Gabon : Un grand pas vers l’exploitation du fer de Belinga
Le ministre des Mines a signé, le 19 août à Libreville, une convention avec deux entreprises, Africa Transformation and Industrialization Fund (Atif) et Fortescue Metals Group, pour la phase de recherches du projet de gisement de fer de Belinga, dans l’Ogooué-Ivindo. Durant cette phase, «ce sont plusieurs centaines d’emplois qui seront créés et plusieurs milliards investis», s’est réjoui Elvis Ossindji.
Rouvert en 2021, le dossier du gisement de fer de Belinga amorce une étape importante. Le ministre des Mines a signé, le 19 août à Libreville, une convention avec deux entreprises, Africa Transformation and Industrialization Fund (Atif) et Fortescue Metals Group, pour la phase de recherches du projet situé dans la province de l’Ogooué-Ivindo.
«Il s’agissait de procéder à la signature de la convention de recherche du projet de gisement de Belinga, projet prioritaire pour notre économie et qui a été inscrit dans le Plan d’accélération de la transformation (PAT). Ce projet du gisement de fer de Belinga est connu depuis des décennies. Et dès l’accession de son excellence Ali Bongo à la magistrature suprême, ce projet a fait l’objet de plusieurs études pour justement valoriser ce gisement de classe international», a affirmé le ministre des Mines.
«Dans sa phase de recherches, ce sont plusieurs centaines d’emplois qui seront créés. Il s’agit ici d’une réponse forte à l’adresse à la Nation, que le chef de l’Etat a exprimée aux populations dans son dernier discours. Il est à noté également que ce sont des milliards de francs CFA qui vont être investis par le groupement Fontescue et Atif, un groupement de classement mondial, qui fait de notre pays une destination de référence en Afrique et dans le monde», a ajouté Elvis Ossindji.
«Une des plus grandes réserves de minerai de fer non exploité au monde»
Pour Fontescue et son partenaire Atif, le projet de minerai de fer de Belinga est l’un des plus grands projets qui reste à développer. «Cela représente une grande valeur au gouvernement gabonais et sa population. Alors que nous nous efforçons à être production de fer à énergie verte, ce projet fera partie de notre portefolio à l’avenir. Nous pensons que le Gabon est un endroit où nous pouvons travailler main dans la main avec les partenaires et communautés locales afin d’user de la science pour développer des projets d’une dimension globale», a affirmé le représentant Fortescue.
«Nous estimons que Belinga est l’une des plus grandes réserves de minerai de fer non exploité au monde. Dans les 3 prochaines années, nous aurons effectuées assez de recherches pour le prouver», a conclu Shadi Sayadi, qui a agi en tant qu’administrateur général par intérim de la joint-venture Ivindo Iron SA. Selon des estimations, les réserves du gisement de fer de Belinga sont d’au moins 1 milliard de tonnes. Ce qui constituerait une belle manne pour le Gabon qui en a bien besoin par les temps qui courent.
5 Commentaires
Encore une creature de la nébuleuse et gargantuesque Olam menée par Saint Gagan aux intérêts croisés avc la familia.
AtiF = Arise = ‘Olam’ = Gagan = ?x
Ils mettent la main sur tout ce qui bouge.
Ensuite ils créent un cadre monopolistique.
3xemple dans le secteur bois ou les gabonais sont relégués aux emplois de manœuvres. Alors que autrefois ils furent exploitants forestiers.
Après le fer de Belinga, il va prendre l’or de Mikembe.
Longue vie à eux. Le Gabon sait se défendre de lui mm. On verra.
Madame qu est ce l’Australie peut faire pour le devppmt du Gabon devant la Chine qui mérite ce projet. Et dans tout il ya du flou.combien de pourcentage le Gabon aura dans ce projet? Combien vous meme PM et votre ministre vont recevoir pot de vin?. le peuple n’est pas impliquer
Si le petrole maganes le bois les gabonais ne beneficient pas du tout lê pays manque des infractutures ecoles unersites moderne toutes hopitaux emploi c’est ce gisement qui va changer quoi?
Le Gabon est vraiment dirigé par des cancres quoi !! Des personnes qui ne veulent pas réfléchir pour créer des emplois, on pense qu’exploiter toutes les ressources minières va changer quelque chose. Qu’allez vous léguer aux générations futures mon Dieu ? Tout ce que le pétrole, l’uranium, le bois, le manganèse ont généré comme argent n’a pas servi au développement, mais plutôt à entretenir le réseau de crimes rituels, d’homosexualité des bongo, au détournement et l’envoi dans les paradis fiscaux au détriment des gabonais et gabonaises. Et là, comme on aime l’argent facile, on se lance dans l’exploitation du fer alors que ce gisement peut être réservé aux générations futures. La problématique de l’emploi au gabon peut être résolu sans difficultés. 1/ le secteur touristique a de beaux jours au gabon: Il suffit que l’état investisse dans la construction d’hôtels de luxe le long de la façade maritime ainsi que dans les parcs pour, former les gabonais aux métiers de l’hôtellerie ainsi que des interprètes cela résorbera le taux de chômage.
2/ le secteur agricole qui est sous exploité:là aussi, l’état doit sortir de l’argent pour subventionner les agriculteurs et éleveurs pour atteindre l’autosuffisance alimentaire.
Je valide tout à fait Malho. Mais le problème actuellement au Gabon c’est la qualité des gens qui dirigent le pays. Il faut le dire franchement, depuis l’avènement d’ALI BONGO on a m’impression que ce pays n’a plus de personnes intelligentes et valeureuses.
Ce Monsieur n’a rapproché autour de lui que de véritables cancres. Matérialisant ainsi l’adage qui dit » qui se ressemble ç’assemble ».
Si à cette médiocrité vous ajoutez la soumission aux cercles ésotériques commandés de l’extérieur qui gouvernent d’abord dans l’intérêt supérieur de ces organisations mafieuse et de leurs maîtres ainsi que la corruption endémique qui a détruit les consciences, le compte est bon, pour comprendre dans quel bourbier le pays est empêtré.
Avec ce que le Gabon a comme leaders actuellement , on ne peut espérer un véritable développement. Avec autant de richesses et une population moins de celle de la ville d’Abidjan en Côte d’Ivoire, on patauge, c’est fou non? On est embourbé depuis des décennies. Le mal est très profond et tant que le système demeurera celui qu’on connait, point de salut.
C’est difficile à accepter mais, c’est comme ça. Pour soigner un mal, il faut le traiter à la racine. Sinon le reste c’est de la poudre aux yeux