encore une fois le haut ogooué n’est pas le gabon mais une partie du gabon.99,9% avec une absention de 47 gabonais/es seulement et des chiffre qui se contredisent tous, normal que le gabon puisse en douté.
Le 23 tout sera confirmé et il sera trop tard en dépit des manifestations.
Et comme vous êtes contents de voir les gabonais mourir à tort, vous allez gérer un peuple qui ne veut plus de vous… Dieu pourvoira!!!
Alexandre BARRO CHAMBRIER est le futur Président du Gabon, après M. Jean PING. Je serai un de vos représentants, je le jure aujourd’hui 21/09/2016.
Pour l’instant, nous attendons la reconnaissance de l’élection du représentant du peuple: Jean PING,la force tranquille.
L’ajustement des voix dans le haut-ogooué a été fait de façon bête, idiote et très nulle. Le fil blanc est trop visible. Que Ya MADO lave son nom pour une fois, mon DIEU!!!
L
e sulfureux avocat parisien, Me Robert Bourgi, ne sait pas que le temps des colonies et des comptoirs d’esclaves est révolu depuis longtemps. Mieux, que la Françafrique qui a fait sa réputation de porteur de mallettes dans plusieurs palais présidentiels africains, ça aussi, c’est du passé, ce Bourgi n’entend point désarmer. Il tient encore et toujours à penser que les Gabonais et leurs dirigeants sont des grands enfants qu’il peut encore materner. C’est le sens de sa hargne à vouloir croire que le sort du Gabon est entre ses sales mains de barbouzes mal brossées. La bouche en forme de cul de poule, il écume les plateaux de télévisions hexagonales et de quelques colonnes des journaux séditieux qui mangent dans sa main, il fait croire au monde entier que c’est par lui que le Gabon ne peut que devoir sa stabilité ou sa paix.
Pour ce faire, après avoir embrigadé et rassuré sa bande d’amis grabataires de l’opposition-PDG, depuis l’annonce des résultats provisoires de l’élection présidentielle du samedi 27/8 dernier, proclamant vainqueur Ali Bongo Ondimba, ce Bourgi se prend désormais pour le gouverneur du Gabon. Jusqu’à menacer les dirigeants et responsables d’institutions constitutionnelles, comme si c’est lui qui les avait établis. Tout simplement, parce qu’il entend que ses pantins de l’opposition lui soient éternellement redevables au cas où ils parvenaient au pouvoir. C’est le sens donc à donner à ses rodomontades des caniveaux que cet énergumène de Robert Bourgi renvoie dans l’opinion nationale et internationale. Et ses laquais nègres qui ne jurent que par lui, sont aux anges.
Les sorties sporadiques et infructueuses de ce Bourgi sont à juste compréhensibles : le Gabon qu’il croyait être sa vache laitière, parce que transporteur des mallettes à l’époque. Malheureusement pour lui, l’actuel chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba n’a pas voulu succomber à ses flatteries, et n’entend pas moins se laisser dicter sa conduite. Bien au contraire, concernant la bâtarde Françafrique, dans le for intérieur d’Ali Bongo Ondimba, sa messe de requiem a été dite depuis longtemps. Et les flibustiers de la trempe de Robert Bourgi, envoyés à aller paître ailleurs.
Bourgi est peut-être le conseiller du «président de la République de Facebook» (Jean Ping), mais ses diarrhées verbales ici et là n’influenceront en rien la marche du Gabon, sous Ali Bongo Ondimba.
Dans ce pays, il y a comme une forme de pathologie qui gangrène certains compatriotes, qui pensent que partir du PDG pour l’opposition, automatiquement cela octroierait aux démissionnaires, une sorte d’absolution auprès du peuple. Malgré tout le mal dont le démissionnaire a été accablé lorsqu’il usait et abusait des privilèges que lui conférait sa position au parti au pouvoir et surtout, pendant qu’il était aux affaires. Comme si l’opposition était une sorte d’élixir qui permet à ceux qui quittent le PDG d’être lavés de tous les péchés. Même s’ils ont causé d’énormes sévices au fameux peuple qu’ils espèrent parler en son nom.
C’est comme si vous reprochez à quelqu’un de quitter la bande de voyous avec laquelle il écumait le quartier pour se mettre à organiser la protection dudit quartier. Où est l’absurdité? Que conseillez vous à ceux qui sont au PDG et qui se rendent compte de la nocivité de ce parti par rapport au PEUPLE?
Mr. Ali Ben ton entourage te poush a l’enfer…
Comment tu va dormir? Le people ne veux plus.
Vous aime vrement le gabon? Parece q on comence a poseer les cuestión…
Vous n’imaginez q’la presidence? Mr. Ali
Il faut etre ibre… Tu va contre votre gents. Tu va devenir l’enemi numero 1 des tous les gabonais…