La chaire Unesco ACCES TIC et l’Université africaine des sciences politiques et de management unissent leurs forces, à travers un partenariat, pour proposer des formations numériques innovantes. Un partenariat stratégique visant à doter les jeunes de compétences technologiques essentielles, favorisant ainsi leur insertion professionnelle dans un marché du travail en pleine mutation digitale.

© wearetech.africa

 

En vue de renforcer les compétences numériques en Afrique centrale, un accord de partenariat stratégique a été conclu, le samedi 13 juillet à Libreville. Les signataires, Armand Claude Abanda, titulaire de la chaire Unesco d’Afrique centrale ACCES TIC, et le Pr Jean Louis Nkoulou, président de l’Université africaine des sciences politiques et de management, ont officialisé cette collaboration prometteuse.

La chaire Unesco ACCES TIC, reconnue pour son expertise en solutions intelligentes pour la sécurité intérieure des États et des Institutions, s’allie ainsi à une institution académique gabonaise pour développer des programmes de formation à la pointe des besoins actuels.

Ce partenariat ambitionne de mettre en place des cursus de formation parfaitement alignés avec les missions de la chaire Unesco. L’objectif principal est de doter les jeunes de compétences pratiques et actuelles, favorisant leur insertion professionnelle ou leur capacité à créer leur propre emploi.

Les modules de formation couvriront un large éventail de domaines essentiels dans l’écosystème numérique actuel. Parmi les disciplines enseignées figureront le secrétariat bureautique, l’infographie, la maintenance informatique, ainsi que la maîtrise d’Internet et des réseaux sociaux. Une approche holistique visant à préparer les jeunes aux défis et opportunités de l’économie numérique en pleine expansion.

L’accent mis sur l’auto-emploi et l’autonomisation sociale témoigne d’une vision pragmatique, adaptée aux réalités du marché du travail en Afrique centrale. En encourageant l’entrepreneuriat et l’initiative personnelle, ce programme pourrait contribuer à réduire le chômage des jeunes, un défi majeur dans la région.

Cette initiative s’inscrit également dans un contexte plus large de transformation numérique du continent africain. Elle répond à un besoin croissant de professionnels qualifiés dans les technologies de l’information et de la communication, secteur considéré comme un levier essentiel du développement économique et social.

Alors que l’annonce de ce partenariat pourrait susciter un vif intérêt dans les milieux académiques et professionnels de la région, les détails spécifiques du programme, tels que sa durée, son coût ou le nombre de bénéficiaires, n’ont pas encore été communiqués.

 
GR
 

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