Embouteillage à Akanda : Joël Pono Opape étudie la question
En vue de trouver des solutions au phénomène d’embouteillage sur les principaux axes routiers de l’Estuaire, particulièrement celui de Libreville-Akanda, le ministère de la Réforme a lancé une réflexion avec les maires de la province.
Un embouteillage sur l’axe Libreville-Akanda, en janvier 2017. © D.R.
Sur la question des bouchons sur le réseau routier de la province de l’Estuaire, l’axe Akanda-Libreville apparaît parmi les priorités, dont il faut au plus vite trouver une solution. Cette question a été l’objet de la réunion initiée, le jeudi 23 février, par le ministre de la Réforme de l’Etat, Joël Pono Opape, à laquelle a pris part la ministre des Transports et de la Logistique, Flavienne Mfoumou Ondo. Avec les représentants des mairies de Libreville, d’Akanda et d’Owendo, les membres du gouvernement ont émis quelques pistes de solutions pour réduire le phénomène d’embouteillage sur cet axe routier, l’un des plus fréquentés en matinée et en début d’après-midi. Selon Chantal Christiane Sino, maire du 2e arrondissement de la commune d’Akanda, il s’est notamment agi de trouver des solutions permettant d’améliorer les conditions de circulation des populations, particulièrement les habitants de sa commune, tout en évitant à l’administration publique de subir davantage les conséquences de ces embouteillages aux heures de pointe.
Scène de la réunion du 23 février 2017 au ministère de la Réforme de l’Etat, à Librevielle. © GabonreviewParmi les pistes de solution envisagées au cours de la réunion : «réduire le rond-point du carrefour de Jade, fermer (dans le sens de l’arrivée) au niveau du contournement du rond-point de l’aéroport et au niveau du carrefour Gigi», a rapporté Flavienne Mfoumou Ondo, indiquant qu’il s’agit d’une expérimentation. Ces pistes de solution, a informé Nicaise Sickout-Iguendja, 5e maire adjoint de Libreville, devraient être testées le 28 février, ainsi que les 1er et 2 mars prochains. Cette expérimentation, a-t-il ajouté, se fera conformément à la planification qui a été faite lors de la Coupe d’Afrique des nations à Libreville. «Ces trois jours test vont nous permettre de voir si la réflexion menée peut nous amener à juguler ce phénomène d’embouteillage dans le sens Akanda-Libreville, et quelques jours après nous expérimenteront le sens Libreville-Akanda», a expliqué Nicaise Sickout-Iguendja.
11 Commentaires
la solution est de tout d’abord de « former les ^pilotes^ a l utilisation des ronds points »
apprendre le code de la route et la priorité a droite.
creer des lieux de stationnement pour les taxi et stopper l anarchie ambiante
depannage de voitures interdits sur la chaussée
savoir vivre sur la route avec courtoisie (un grand travail)
etc etc …
sans cela meme avec du 2 X 5 voies ca ne sera jamais assez
Une si grande commune avec une seule « porte » d’entrée et de sortie. Du jamais vu au monde. Et vous parlez de réflexion. On a besoin de quelle étude pour le comprendre? Perte de temps et moyen de justifier si ce n’est l’incompétence, ce sont les sorties colossales d’argent du contribuable.Tout le monde sait que ce mammouth quartier a besoin d’une route, au moins, qui sort et traverse les PK pour alimenter l’autre mammouth dénommé Owendo et la Ntoum. Tout le reste n’est que vue de l’esprit.
La solution la plus efficace est comme chacun sait, les transports en commun. Si ils sont de bonnes qualités ils permettent de fluidifier la circulation.
Des dirigeants incompétents ne peuvent trouver que de fausses bonnes solutions.
C est pour ça que les Gabonais veulent qu ils quittent le pouvoir.
Vous parlez de réduction de la taille des ronds points,il est évident que ça ne suffira pas on a même pas besoin d être un expert des travaux publiques ou d être titulaire de je ne sais quelle expertise pour s en rendre compte.
La veritable solution on la connait,elle a déjà été évoqué dans ce pays, c est la construction d une deuxième voie d accès reliant libreville et Akanda.
Le problème c est que ces dirigeants malhonnêtes, incompetents et inconséquents,préfèrent gaspiller de l argent pour organiser des evenements festifs plutôt que d investir pour régler les problemes des populations.
Ils preferent se remplir les poches plutôt que de continuer à investir dans de grands travaux pour developper le pays.
C’est vraiment desolant que des ministres de la republique se retrouve sur une table de reflexion pour un probleme aussi serieux et trouer comme solution ce qui est evoqués.C’est vraiment honteux de votre part et faire preuve de cecité visuelle car les embouteillages sont occaionnés par un flux important de vehicules à des heures precices de la journée a cause de l’etroitesse de la route.Si vous ne voyez comme solution la rduction des ronds pont aujord’hui,qu en sera t il d’ici 2030;on est vraiment gouverné par des petits esprits
Le problème dans ce pays c’est que tout le monde s’improvise spécialiste de tout.
LES autorités doivent se limiter à poser le problème, puis à mettre en place une équipe de Spécialistes de :
– l’urbanisme
– la sécurité routière
– la circulation routière
– la police
– des économistes
– sociologues
– …
La Banque Mondiale et L’OMS ont déjà planché sur ces problématiques. Il y’a donc une documentation et des ressources humaines disponibles.
Cela évitera de tâtonner et même de nous retrouver face à des problèmes encore plus graves comme ce fût le cas avec les échangeurs des Charbonnages, Nzeng Ayong…
Par ailleurs, il ne faut pas se limiter à un épiphénomène – celui d’Akanda uniquement – mais poser le problème de façon global sur la SÉCURITÉ ROUTIÈRE AU GABON, avec des déclinaisons :
– La fluidification de la circulation
– Les aires de parking Taxis/Clandos
– La sécurité des piétons
– La signalisation verticale et horizontale
– La sensibilisation des usagers de la route
– Une Metropolice (police de la circulation routière) ???
– …
Le risque, si le problème n’est pas posé de façon global, c’est de nous retrouver face à des décisions antagonistes.
Il ne suffit pas d’avoir des diplômes et parler correctement français pour penser que l’on est détenteur de la science infuse.
LAISSEZ LES SPECIALISTES FAIRE LEUR TRAVAIL.
bref, il est clair qu il faille d autre route, mais o? il faudrait probablement songer à bouffer un peu du coé de l ‘aeroport
Diogène a tout à fait raison. La bonne clé, pas la seule mais la principale, c’est la mise en place de transports en commun performants. Dans une première phase, des bus de grande capacité circulant dans des couloirs bien réservés, et dans une phase ultérieure, la construction d’un tramway moderne. Sans transports en commun, toutes les solutions d’augmentation de la capacité des routes ne constituent qu’un cautère sur une jambe de bois.
Salutations depuis la France
un tramway lol !!! et meme un metro pour aller a la pointe
attention aux giboulés
Bonjour Natacha
Cela serait mieux qu’après avoir écrit « lol », vous donniez des arguments. Il serait ensuite facile de les contredire, à voir le nombre de villes africaines (je ne parle même pas des villes d’autres continents)de la taille de Libreville qui se dotent d’un tramway moderne. A votre disposition pour échanger sur le sujet. Cordialement
le problème se trouve au niveau des sens giratoires il faut une sorte de pont et des passerelles au niveau des lycées leon mba et le lycee d Etat