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Gabon : Ali Bongo exige du pragmatisme au Haut-Commissariat de la République
Reçus lundi 14 mars au palais présidentiel, les membres du Haut-Commissariat de la République nommés la semaine dernière ont été entretenus par Ali Bongo qui les a exhortés à faire preuve de pragmatisme dans l’exercice de leurs nouvelles fonctions.
Moment de la rencontre avec Ali Bongo au palais, le 14 mars 2022. © Com. présidentielle
Les membres du Haut-Commissariat de la République. © Com. présidentielle
Moins d’une semaine après leur nomination intervenue à la faveur du Conseil des ministres du 4 mars dernier, la quinzaine des membres du Haut-Commissariat de la République conduite par le Haut-Commissaire général Michel Essongué a officiellement prêté serment lundi devant le président de la République. D’Eric Dodo Bounguendza à Maxime Ondimba, en passant par Jean Eyéghé Ndong et Léon Nzouba, les nouveaux promus ont juré de «remplir consciencieusement et scrupuleusement les devoirs de [leur] fonction».
Si Ali Bongo, conformément à l’usage, a accepté leur serment au cours de la cérémonie solennelle, il n’a pas moins tenu à avoir une séance de travail avec eux. L’objectif étant de leur donner ses directives, d’autant plus qu’ils sont appelés à le représenter sur le terrain dans les prochains, jusqu’au terme de son mandat en 2023. Aussi, le chef de l’État a-t-il exhorté chacun des membres de l’équipe conduite par Michel Essongué à «faire preuve de pragmatisme dans l’exercice de [ses] nouvelles fonctions», rapporte le palais présidentiel.
Créé en septembre 2021, le Haut-Commissariat de la République est chargé «d’engager, dans le cadre des prérogatives reçues du président de la République, les missions de suivi, d’observation et de relais de son action politique ; d’interagir avec les institutions politiques et les acteurs de la vie publique sur la stabilité et les modalités de maintien des valeurs démocratiques».
9 Commentaires
Seigneur, jusqu’à QUAND va durer cette COMÉDIE ?
C’est leur gagne pain. Il ne peuvent donc jamais arrêter la comédie madame.
C’est quoi encore ce machin ? Pour un tout petit pays avec 2 millions d’habitants ?
Ils servent à quoi même? Juste à priver l’agricultures, l’entrepreneuriat, la recherche scientifique et technologique, et tous les gabonais qui se consacrent réellement au développement de notre économie des fonds dont ils ont besoin pour développer notre pays parce qu’il faut payer d’abord à des hauts représentants, des députés et sénateurs sans compétences et sans culture des salaires mirobolants auxquels ils faut ajouter des primes d’appartenance au PDG eux aussi mirobolants qu’ils sont incapables de bien investir au profit de l’économie nationale pour après faire le mandiant qui vend sa dignité une fois les postes perdu. Sans blague, Eyeghe Ndong parmis les privilégiés toutes ces années ne devrait pas jouer les mendiants à cet âge après avoir occupé de hautes fonctions des décennies durant. Ces gens qui sont incapables de bien gérer des centaines de millions gagnés pendant des décennies pour être financièrement indépendant, par quel miracle il sauront gérer l’argent de tous pour nous rendre prospère? On croyait Eyeghe Ndong plus intelligent et plus compétent que ca.C’était du bluff. Un gestionnaire du village.
Ils ont des mines aussi tristes que des esclaves volontaires qui viennent de faire enc…
@ Gayo,
Vraiment tristes mines car certains d’entre eux savent d’ores et déjà le piège tendu par ABO et ses sbires. Le plus c…est certainement JEN. Lui qui avait démissionné du groupe vampirique qu’on nomme PGD aura quel discours lorsqu’il s’agira de défendre les idées aussi incongrues d’Ali? Nous nous souvenons tous de son discours en 2009, de ses prises de position lorsqu’il était au CNR, Seigneur quelle mouche a piqué ce monsieur!
Quand on regarde la photo du haut (1er plan), on aperçoit à gauche de la prise un masque qui a l’air de se foutre de la gueule de l’assistance! Quel lapsus artistico-politique!
Il faut un grand nettoyage à la Assimi Goita ou Mamadi Doumbouya. Espérer une autre issue est un grand leurre.
LA PATRIE OU LA MORT NOUS VAINCRONS.
Un jour, il en répondront …