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Gabon-Egalité : ONU-Femme propose une vulgarisation à l’international du modèle gabonais
La stratégie de promotion des droits de la femme et de réduction des inégalités femmes-hommes «Gabon Égalité» ne cesse de séduire à l’international. Pour la directrice régionale pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre de l’ONU-Femmes, Oulimata Sarr, ce modèle de société mérite une vulgarisation à travers le monde.
La stratégie de promotion des droits de la femme et de réduction des inégalités femmes-hommes «Gabon Égalité» ne cesse de séduire à l’international. © D.R.
La directrice régionale pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre de l’ONU-Femmes, Oulimata Sarr, a sollicité le 20 avril auprès de la ministre de la Justice, une campagne de promotion du modèle «Gabon-Egalité» à travers le monde.
La vulgarisation du modèle gabonais de promotion et de protection des droits de la femme et de promotion de leur autonomisation, pourrait se faire, selon la directrice régionale pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre de l’ ONU-Femmes, à travers l’organisation par le Gabon, en marge de l’Assemblée générale des Nations unies qui se tient chaque année à New-York, un événement de promotion des lois et des mesures adoptées dans le cadre du programme Gabon-Egalité.
Elle passe également par la participation du Gabon aux événements liés à la lutte contre les violences faites aux femmes dans le cadre de l’Union Africaine et le développement d’outils statistiques sur les violences à l’égard des femmes ; la participation politique des femmes ; l’insertion des femmes dans l’espace public avec le concours de l’AFD.
Oulimata Sarr a également insisté sur la nécessité pour le gouvernement gabonais de mettre un accent particulier sur la communication dans le domaine des droits des femmes. « Notre rêve, c’est d’avoir une coalition entière de tous les États engagés sur un agenda féministe d’autonomisation et d’égalité des sexes. Le Gabon, aujourd’hui, est un pays de référence dans la sous-région et même au niveau mondial», a-t-elle fait savoir.
Selon le gouvernement, les résultats déjà obtenus depuis cinq ans tendent à prouver que le Gabon réussit sa mutation vers une société où règne l’égalité entre les femmes et les hommes et où les droits des premières sont respectés.
3 Commentaires
L’Auteur serait-il en train d’avouer que sa mère est ou était maltraitée par son père ?
Mr Loïc Ntoutoume serait-il en train de nous avouer que ses sœurs et cousines nées avant l’arrivée au Gabon de Ali et Sylvia au bord de mer, ces dernières vivaient mal et que Grace a Ali (chocolat et bonbon.) ces sœurs et cousines on retrouve leurs dignité.
Grace a ALI et Sylvia toutes les filles du Gabon vont à l’Ecole, trouve du travail à la hauteur de leur qualification etc.…etc…
Le Gabon serait donc le laboratoire mensonge de Sylvia et de Madame Sarr?
Arrêtez de mentir au peuple pour lui faire croire que tout va bien au sommet de l’Etat. RIEN NE VAT PLUS AU SOMMET DE L’ETAT. Leur temps est compte.
???surprenant comme article, surtout quand on sait à quel point la femme gabonaise est fragilisée économiquement, sous-éduquée, et réduite à un état de mendicité abject, voire poussée systématiquement à la prostitution grâce à une technique bien éprouvée dite ‘placement’ qui peut toucher jusqu’aux très jeunes filles (12 ans, et moins)!!! Où donc l’ONU a la tête?
Vraiment , l’égalité de l’homme et de la femme c’est bien mais quand on voit le résultat avec Rogombé, les ya mado , ossouka et aubusson du senat on se demande si tout ce tapage en vaut la peine. même simple ministre je ne vois pas celle qui a laissé une belle empreinte. après je me demande pourquoi répéter les slogans qui viennent des blancs bêtement surtout quand on voit les dérives . dans notre culture la femme était elle traité comme une chose ? je ne dis pas qu’il n’y a rien améliorer dans us et coutume mais prenons ce qui est bien chez les autres ne rejetons pas tout ce que nous avions. La femme française est plus impolie de l’Europe et ça commence de plus en plus tôt chez eux les petites filles sont très mal élevées et c’est cette société que nous voulons.