Le président de la République, Ali Bongo Ondimba, a reçu, ce 9 aout, les gouverneurs des neuf provinces du pays. Ils ont été introduits au palais du bord de mer par le Premier ministre, Rose Christiane Ossouka Raponda, accompagné du ministre d’Etat en charge de l’Intérieur, Lambert Noël Matha.

Ali Bongo Ondimba et ses invités immortalisés sur le parvis de la présidence de la République, le 9 août 2021. © Communication présidentielle

 

Pour la deuxième année consécutive, la Journée nationale du Drapeau s’est déroulée sans manifestations d’envergure comme ce fut le cas les années antérieures. Cependant, pour ce 12e rendez-vous, le chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, a partagé, ce 9 août, un moment avec les gouverneurs de provinces et ce, malgré la prégnance du Covid-19 qui a fortement impacté les habitudes.

Lors des échanges, c’est donc la commémoration de cette Journée nationale du drapeau qui a été au centre des débats entre le chef de l’Etat et la délégation conduite par le chef du gouvernement, Rose Christiane Ossouka Raponda, en compagnie du ministre de l’Intérieur, Lambert Noël Matha.

Initiée en 2009 par l’actuel locataire du palais présidentielle, la 12e  édition de la fête du drapeau a été l’occasion d’évoquer les actions de terrain que doivent mener les gouverneurs dans leurs administrations territoriales respectives. Une opportunité pour le chef de l’Etat qui, souhaitant une meilleure efficacité et autonomie pour ces autorités administratives locales, leur a octroyé des dons en matériel.

Ali Bongo a également félicité ses invités pour leur implication dans la riposte contre le Covid-19, les exhortant à redoubler d’efforts dans leurs circonscriptions administratives respectives. Leur implication dans la mise en place du Plan d’accélération de la transformation (PAT) a été fortement recommandée par le chef de l’Etat qui, dans un post sur Facebook,  rappelait que «le Gabon est un pays respecté à l’international et envié ailleurs en Afrique». «Nous pouvons être fiers de nos couleurs (…) Notre patriotisme et notre civisme sont notre force», a-t-il dit, ajoutant qu’«en ces temps de pandémie mondiale, être patriote, c’est aussi se faire vacciner. C’est le meilleur moyen de se protéger, protéger sa famille et protéger ses compatriotes».

 
GR
 

17 Commentaires

  1. UDFR dit :

    C’est qui au milieu sur la photo ?

  2. Diarra dit :

    Le sosie. Ali Bongo est bien mort.

  3. Rembourakinda dit :

    Pauvre Gabon…. Mon pays. Vous êtes sérieux ? Ce type là c’est Ali Bongo ? Nous sommes tous physionomistes, pitié c’est le sosie de Ali Bongo. Quand va s’arrêter cette mascarade de mauvais goût ? La diaspora doit s’impliquer dans la prochaine campagne présidentielle en France. Souvenez-vous « Sarkozy va chercher Ali ». Il va falloir pourrir la campagne de Macron. Ali Bongo est mort.

    • UDFR dit :

      C’est maladif chez vous…laissez Macron tranquille

      • SERGE MAKAYA dit :

        Pourquoi laisser Macron tranquille ? Il est bien PRÉSENT dans le fonctionnement NÉBULEUX du Quai d’Orsay ou FRANCAFRIQUE ?

        Arrêtez de rêver d’un Ali Bongo VIVANT. Il est bien MORT à Riyad en 2018. Le reste, c’est pour gagner du TEMPS. Et ils y arrivent.

        La stratégie consiste à brouiller les cartes : tantôt, on nous montrera un sosie Ali Bongo « bien portant », tantôt « boitant », etc. ALI BONGO EST MORT.

        J’AI ÉTÉ DU SYSTÈME. CROYEZ-MOI, IL EST BIEN MORT A RIYAD EN OCTOBRE 2018.

        ET VOUS VERREZ QUE CE NE SERA PAS LE MÊME SOSIE LE 17 AOÛT. TOUT CE CINÉMA DES FRANÇAIS POUR VOUS IMPOSER ENCORE UN BONGO EN 2023. RÉVEILLEZ-VOUS, MESSIEURS ET DAMES LES POLITICIENS DU GABON. FAITES UN SURSAUT D’ORGUEIL PATRIOTIQUE POUR LIBÉRER ENFIN NOTRE PAYS. SI NOUS Y ARRIVONS, LES AUTRES PAYS D’AFRIQUE SUIVRONT. ARRÊTONS DE NOUS FAIRE RIDICULISER PAR CES MINABLES FRANÇAIS SVP.

  4. Moussavou Ibinga Jean dit :

    Ali Bongo devient quoi ? Un produit touristique que chacun doit aller voir ? Ou bien

  5. bassomba dit :

    Ali Bongo mort, Ali Bongo mort…. c’est tout ce que vous avez à la bouche? Pitié, la vie continue et ce sont les mêmes qui nous gouvernent Ali Bongo mort ou pas…..

  6. Paul Bismuth dit :

    Le Gabon, un pays respecté et envié à l’international ?! Ils sont vraiment dans leur bulle, les pauvres. Je me souviens des mots du journaliste français Éric Zemmour sur le Gabon : très éloquents.

  7. Rembourakinda dit :

    Mr Bassomba, si vous avez les pieds dans l’eau c’est parce que vous acceptez de les avoir dans l’eau. Le peuple gabonais accepte la dictature, lorsqu’il décidera du contraire comme un seul homme il fera ce qu’il faudra, c’est juste une question de temps. Quant à vous Mr Bismuth Éric Zemmour n’est pas une référence, c’est une grande gueule nostalgique de l’empire français, un complexé qui n’a pas été capable de réussir le concours d’entrée de l’E. N. A. Nous savons que le colon lui aussi complexé à installé à la tête de nos pays des dirigeants bêtes en prenant soin de tuer les visionnaires. Vous, arrêtez de nous prendre pour des cruches,nous vous connaissons par cœur, tant pis pour vous…

    • Paul Bismuth dit :

      @ Rembourakinda

      Il est vrai que la valeur intellectuelle d’un homme se mesure à sa capacité à intégrer l’ENA. Dans ce cas me diriez vous que Strauss Khan n’avait rien dans le cerveau, lui qui n’a pas réussi à intégrer ladite école ?

      Pour le reste je suis d’accord avec vous s’agissant de Zemmour. Cependant je reste convaincu qu’il avait raison (le Gabon est bien un pays sous-développé incapable d’apporter le minimum pour vivre à sa population), nonobstant sa xénophobie et sa « nostalgie de l’empire français ». Car il s’agit là d’un truisme.

    • UDFR dit :

      @Rembourakinda Quand vous aurez la culture et la connaissance de l’histoire des peuples et des pays comme celle de E. Zemmour, vous viendrez la présenter sur les plateaux. (pour ce jugement faites abstraction de ses prises de position, mais qui méritent également de s’y attarder)

  8. UDFR dit :

    @Fiacre….Si vous étiez un vrai patriote vous ne pourriez pas supporter que le Gabon soit gouverner de la sorte ….or je ne vois rien de tel dans vos propos. désolé.

  9. OPY7 dit :

    La dette intérieure du Gabon a augmenté de 6426,4 milliards de FCFA +47%. sans compté la dette extérieur. Cella doit interpeller tout bon gabonais ne souhaitant pas cette gouvernance anarchique de ce système pourrie.

    @Fiacre… T’as pas encore ouvert les yeux il me semble, tu dois surement partager la même table que ces hommes aux colles blanc.

Poster un commentaire