Global citizen award : Ali Bongo retiré de la liste des lauréats
Initialement annoncé comme lauréat du Global citizen award, le chef de l’Etat gabonais ne recevra finalement pas ce prix récompensant les contributions exceptionnelles et distinctives au renforcement de la relation transatlantique.
Alors que tout indiquait que le chef de l’Etat gabonais recevrait le Global citizen award, le 19 septembre prochain à New York, il n’en sera finalement rien. En effet, le chef de l’Etat a été retiré de la liste des lauréats, alors qu’il avait été initialement encensé par Atlantic Council, décernant ce prix. «Atlantic Council honore le président gabonais Ali Bongo Ondimba, pour sa vie de service public et les efforts visant à améliorer la vie du peuple gabonais (à travers ses réformes économiques et infrastructurelles) et sa campagne cohérente pour préserver les trésors nationaux de l’Afrique à travers la lutte contre le braconnage», avait annoncé un communiqué du groupe de réflexion dans le domaine des affaires internationales.
Le président gabonais, le premier ministre japonais Shinzô Abe, le premier ministre italien Matteo Renzi et l’artiste américain Wynton Marsalis sont les lauréats de Global citizen award 2016. Mais Ali Bongo ne sera pas honoré par ce prestigieux prix.
Ce revirement d’Atlantic Council découle du tollé ayant suivi l’annonce de la remise du prix à Ali Bongo, dont la victoire à l’élection présidentielle du 27 août, est très contestée au Gabon et hors de ses frontières. Le groupe de réflexion a été inondé de courriers de contestation de Gabonais de France et des Etats-Unis, notamment.
Le Global citizen award recompense les personnes qui ont apporté des contributions exceptionnelles et distinctives au renforcement de la relation transatlantique. Chaque année, l’événement réunit à New York un public international issu de gouvernements influents, du monde des affaires, militaire et médiatique, ainsi que des dirigeants de la société civile. Il est décerné par Atlantic Council, promoteur du leadership et l’engagement dans les affaires internationales basé sur le rôle central de la communauté atlantique, à relever les défis mondiaux dans une approche constructive.
28 Commentaires
Bien fait, ce n’est que le début on attend les interdictions de sorties
De n’importe quoi.en retirant le pdt de la liste vous avez retirer quoi la forêt gabonaise.rien que des bandits colons qui pensent tjrs que l’Afrique est leur propriété.la France qui est derriere tout c’est mieux que vous retirez tout ce que vous avez en ce moment au Gabon.vos militaire.vos entreprises. Et liberer de votre maudite monnaie le Fcfa. En ce moment le Gabon a d’autres partenaires qui ne se mejent des pbmes internes du pays.on a la chine la Russie.Inde.Turquie.
LOL!
Toi tu es sérieux quand tu dis que ton ALI va libérer le GABON? de quoi?
Tu es bête .l’exemple de la CI et de la lybie ne vous sert pas de leçon bande de gabonais Con comme le con de vos mères
# AMBIANCE POST ÉLECTORALE 2016 #
« NUL N’EST AU-DESSUS DE LA LOI »
Ali BONGO ONDIMBA, nous avons longtemps supporté tes médiocres caprices d’enfant gâté. Tout comme toi, nous peuple gabonais, africains, occidentaux, orientaux, asiatiques ayant choisi cette terre d’Afrique comme pays d’accueil et d’épanouissement sommes des gabonais, des citoyens gabonais à part entière avec les mêmes droits, les mêmes devoirs vis à vis du GABON. NUL N’EST AU-DESSUS DE LA LOI. De 1968 à 1990 date de l’organisation du Rassemblement Social Démocratique Gabonais (RSDG), en passant par les morts de Joseph RENDJAMBE, Georges RAWIRI, Edith Lucie BONGO, Pierre MAMBOUNDOU, Omar BONGO ONDIMBA, l’acte de faire descendre Fidèle ANDJOUA ONDIMBA de l’avion dans lequel, il se trouvait déjà pour apporter le N’DJOBI à son frère souffrant à l’hôpital QUIRON en Espagne par ton cousin général André OYINI, sa liquidation, l’utilisation du nom du Commissaire CENAP 2009 Michel BOUKA RABENKOGO, pour te désigner vainqueur de la présidentielle gagnée par André MBA OBAME, la mascarade de ton intronisation puérile de « Commandeur Vénérable Grand Maître », le parjure, l’anti-constitutionnalité, la mise à l’écart de Pascaline M’FERRI BONGO, de Léon Paul NGOULAKIA de la présidence de la république et du Conseil de Sécurité. Nous peuple gabonais fixons depuis lors, une attention particulière sur toi. Evite s’il te plait de franchir le « RUBICON ». Au nom de « la participation non consentie », LE PEUPLE GABONAIS A PAYE LARGEMENT SA DETTE. Ce 2016, nous nous sommes exprimés et même avec violence sur le choix de celui qui doit maintenant assumer LA TRANSITION: Jean PING. Les enjeux stratégiques et géostratégiques, du Nouveau Millénaire Africain sont d’EXTREME IMPORTANTE pour le Gabon et l’Afrique qui en assument la responsabilité. Ils sont au-dessus de ta personne et de la médiocre bande inculte d’apatrides mafieux qui t’entoure. S’IL TE PLAIT PART.
*L’Esprit-Saint illumine le Gabon*
# LA RESTITUTION #
« Gabon d’Abord »
Est que Moungabé ou El Bechir ils vivent sans pbme ils vont en chine. Ali n’a pas besoin des voyages pour s’occuper de sa population.
LOL! Et pourtant il n’a fait que ça….entre 2009 et 2016! KIAKIAKIAKIA!
Combien à t-il payé ce paresseux pour être lauréat à ce prix?
La honte!
Honte à toi jean jacques, vous finirez bien par manger votre forêt et boire votre pétrole vous même
Honte à toi jean jacques, vous finirez bien par manger votre forêt et boire votre pétrole vous même
t’inquiètes c’est galère au ZIMBABWE si t’es pas informé, manifestations et marches publiques tous les jours pour demander son départ
tu sais Jean Jacques tu ne te fais aucun souci car tu n’est pas au devant de la scène à l’exemple de MOUBELE,BILIE,ONA ONDO et j’en passe(mais derrière un clavier).
tu peux débiter tes âneries, mais ceux dont je viens de citer savent les conséquences. alors mon ami un peu de recul.
pauvre jean jacques ce n’est qu’un début qui vivra verra
And the whole thing is now getting interesting..
C’est normal, c’est un voyou. les blancs ont compris que c’est un malade mental qui tue son peuple. il ne mérite pas de considération.
Tout cela à cause du non respect des droits de l’homme
Cet « Atlantic Council », avant de donner un prix au lauréat, ne fait pas d’ enquetes autour de ce dernier qui pourrait justifier son choix.
Je crois qu’ Ali ne devait pas faire partir de la liste des lauréats meme avant le début des élections, compte tenus des critères à remplir pour y figurer.
«Atlantic Council honore le président gabonais Ali Bongo Ondimba, pour sa vie de service public et les efforts visant à améliorer la vie du peuple gabonais (à travers ses réformes économiques et infrastructurelles) et sa campagne cohérente pour préserver les trésors nationaux de l’Afrique à travers la lutte contre le braconnage»: De qui se moque-t-on?
Il a fallu que le peuple gabonnais se revolte à l’échelle internationnal pourqu il(Atlantic Council) se rend compte que ce gars là sacrifie le peuple pour ses propres intérets.
Le peuple gabonais vie en dessous du seuil de pauvreté(malgré toutes ressources que regorge notre pays), alors pour quelles raisons exactement cet « Atlantic Council » récompense-t-il Ali?
Pour l’encourrager à écraser la population?
Pour moi, je les mets tous dans le meme bateau: les corrompus, les voleurs, les tueurs, les violeurs…
Courrage petit, tente le Nobel.
la seule chose que nous voulons que notre victoire nous soit restitué c’est tout. Que la volonté du peuple soit respecter.
Tu as raison. Tous sont dans le même bateau.
Mengue Mba
Tes archives ont survecu?
Ali débloque les caisses,partage l’argent comme papa faisait , laisse les bars ouvrir 24h/24 .Fait revenir les fonctionnaires fantômes ,ouvre les portes du port et laisse l »importation des véhicules d’occasions etc et tu verra que tous les gabonais vont de supporter .Juste de passage
mais il ne voyage plus?????bien fait a partir du 23 d’autres sanctions vont tomber si seulement si…..vous nous sortes encore une bote imaginaire de la triche.non l école c’est bien hein
Yiovééh!!!! Çà ne fait que commencer
Pardonnez moi amis Gabonais qui veulent le départ de Ali B, réfléchissez bien, Partout où cette situation est arrivée, il y a eu guerre civile, attentats ou terrorisme, des morts et des blessés, voire destruction du pays !! ex: Cote d’ivoire, Tunisie, Égypte, Libye, Tchad, somalie, yemen etc.
A ce que l’on sache, Ali Bongo n’est pas pire que Ouatara ou Deby ou même Biya ou Sassou ou Kabila;
Ne cédez pas à la mode des violences du peuple; Utilisez des moyens pacifiques pour luter !ne sortez à l’appel des politiciens, qui eux, restent bien terrés chez eux et vous envoient au four !
Même au Burkina, beaucoup( les blessés, n’en parlons des morts)regrettent fortement d’être sortis; Aujourd’hui les familles des victimes ont du mal à se faire entendre.
A bon entendeur !!
Cher ami, ton appréciation, fondée sur la crainte de voir le Gabon s’enliser dans un chaos socio-politique en cas de départ contraint de M. Bongo est une insulte aux Gabonais. C’est en référence à ce type d’argument niais et « infantilisants » que Bongo père et ses acolytes ont fait de ce pays ce qu’il est ce jour. Les pays que tu cites ont connu, à des degrés divers, une révolution politique qui leur attribue des destins radicalement opposés. Mais de grâce: il faut comparer ce qui est comparable. Exception faite de la Libye, dont l’ancien Maître des lieux, à défaut d’autoriser une véritable opposition politique, prenait néanmoins soin de son peuple, les autres vivent toujours sous le joug de régimes soutenus par les pays occidents au noms de leurs intérêts géo-stratégiques.
Je partage ton avis: ne pas céder à l’écho de la violence. ceci dit, quand un peuple est la victime quasi-séculaire d’un régime qui porte en son sein les maux de la misère économique, sociale, politique et démographique d’un pays, le pacifisme libérateur a ses limites. C’est parce que le peuple n’est pas entendu et n’a jamais été entendu qu’il a désespérément recours à l’impensable. La violence demeure malheureusement l’arme fatale du banni. La liberté ne se donne pas, elle s’arrache et le prix qu’il nécessite est non négligeable. Si les Français avaient raisonné comme tu suggères, 1789 n’aurait jamais existé.
Personnellement, je pense qu’Ali paie le prix de son patronyme. Oui son crime est de s’appeler Bongo. Je reste persuadé que son ambition et son projet pour le Gabon étaient sincères, mais que d’embûches!!! Il est le seul homme d’état gabonais, bien que portant le nom de Bongo, à s’être employé à la diversification de l’économie gabonaise: les chiffres parlent pour lui car le poids des recettes pétrolières dans le budget de l’état a fortement reculé. Le seul à avoir diligenté un audit visant à demander des comptes aux entreprises en charge de l’exécution des marchés publics nationaux. C’est encore lui qui osé exigé de Total, un état dans l’Etat, des arrières fiscales de plusieurs milliards de francs CFA. Il s’est attelé à la modernisation de la fonction publique et entrepris des travaux de modernisation des structures routières… Certes, le bilan n’est pas glorieux, mais en 7 ans, il a démontré son ambition de faire oublié son père et de prouver que sous le régime de ce dernier, dont il est comptable, le pays était géré telle une épicerie. Le problème? c’est son patronyme, le parti qui l’a fait roi et certains de ses collaborateurs qui sont devenus immensément riches sans qu’ils n’aient de compte à la justice. Oui ça rappelle les stigmatiques du règne de Bongo père. Il aurait dû, en faisant des exemples, déferrer devant la justice les hauts fonctionnaires d’état qui continuent de piller les caisses. Le mal est profond… Foncièrement profond… et les remèdes auraient dû être radicaux pour prouver sa légitimité. Oui la symbolique de la légitimité aux yeux des Gabonais.
Les opposants?!! Mais lesquels? Ceux-là même qui aujourd’hui parlent au nom des Gabonais alors qu’ils devraient croupir dans les geôles de la République pour crimes économiques au motif d’avoir pillé impunément les recettes de l’Etat!!! Quelle est la légitimité des Ping, Oye Mba, Myboto et autres à parler au nom des Gabonais qu’ils ont asservis pendant des décennies?!!! Leur statut d’opposant est un statut d’opportunisme parce que privés, par Ali, des pouvoirs que Bongo père leur avait concédé. Si Ali doit partir autant ceux qui aspirent aujourd’hui au trône en fassent de même au nom du peuple car ils n’ont jamais servi ce pays à part s’en servir. Ali a eu sa chance il aurait dû la saisir en menant une véritable rupture politique, économique et sociale. Ce ne fut pas le cas sans doute parce que derrière tout roi il y a des faiseurs de rois dont les intérêts ne sont pas toujours identiques.La pseudo communauté internationale s’émeut de la victoire d’Ali et prône indirectement l’arrivée de Ping et sa bande!!! Bizarre!!! Qui sont les faiseurs de roi de Ping?!!!
Ma conclusion: Ping est par un filiation un Bongo, idem pour Myboto de par sa fille…. alors Ali ou Ping, le Gabon demeure au stade primaire de l’évolution politique.