Ali Bongo a pris part à la rentrée judicaire des cours et tribunaux, le 5 octobre à Libreville. Une cérémonie marquée notamment par l’installation du premier président de la Cour des comptes, René́ Aboghé Ella, nommé lors du Conseil extraordinaire de la magistrature du 2 octobre dernier.

Ali Bongo et les officiels lors de l’audience solennelle de rentrée des cours et tribunaux, le 5 octobre 2021 à Libreville. © Communication présidentielle

 

Cérémonie de haute volée que celle de la rentrée judicaire des cours et tribunaux, le 5 octobre à Libreville. Rehaussé par la présence du président Ali Bongo, en sa qualité garant des institutions, l’évènement a essentiellement consacré l’installation du premier président du Conseil d’Etat et son commissaire général, ainsi que celle du premier président de la Cour des comptes et son procureur, suivie de l’audience solennelle de la rentrée judiciaire.

«Au titre des différentes installations l’on note principalement celles de monsieur René Aboghé Ella en qualité de Premier Président de la Cour des comptes, et de monsieur Joseph Mouguiama en qualité de Procureur général près la Cour des comptes nommé lors du Conseil extraordinaire de la magistrature du 2 octobre 2021», a souligné un communiqué de la présidence de la République publié à cet effet.

Cette cérémonie qui a vu la participation du Premier ministre, du ministre de la Justice, des membres du gouvernement, et des présidents des institutions s’est tenue dans la stricte application des dispositions des articles 12 du statut des magistrats, 11 et 25 de la loi organique n°11 /94 du 17 septembre 1994 relatifs à la Cour des comptes, lesquels régissent l’installation du président et du procureur de la Cour des comptes.

 
GR
 

7 Commentaires

  1. Bernadette dit :

    Même ceux qui sont dans cette salle ont, pour la plupart, douté que c’est bien lui.

    J’étais moi même présent. Et j’affirme haut et fort que cet homme n’était pas Ali Bongo.

  2. Fiacre dit :

    Merci pour votre témoignage Mme.
    Cela me suffit.

  3. Lavue dit :

    Sans vouloir combattre les septiques sur le fait qu’ALI BONGO soit vivant ou mort, il faut reconnaître que la maladie peut transformer physiquement quelqu’un. Maintenant que ce soit pas le vrai ALI qu’est-ce que ça change à l’équation. Il y a bien un individu à la tête du pays, et cet individu est sensé diriger le pays.
    Faut vous poser les questions simples. Comment les alliés de Jean-PING en les personnes de NDEMEZO’O OBIANG, EYEGHE NDONG, FEFE ONANGA pour ne citer que ceux-là on pu s’éloigner de leur président élu pour intégrer ou se rapprocher du PDG dont votre sosie est officiellement Président. Ces gens sont-ils devenus complètement fous? On voudrait bien le croire.
    Pour ma part ce Monsieur et bien ALI BONGO, quelque peu transfiguré par le choc de son AVC. Le fond du problème est de savoir s’il ne traîne pas de graves séquelles; est-ce qu’il raisonne encore avec promptitude, est-ce que c’est pas son entourage qui décide de tout. Tant qu’il ne démontrera qu’il est réellement apte intellectuellement, le doute planera et la réside de gros risques pour le pays. Mais qui va le combattre, tous les dinosaures sont entrain de mourir et les jeunes on les achète avec le petit sous, sans parler des vieux ratés de l’air OMAR qui n’ont pas su gérer leurs rentes et qui reviennent tels des prostituées à la maison mère.

  4. Diarra dit :

    La disparition de sa famille proche aux commandes du pays est le signe que Ali Bongo est bien mort. Le reste est de la poudre aux yeux montée par la francafrique. 2023 approche. Et vous verrez.

    • KABORE MICHEL dit :

      Ils nous ont fait croire que Léon Mba était vivant pendant au moins trois ans. Pourquoi ne le feront-ils pas avec cet Ali Bongo ? Il n’y a que les aveugles pour ne pas croire qu’il est bien mort en octobre 2018. Les quelques fois où ça été dit par des français, ça n’a jamais été un mensonge. Votre Ali Bongo est cadavre depuis octobre 2018. Les français et l’espionnage, c’est comme les américains et anglais, ou encore aujourd’hui : chinois et autres. Tout ces pays font de la manipulation de masse tout simplement. Ali Bongo est bien mort en octobre 2018.

  5. Teddy dit :

    Au Gabon comme au Cameroun, je reste aussi dubitatif quant à l’existence de ces deux rigolos « chefs d’États » instrumentalisés par la francafrique. Ce sont bien des marionnettes aux commandes et manipulés par le Quai d’Orsay

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