Candidat au poste de secrétaire général de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), le Mauricien, actuel secrétaire général de la Commission de l’océan Indien, sera dans nos murs à compter du 17 août prochain.

Jean Claude de l’Estrac. © batcarre.com
Jean Claude de l’Estrac. © batcarre.com

 

Candidat au poste de secrétaire général de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), le Mauricien Jean-Claude de l’Estrac, fera, du 10 au 19 août prochain, une mini-tournée en Afrique subsaharienne. But ? Se présenter aux uns et aux autres et défendre son ambition à succéder à Abdou Diouf. Ce périple, qui concerne 4 pays, débutera symboliquement par Dakar au Sénégal. Puis suivront les étapes d’Abidjan en Côte d’Ivoire, Cotonou au Bénin et enfin de Libreville du 17 au 19 août.

La vision de la Francophonie que défend Jean Claude de l’Estrac est celle «d’un projet d’avenir» centré sur des lignes forces imbriquées : le devenir de la jeunesse et de la langue française, le respect de la diversité culturelle et le développement durable. Cette ambition lie à la fois, la «promotion de la paix à l’épanouissement des cultures et à la dynamisation de la dimension économique de la francophonie».

Plusieurs autres personnalités telles que l’ancien Premier ministre congolais, Henri Lopès, l’ancien président burundais, Pierre Buyoya, l’ancien Premier ministre du Bénin, Adrien Houngbédji, le président du Liban, Michel Sleiman, l’ancien Premier ministre du Togo, Edem Kodjo, et l’ancienne gouverneure générale du Canada, Michaëlle Jean ont également fait acte de candidature.

La désignation du nouveau secrétaire général de l’OIF est prévue pour novembre 2014 à Dakar au Sénégal, pays d’origine de l’actuel secrétaire général, Abdou Diouf, parvenu au terme de ses 2 mandats.

 

 
GR
 

1 Commentaire

  1. Mouthou dit :

    Au Gabon d’Ali Bongo, la langue française n’a plus sa place. Pour le Gabon émergent, la bonne séance est de parler Anglais. L’une des ambitions de l’émergence, est l’anglicisation du pays. En 2025, à l’aboutissement du projet d’émergence, le Gabon sortira de l’OIF et fera sont entrée au Commonwealth.

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