Dialogue politique : Maganga Moussavou promet de faire pression
Le président du Parti social démocrate (PSD) promet de donner du sien pour faire aborder les sujets qui fâchent et obtenir des changements profonds, en vue de renforcer la démocratie et l’Etat de droit.
Pierre Claver Maganga Moussavou (gauche), président du PSD, le 2 mars 2017, lors de la remise du rapport final du comité ad hoc pour le dialogue politique. © Primature-Gabon
On pourra compter sur lui. Pierre Claver Maganga Moussavou a promis de ne pas se débiner lors des discussions organisées dans le cadre du dialogue politique national qui s’ouvre ce 28 mars. «Au sein de l’opposition, tout le monde sait quelle est ma détermination», a tenu à rappeler le président du Parti social démocrate (PDS) sur Radio Gabon, le 27 mars.
Au cours de ces assises, l’opposant entend aborder les sujets qui fâchent. Son objectif : parvenir à un changement profond au sein des institutions constitutionnelles. Il se donne notamment pour mission de «faire en sorte qu’il y ait des élections et un système politique transparents». «Vous pouvez me faire confiance», a-t-il lancé, précisant : «Lorsque je décide d’aller à une réunion, un débat, à un dialogue comme celui qui est envisagé, c’est parce que j’espère m’y impliquer fortement, pour que ce que souhaite le peuple gabonais puisse voir le jour.»
A «ceux qui sont hésitants», le président du PSD les a invité à «saisir l’occasion», tout en assurant que «la politique de la chaise vide n’a jamais été payante». Pour Pierre Claver Maganga Moussavou, «tout le monde est d’accord pour qu’il y ait révision et transformation de nos institutions, des élections à deux tours, une limitation des mandats, un redécoupage électoral, une révision des cautions à différentes élections, y compris aux élections présidentielles, pour qu’on parle du financement des partis politiques, tant dans leur fonctionnement que pour leur campagne». En allant aux assises, dont la phase politique devrait démarrer dans une semaine, le PSD attend que celles-ci aboutissent à «un assainissement du climat politique».
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Le président du Parti social démocrate (PSD) promet de donner du sien pour faire aborder les sujets qui fâchent et obtenir des changements profonds, en vue de renforcer la démocratie et l’Etat de droit.
Pierre Claver Maganga Moussavou est l’une des grandes figures politique que j’apprécie beaucoup au Gabon de par son verbe, je crois qu’il est un Grand économiste, il se peut que je me trompe mais un calibre de l’intelligentsia gabonaise pourtant pas fiable sur l’échiquier politique sur lequel on peut compter. Un Grand Chef de la Ngounié mais léger. Les girouettes en politique se sont des gens que chez nous en tant que chrétiens on appelle « des flots de la mer, agités par le vent et poussés de côté et d’autre Que des tels hommes ne s’imaginent pas qu’ils recevront quelque chose du Seigneur : ce sont des hommes irrésolus, inconstants dans toutes leurs voies. »
Il nous dit qu’il « entend aborder des sujets qui lui fâchent. Son objectif : parvenir à un changement profond au sein des institutions constitutionnelles. » Mais est ce qu’il rêve ou fait rêver les gabonais à sa folie de grandeur ? » Mais monsieur le président du Parti social démocrate (PSD) au Gabon, le dialogue aura deux composantes importantes, et de ces deux composantes, c’est sera de diviser les voies discordantes afin de maintenir un veto au rêve déjà décidé par les PEDECHISTES (CONCERVER LE POUVOIR À TOUT PRIX ET MÊME AU PRIX DU SANG VERSÉ DES GABONAIS) avant même que les élections présidentielles de 2016, ne se face ; il n’y a pas eu des court surcuit mais une continuité de cet objectif MACHIAVÉLIQUE de l’homme BOA au Gabon. Même nous, les makaya, les moins intelligents que ce GRAND GABONAIS, Pierre Claver Maganga Moussavou, nous savons toutes ces choses ! Regardez COMBIEN DES GABONAISES ET GABONAIS qu’ALI BONGO a tué depuis 2009 à 2016 ? Malgré cela regardez LA CPI continue à fermer les yeux devant des nombreux crimes contre l’humanité et sans qu’elle ne pointe le doigt sur lui ? Mais Laurent Gbagbo quel crime à-t-il fait pour se trouver à la CPI ? Lui qui en Côte d’Ivoire à gagné les élections présidentielles et n’avait aucun groupe armée comme Alassane Ouattara mais se retrouve aujourd’hui en prison (CPI) alors que le véritable criminel se trouve à la présidentielle ivoirienne. Jean Ping a gagné l’élection présidentielle mais on la donne à un autre, les Nations-Unies et la France se sont tuent mais ailleurs ils font le bruit. Et au Congo RDC, Joseph Kabila qui a certainement tué des congolais plus que Joseph Désiré Mobutu : aujourd’hui son adversaire, Jean-Pierre Bemba se trouve aujourd’hui à la CPI. Est-ce que notre cher Pierre Claver Maganga Moussavou est au courant ?
Il ajoute ceci : qu’il se donne notamment pour mission de «faire en sorte qu’il y ait des élections et un système politique transparents». «Vous pouvez me faire confiance», a-t-il lancé, précisant : «Lorsque je décide d’aller à une réunion, un débat, à un dialogue comme celui qui est envisagé, c’est parce que j’espère m’y impliquer fortement, pour que ce que souhaite le peuple gabonais puisse voir le jour.» mais quel cet Ali Bongo qui était dans leurs années PECHISTES un de ses amis pourra donner carte blanche quand il cherche à consolider sa base ? Oui, «la politique de la chaise vide n’a jamais été payante». Mais je te prédis TOI L’HOMME DE MOUILA que tu sortiras de-là soit avec un poste ministériel ou soit avec rien du tout.
LE GABON PEUT AVOIR CONFIANCE AUJOURD’HUI QUE LES GRANDS PARTIS POLITIQUES ET LES GRANDS NOMS DE LA POLITIQUE AU GABON N’IRONT PAS A CE DIALOGUE MACHIAVÉLIQUE OU TOUT EST DÉJÀ ARRAGER ET DECIDER D’AVANCE.
VIVE LA TYRANNIE AU GABON
Révérend pasteur Israël Nahum
J’adhère pleinement à votre commentaire, Révérend Pasteur. Merci infiniment de faire entendre la voix de la vérité.
Pasteur, donnez les noms des personnes tuées. Vous ne gagnez pas en respectabilité en reprenant la litanie de vos mais de l’opposition. Pour un soi-disant pasteur, vous devriez apprendre à dire la vérité, pas celle de la dîme.
Qu’entendez-vous par grand noms de la politique gabonaise? Vous n’avez qu’à leur donner la communion au prix de la dîme pour en faire de grands noms politiques de ce pays. Où étaient-ils en 1990, lors que les Gabonais s’étaient battus pour mettre un terme au système mono-partisan qu’ils ont bâti et duquel ils ont tiré des avantages à nule autre pareille? Nous aimerions vous entendre leur demander de restituer ce qu’ils ont volé. Mais, le pouvez-vous vraiment? Certainement non à cause de ce que vous y retirez. Que dire de votre prophétie sur Maganga Moussavou? Ridicules comme toutes vos autres prophéties que vous vendez à vos ouailles dans votre secte pompeusement baptisée église. En effet, pour un politicien, en politique, soit on gagne, soit on perd.
Bonjour monsieur Pierre Manganga,
Certainement vous êtes de Mouila, l’une des plus belles villes du Gabon o ! Que j’aime la Ngounié au même titre que tout le Gabon. Mais dans le fond, j’aime plutôt les gabonaises et gabonais qui ma foi souffrent continuellement des politicardes gabonais comme vous sous la botte des français et vendus à la famille de Bongo. Moi je les appels plutôt des « politiCats ». Vous devez savoir que ce jeu de nulle part que joue des opposants gabonais comme Maganga Moussavou ‘’LE COQ À L’ANE’’ n’est pas une prédiction de nous pasteurs ou hommes d’église qui vivent au rythme de la dîme au Gabon mais plutôt votre venin de serpent ennemi des gabonaises et gabonais faisant partie de la famille de Dieu. Oui, le Gabon est une famille de Dieu sous la houlette de Christ. Et personne, ni vous ne pourra fermer la bouche des hommes de Dieu comme moi de vous dire la vérité en face. Car les gabonaises et gabonais n’ont plus besoin du coq à l’âne, ils sont besoin mon frère, des hommes comme Jean Ping qui s’est mis debout pour le compte du Gabon afin de lui protéger des hommes comme vous vendus pour la baguette française. Nous voulons manger encore du manioc dans notre territoire nationale comme l’on mangé nos ancêtres. Nous n’avons plus besoin de la salade mais de l’arachide pillées par nos mères à Mouila comme à Franceville, etc. l’histoire au Gabon doit se récrire sous la plume des francs hommes comme Jean Ping pas par des faux opposants, des fretins qui cherchent des issus sous la bénédiction de Ya Ali Bongo. L’histoire du Gabon doit se récrire par tous les gabonais qui ont compris que nous n’avons plus besoin de la France pour bâtir une nouvelle république au Gabon. Elle se fera avec vous ou sans vous. C’est une question de temps. Mais dire que vous allez fermer la bouche des gabonaises et gabonais à l’étranger comme sur place non ! C’est non. Mais vous aurez plutôt plusieurs Jean Ping à vos trousses et qui vont se levés au Gabon non contre vous personnellement mais contre vos politiques avant gardistes et qui vont de nulle part, et ne profitent pas aux gabonais comme nous les pasteurs dont tu dis qu’ils vivent de la dîme mais que pensez-vous des Makayas qui vivent des bidonvilles au Gabon ? Qu’est-ce que vous avez fait et qu’est-ce que vous avez produit pour eux au niveau national ? Certes à Mouila votre Maganga Moussavou, il a essayé de faire quelque chose pour sauver son parti et non le Gabon. Mais il faut cas même le reconnaître. Vous me dites ; « Qu’entendez-vous par grand noms de la politique gabonaise? » En vous répondant mon frère Pierre Maganga, « Un grand homme politique ne se défini pas par son ‘’discours’’ » mais par « son charisme », ce charisme se dévoile par l’intégrité comme l’a fait devant vous Jean Ping de dire ouvertement à tous ses frères et sœurs au Gabon qu’il n’ira pas au foutu dialogue des franc-maçon au Gabon. Ça lui a demandé « Une volonté politique ». Peu d’hommes au Gabon n’ont pas eux cette ferme assurance de dire non à Ya Ali Bongo mais se sont fait acheter par lui pour aller à son dialogue. Est-ce que c’est nous les pasteurs vivants de la dîme qui vous ont encouragé de baisé la main maudit de Ya Ali Bongo ? Mais vous êtes allez à ce dialogue à votre propre compte et non celui des gabonaises et gabonais.
Oui, je vous l’affirme, il y a encore des hommes et des femmes intègres en politique au Gabon mais est-ce que vous êtes de ceux là? Ta famille à mouilla et dans toute la Ngounié ont voté massivement pour la victoire de Jean Ping. Est-ce que c’était pour quelqu’un d’autre ? Non ! Mon frère gabonais la machine de l’opposition radicale est en marche au Gabon. Oui ça prendra du temps mais les gabonaises et gabonais de l’étranger comme à l’intérieur, nous allons découdre avec ce pouvoir « De gré ou de force ». 700 ans de sang versé par l’empire romains mais il est tombé entre les mains des barbares et de l’église que tu es entrain d’insulté. Nous allons mener une guerre à symétrique non avec les mêmes armes que les romains avaient en face des barbares et qui n’avaient que des gourdins pour se défendre mais nous allons la faire avec les instruments démocratiques en envahissant la rue, les écoles, l’Internet, les collèges, les lycées, les universités, les églises (catholique et protestante), nos campagnes, nos villages… Jusqu’à ce que ce pouvoir tombe entre les mains des gabonaises et gabonais. Toutes ces choses ; vous avez déjà un aperçu sur ce plan B de la révolution au Gabon. Ce n’est pas un plan avec des fusils « milice armée » mais avec « la démocratie silencieuse » aux turbulences physiques qui font déjà écho dans votre gouvernement des délinquants. En tout cas, c’est de bonne guerre quand vous dites ceci : « Nous aimerions vous entendre leur demander de restituer ce qu’ils ont volé. Mais, le pouvez-vous vraiment? » Je préfère vous dire en tant que pasteur : que j’encourage « Le voleur qui change de vie, qui change d’assemblée ou tout simplement ce Zachée au temps du Seigneur Jésus-Christ qui fut une bonne repentance. » Êtes-vous de ceux-là mon frère ? Si oui, alors repentant toi et ne parle plus en mal contre les serviteurs de Dieu au Gabon où ailleurs et je t’encourage de faire de la politique mais surtout de « LA BONNE POLITIQUE » que Dieu te bénisse.
Révérend pasteur Israël Nahum
M.Mnagnga c’est toujours bien de dire ce qu’on pense, en oubliant que vous même vous faites parti de ceux la qui continuer de piller le Gabon par votre femme longtemps deputé, pourquoi elle ne laisse pas quelqu’un d’autre? aujourd’hui votre fils qui est ministre, aussi pardon managa tu n’a rien à dire. si c’est pour voter des lois mettant fin à nepotisme dans ce pays ,mais si c’est des lois pour que vous continuer de regner ah non.
Si ma mémoire est bonne, le président du PSD était l’un des premiers acteurs politique et candidat à la présidentielle d’Août dernier, sur les ondes de RFI à féliciter Jean Ping. Sur quelle base et de quoi parle t-on ici ?
Le commun des gabonais connaît vos postures en politique Monsieur. Une fois le deal passé, votre position est sans surprise.
Cependant, avec courage et sincérité posons nous quelques questions et essayons d’y répondre sans ambages:
– Pourquoi le pays vit une crise sans précédant, une crise sociale, économique et d’abord politique ?
L’élection présidentielle d’Août 2016, et les violences post électorales en constituent la pilule qui divise aujourd’hui.
C’est un coup d’épée dans l’eau de dire «tout le monde est d’accord pour qu’il y ait révision et transformation de nos institutions, des élections à deux tours, une limitation des mandats, un redécoupage électoral, une révision des cautions à différentes élections, y compris aux élections présidentielles, pour qu’on parle du financement des partis politiques, tant dans leur fonctionnement que pour leur campagne».
On peut observer que les organisateurs de ce énième dialogue, sont sortis sciemment du véritable sujet qui fâche.
Depuis 90 et à chaque élection nous perdons nos compatriotes.
Qui doit défendre le peuple ?
Non Monsieur c’est inacceptable, c’est allé trop loin, pour se contenter d’une ablution.
A mon humble avis,le processus électoral actuel, dans sa forme comme dans le fond, ne saurait être la véritable épine qui bloque l’élan démocratique dans notre pays.
Une institution n’est forte que si les hommes qui sont à sa tête respectent les devoirs et obligations qu’impose leur fonction.
Le devoir de moralité, y compris en dehors du service : un fonctionnaire ne doit pas choquer par son attitude (alcoolisme, scandale public…), ni porter atteinte à la dignité de la fonction publique.
Le devoir de probité : le fonctionnaire ne doit pas utiliser les moyens du service à des fins personnelles, ni avoir d’intérêts dans les personnes morales de droit privé (ex : entreprises) que ses fonctions l’amènent à contrôler. Ce devoir est complémentaire à l’obligation de se consacrer à ses fonctions.
L’obligation de neutralité : le fonctionnaire doit assurer ses fonctions à l’égard de tous les administrés dans les mêmes conditions, quels que soient leurs opinions religieuses ou politiques, leur origine, leur sexe, et doit s’abstenir de manifester ses opinions.
Au total, personne ne voudra scier la chaise sur laquelle elle est assise, par conséquent, tout ce qui pourra être , adopté , retenu, par la bonne foi de certains , ne sera point appliqué. La preuve, pourtant si bien écrit ,que doit-on retenir d’Arambo, Accords de Paris, etc ..
La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent. – Albert Einstein
Tout est dit et bien dit.
Maganga de Mouila, nous vous attendons au tournoi quand votre ami Ali aura fini de faire son cirque et vous avec.On y fera les comptes à la fin de votre messe entre copains et coquins.
Ce n’est pas vous qui aviez fait rentrer votre fils au gouvernement d’un usurpateur d’élections qu’on attendra quelque chose qui puisse bousculer Ali qui tue à bout portant pour son maintien au pouvoir.Si vous allez va à cette messe des diables, c’est pour ne pas vous faire oublier. Vous aurez pu prendre une retraite politique, mais comme c’est votre fonds de commerce, alors, vous êtes toujours fidèle au poste et égal à vous même.
Maganga Moussavou,
Kokolo taji ami, rentre chez-toi et ne nous embete plus jamais, tu paieras toi aussi pour chaque gabonais mort en 2009 et en 2016 après chaque election presidentielle.
Si je comprends bien on ne doit pas négocier mais faire la guerre c’est ça?
Oui, cher monsieur ABO c’est LA GUERRE ET RIEN QUE LA GUERRE A GABON, nous ne vivrons plus que de la GUERRE AU GABON. IL nous fallait QU’UN ‘’REIN SOLIDE’’ et nous croyons que c’était AMO que Dieu est son âme mais il nous a quitté très vite à cause de ce même foutu pouvoir qui nous traine aujourd’hui à la boue. Si tu n’as pas compris cela, ce qu’un côté tu es soit ignorant des réelles problèmes au Gabon et ou soit tu collabores avec les ASSASSINS du Gabon, ces traîtes vendus pour la cause notre ennemi commun, ‘’LA FRANCE’’. Oui, mon frère C’EST LA GUERRE MAIS UNE GUERRE À SYMETRIQUES AUX ARMES DE ‘’LA DÉMOCRATIE CITOYENNE’’ et nous avons ‘’une colonne vertébrale’’ assez solide pour le moment qui puisse nous encourager bonnement à cette cause si chère aux gabonaises et aux gabonais ‘’L’ALTERNANCE POLITIQUE ET IMMÉDIATEMENT’’: JEAN PING. IL est desormais notre parapluie devant Dieu et devant les hommes. Cette bipolarité d’engagement politique qui divise aujourd’hui les gabonaises et gabonais est depuis l’indépendance: c’est-à-dire d’un côté ceux qui cherchaient à faire du Gabon une région d’outre mer de la France (Léon Mba) la «départementalisation», et de l’autre côté, ceux qui voulaient découdre de ce joug colonial et faire du Gabon un pays libre «Les partisans de l’indépendance totale, c’est-à-dire POLITIQUE» (Jean-Hilaire Aubame après le coup d’état de 1964, Germain Mba…) Monsieur ABO ces deux idéologies politiques qui sont à la naissance de notre pays comme État ne sont pas mortes, oui à cause d’elles plusieurs personnes sont mortes au Gabon mais elles non. Alors au Gabon de quel côté es-tu? Es-tu pour la «départementalisation»? Comme fut notre cher président Léon Mba ou es-tu des partisans de l’indépendance totale comme JEAN PING ? Alors si tu es du côté des partisans de l’indépendance totale bats-toi auprès de ceux qui voient le Gabon différemment « NOUVELLE RÉPUBLIQUE. Maintenant si tu es du côté des autres et qui nous ont rendus pauvres et enrichis les français, alors que nos enfants meurs de faim et sont privés des écoles et nos sœurs et mères de meilleures conditions de vie et sans hôpitaux cadeaux venant d’un pays extrêmement riche alors, ce que tu as fait ton choix et merci pour la démocratie.
Révérend pasteur Israël Nahum
Ha vous devez tuer, violer et dans l’indifférence totale négocier. Au fond vous négocier quoi???? Tout va bien au Gabon. Quand on gagne les élections on gouverne. Laissez nous et gouvernez.
Vous fatiguez les gens avec votre connerie de phrase du genre celle que vous venez de sortir… On négocie quoi? on vient de tuer du monde, on triche , on ment et plus on impose de venir rire boire et manger ensemble? non mais hoooo!!! Vous êtes pour le dialogue non? il a commencé, c’est la vraie solution pour régler les problèmes du pays. Donc ne venez pas fatiguer les gens avec vos remarques de merde ici!
Bonjour. Juste dire au révèrent pasteur israël. Que le rôle d’un pasteur est de paître les brebis et non de les juger. Le rôle d’un vrai chrétien est de prier pour la nation et non d’appartenir a un parti politique. Monsieur israël sache que si le pays est en debout la faute est a jeté aux chrétiens. Les chrétiens deviennent des politiciens plus personnes pour prier et implorer la miséricorde de Dieu. Ce qui règne ce sont les jugements les condamnations oublions même ce que la Bible dit. C’est dommage pour israël. Pauvre de la brebis égaré israël. Le pays a besoins des vrai chrétien afin que Dieu seul vienne faire justice.
Marquiz, tu dois savoir que dénoncer n’est pas juger. Monsieur Israël dénonce, il ne juge pas. Et tout prétendu chrétien qui refuse de dénoncer le mal pour se réfugier dans une prétendue prière n’est pas digne de Christ. Parfois à gorge déployée, les prophètes Ésaïe et Jérémie ainsi que tous leurs contemporains n’ont cessé de dénoncer le mal dans leur pays. Jean le Baptiste a dénoncé le comportement du roi Hérode au péril de sa décapitation. Jésus a fustigé en des termes très durs l’abomination des scribes et des pharisiens. Mieux, Il a pleuré sur Jérusalem. L’on ignore alors la base de cette théologie gabonaise qui réfute au chrétien toute prise de position contre le mal qui a fagocité en quelques décennies tous les secteurs de vie de notre beau pays. Le mal est dans la stabilité des familles, dans les enseignements des Églises, dans la gouvernance politique, économique et sociale du Gabon. Et on demande aux chrétiens de la fermer sous prétexte que ce n’est pas leur domaine de compétence. Entre temps lorsque certains hommes d’Église soutiennent ouvertement le mal et ceux qui le commettent, il ne se trouve personne de ton espèce pour leur dire qu’ils sortent de leur compétence. Malheur à vous car votre hypocrisie vous précipitera dans les flammes de l’enfer.
Mon frère Marquiz,évitons parfois de mêler Dieu aux sottises.
Nous sommes peut-être tous des croyants, désolé si je te choque mais, Dieu ne descendra pas pour venir nous délivrer.
A méditer: Aide-toi et le ciel t’aidera.
Après être propriétaire de la moitié de Mouila il souhaite l’être des trois quarts du Gabon . monsieur, madame et le fiston
Quant on est sois même Maire de Mouila, que son épouse est Député de cette même Commune et que le fils est au gouvernement au compte du même parti politique qui a investi papa et maman. Ça vaut vraiment le coup de dire qu’il va mettre la pression.
Démocratie Tropicalisé!
Madame la marquis, le rôle d’un pasteur est de dire la vérité partout où il se trouve à l’église ou hors de l’église. Si tu as volé, il doit te dire: voleur arrêtes,et va rendre ce que tu as volé .
Maganga Moussavou : un plaisantin , une girouette , un ventrocrate ,un provinsaulocrate .
Accords de Paris, Accords d’Arambo…???
La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent. – Albert Einstein
Monsieur, dites à ALI BONGO que les gabonais veulent une autre personne comme président de la république. Ils l’ont démontré en votant massivement le candidat de l’opposition et ensuite en donnant de leur vie pour exprimer leur désir ardent d’alternance. SVP, il ne faut pas croire que les gabonais souhaitent autre chose que l’alternance…