La Fédération gabonaise de golf s’est fixé un certain nombre d’objectifs pour cette nouvelle saison. Parmi ceux-ci, intéresser le maximum de jeunes au golf, qui compte moins de 400 licenciés dans le pays. À cet effet, la structure présidée par Marie Cécile Poncet sollicite l’appui du gouvernement et celui des sponsors. 

Le golfeur gabonais Francis Ndong Mba, en plein swing, lors du 35e Open de Libreville sur le parcours du Golf Club de Libreville. © Sonapresse

 

À l’approche de la nouvelle saison, la Fédération gabonaise de golf nourrit de belles ambitions. Parmi ceux-ci, intéresser le maximum de jeunes à cette discipline. «Il y aura une réorganisation des écoles fédérales. Nous voulons de nouveaux membres, du sang neuf, former des jeunes. Mais on n’arrive pas un nouveau cap en peu de temps. Il faut trois, quatre voire cinq ans pour atteindre un bon niveau quand on est jeune. Il faut donc du renouveau. On manque de jeunes», a affirmé la présidente de la Fédération gabonaise de golf dans L’Union du 24 octobre.

«Il faut qu’on s’attèle à convaincre le maximum de jeunes de se tourner vers notre discipline. Tous niveaux confondus, nous avons un peu moins de 400 licenciés. Nous espérons remonter la pente et à nouveau franchir cette barre», a ajouté Marie Cécile Poncet. La Fédération ambitionne également de prospecter dans la diaspora gabonaise pour répertorier les joueurs et encadreurs susceptibles de l’encadrer. Autant de chantiers pour lesquels Marie Cécile Poncet a besoin de l’appui du gouvernement et d’éventuels sponsors. 

«Nous comptons aussi sur le soutien du gouvernement pour nos missions dans la formation et l’organisation du gouvernement. Mais également celui des sponsors. Ce n’est plus aussi simple qu’il y a quelques années, pour accompagner nos efforts et ceux de nos clubs dans les trois provinces où se pratique le golf», a conclu la présidente de la Fédération gabonaise de golf. 

 
GR
 

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