De la stratégie de Jean Ping : La triple faute
Pour contourner la question de ses rapports avec les dissidents de l’Union nationale tout en s’efforçant de séduire l’électorat d’André Mba Obame, l’ancien président de la Commission de l’Union africaine se laisse enfermer dans une logique de confrontation et une lecture ethnique du jeu politique. C’est simple et visiblement commode. Mais, ça semble tout aussi caricatural, hasardeux et contreproductif.
Vincent Essono Mengué vient d’ouvrir le débat sur le sens d’une éventuelle candidature de Jean Ping à la présidentielle. Maladroite et nauséabonde, à bien des égards, la dernière sortie du maire d’Oyem donne, depuis lors, lieu à un festival d’exégèse et de multiples tentatives de reconstruire l’histoire ou d’apprécier notre vivre ensemble. Les exégètes ou traducteurs autoproclamés ne disant pas exactement la même chose, il pourrait bien avoir un quiproquo quelque part. Mais une chose est certaine désormais : la possible candidature à la présidentielle de l’ancien président de la Commission de l’Union africaine est, de l’avis même de certains de ses soutiens, un pis-aller, une solution par défaut.
Il y a quelque chose d’assez surprenant chez Jean Ping et ses principaux soutiens : leurs carrières professionnelles respectives peuvent impressionner mais leur gestion des subtilités du jeu politique inquiète, étonne et détonne. Sous le regard médusé des observateurs, ils prennent parfois trop de liberté avec certains codes, utilisent un langage pas toujours conforme à leurs statuts respectifs et manient des notions délicates avec imprudence. Le désir de prendre tout le monde de vitesse, les fait tomber dans la précipitation. La volonté manifeste de s’imposer les amène à se poser en victimes. La recherche effrénée d’adhésion populaire les conduit à verser dans le populisme.
Mélange des torchons et serviettes
Tout ceci part d’un postulat pas toujours partagé par le plus grand nombre : Jean Ping aurait redynamisé une opposition prétendument tombée dans l’atonie depuis le retrait forcé d’André Mba Obame. Il lui revient donc naturellement le bénéfice de prendre la suite du désormais regretté secrétaire exécutif de l’Union nationale (UN). Certains en arrivent même à ne plus faire de différence entre ce parti et lui. D’autres tiennent désormais pour négligeable leur appartenance partisane. Il s’en trouve aussi pour le rebaptiser en lui accolant un patronyme fang. Ce recours à des idées simplistes, cette tendance à en faire un héritier et ce maniement hors contexte de la tradition ou de la question ethnique occultent désormais l’essentiel. Pour ainsi dire, tout ceci brouille son image et ne sert pas ses intérêts.
Au vrai, il faut désormais s’interroger sur les soutiens les plus tonitruants de Jean Ping. Il y a nécessité à s’appesantir sur sa relation avec les dissidents de l’Union nationale. Il faut en rechercher les implications dans la quête d’unité de l’opposition. Peut-on décemment prétendre contribuer à construire une dynamique unitaire en s’affichant ostensiblement avec des personnalités en quasi-rupture de ban avec une formation politique dont on a vocation à être l’allié ? Evidemment, certains diront n’y voir aucune contradiction. Et pour cause : répondre par l’affirmative reviendrait à remettre en cause toute la démarche de l’ancien président de la Commission de l’Union africaine depuis l’officialisation de sa rupture avec le Parti démocratique gabonais (PDG). Ainsi, pour contourner cette question, on mélange les genres, les torchons et les serviettes. Concrètement, on feint de ne plus tenir compte de la vie interne aux partis politiques pour regarder uniquement le devenir du Front de l’opposition pour l’alternance.
Tout aussi fumeuse est la référence systématique à André Mba Obame et au groupe ethnique dont il était issu. Jean Ping serait Josué, le continuateur de l’œuvre de Moïse – surnom attribué au regretté secrétaire exécutif de l’Union nationale durant la présidentielle de 2009. Il aurait été adoubé par la communauté fang, consciente de l’existence d’un pernicieux et sournois «tout sauf un Fang». Comme si l’ancien président de la Commission de l’Union africaine devait absolument chausser les bottes de l’illustre disparu. Comme s’ils avaient le même rapport à la religion. À croire que les groupes ethniques concourent à l’expression du suffrage universel. À croire que l’Etat gabonais est construit sur le modèle communautariste.
Moins de passion et davantage de réflexion
La prétention à la captation de l’héritage politique d’André Mba Obame est un piège. La demande faite aux Fangs de se ranger derrière Jean Ping une absurdité. Les soutiens de l’ancien président de la Commission de l’Union africaine tentent de minimiser l’existence de l’Union nationale et le lien entre cette formation politique et son défunt secrétaire exécutif. Ils font mine de croire que les groupes ethniques investissent des candidats à l’élection présidentielle. Or, en choisissant d’aller protéger la bière d’André Mba Obame au siège de l’Union nationale, sa base électorale a clairement exprimé, l’existence, selon elle, d’un lien consubstantiel. Mieux : au regard de l’ampleur de la mobilisation observée à ce moment-là, il apparaît évident que l’homme rassemblait au-delà des ethnies. N’en déplaise à Vincent Essono Mengué, on est bien obligé de rappeler que l’Etat gabonais est fondé sur l’universalisme républicain et non sur le communautarisme.
Potentiel candidat à la présidence de la République, Jean Ping gagnerait à recadrer ses soutiens, à les inviter au respect de certains fondamentaux, à moins de passion et d’exubérance et finalement à davantage de finesse et de réflexion. Au lieu de se lancer dans une hasardeuse manipulation du fait ethnique et dans une course à la captation de l’héritage politique d’André Mba Obame ou au débauchage des cadres de l’Union nationale, il serait mieux inspiré de s’en tenir à la conception républicaine et universaliste de l’unité sociale tout en s’attelant créer une mouvance politique propre. C’est la logique de la République et la seule qui vaille pour un candidat à la présidence… de la République.
86 Commentaires
……À croire que l’Etat gabonais est construit sur le modèle communautariste.
Vous pensez vraiment qu’il y a un Etat gabonais ? Vous me faites rire!
Dans le » stato » de machiavel, il était bien question de L’UNITE POLITIQUE d’un peuple , pouvant entre autre transmuter les problèmes, dépasser les divergences … mettre le territoire et son peuple devant toute personne, ou gouvernement . Est ce le cas au Gabon?? Etat dites vous?
Le territoire est certes délimité (?) l’organisation y est alambiquée ( cf: découpage des circonscriptions électorales, ou certains sont élus avec 2 maisons de 5 personnes, et les autres une population de plus de 2000 âmes…), l’application de la loi y est abracadabrante… et le prince domine tout. Etat gabonais dites vous?
Dans la notion d’État, il y’a une autre qui s’y imbrique a merveille , celle de la légitimité qui elle, est sous tendue par le peuple , lorsqu’il y a démocratie : il parait que le Gabon est démocratique , le prince a la légitimité , n’est ce pas?
Dans le sens WEBERIEN du terme , la souveraineté peut se juxtaposer a la violence… seulement l’État souverain a ce monopole .
Dans notre cher Gabon , la violence est le fait d’une personne , d’un groupe , d’un clan , sur le reste de la population.Je vous laisse développer ce pan!
… l’Etat gabonais est fondé sur l’universalisme républicain et non sur le communautarisme.
Non l’ETAT GABONAIS n’existe pas s’il vous plait. Il n’y a que des hommes , des groupes , un clan qui contrôle ce territoire délimité; la preuve les corses tekes avaient bien decidé de faire de ce territoire un lieux de carambouille sans nom, c’est vous dire.
l’etat gabonais ooo non n’existe pas , et la republique non plus.
jactons , parlons, mais les faits sont la et tetus.
il est juste question d’alternance s’il vous plait , j’ai pas envie de mourir sans voir ca je vous en supplie, laissez celui qui dit qu’il peut neutraliser le mal , le faire .
juste l’alternance s’il vous plait , c’est notre territoire a nous tous .
snif.
Azoth,
Très sincèrement, tu me fais honte.
Tu viens chialer en public
parce que Roxane s’interroge sur la stratégie adoptée par Ping et ces soutiens politiques, tu as perdu la raison ou quoi? et dire tu es le premier à penser qu’Ali est têtu parce qu’il n’écoute pas les gens.
Pour ma part, je considère que Roxane n’a rien contre Mr Ping ou Essone Mengue, elle ne fait que dénoncer leurs impairs et les invite à les corriger si toutefois c’est encore possible.
Quand des personnalités du Front comme Amoughe Mba, Eyeghe Ndong, des sages comme Ekoh, Abiaghe sont fiers de proclamer que Ping est le candidat des fangs, qu’il tiendra compte de leurs intérêts et saura les protéger une fois président, ça sonne bien dans les oreilles?
Toi mieux que Yove, connais les gens de chez nous, toujours à extrapoler, toujours prompts à la démesure, eh bien pour beaucoup, Ping est celui qui aime les fangs, qui va les protéger, ça devient comme du MVET.
je sais que ta clique d’intégristes talibans n’aiment pas les critiques, vous aimez seulement charger ceux de la majorité, vous vous êtes écoutés?
Parce que tu veux l’alternance, il te faut un candidat qui représente les fangs , tu n’es pas assez intelligent pour trouver des arguments qui puissent convaincre les fangs, les amener à voter Ping? Vous faites peur aux autres ethnies quand vous versez dans ce sens et Ping apparait désormais comme une marionnette aux yeux de ceux qui ne supportent pas les fangs as tu compris?
On veut un état fort, avec des institutions et des personnalités qui respectent le vivre ensemble, certes, ça parait incertain, tu le dis bien dans ton post, mais comment pouvons nous y parvenir si des intellos comme toi , Minko , Patriote 123 versez dans cette analyse en tous cas c’est tout comme?
Je suis désolée de vous le dire, Mengara qui est un fang comme vous , qui surement a vécu les mêmes frustrations que vous, Dieu merci ne tient pas ce type de discours et n’importe quel bilop ayant un peu de bons sens ne peut me démentir.
D’ailleurs, AMO a t-il tenu ce type de discours, répondez puisque vous vous réclamez d’AMO, est ce que c’est ainsi qu’il s’adressait aux populations du woelu-Ntem, lui qu’un bilop Bongo a chéri autant que ses propres enfants?
Vous avez attendu sa mort pour découvrir qu’on n’aime pas les fangs et qu’il vous fallait un parrain pour garantir votre protection? AMO malgré ce rejet des fangs n’était-il pas candidat?
AMO était quoi punu, Zebi, myènè? C’était un fang comme vous doté d’une intelligence hors du commun qui lui a permis en un temps record ,l’exploit de passer de ministre de l’intérieur le plus honni des gabonais, à l’homme le plus populaire du Gabon en 2009. Apprenez à Ping à être comme lui, ne l’embrigadez pas dans vos histoires de candidat des fang et tuti quanti .
Si Ping se montre fin diplomate comme l’était Koffi Anan, rusé comme Ulysse, intelligent comme Bongo père (oui il était intelligent mais sorcier eneme, mesemeloupe) il pourra réussir là où AMO a réussi avant lui, sans avoir recours à des dosages ethniques.
Au lieu que ta clique de pahouins tombez à bras raccourcis sur Roxane, vous feriez mieux de vous focaliser sur les critiques, les manquements qu’elle formule à l’endroit de Ping, elle ne le déteste pas, et puis c’est quoi cette affaire de lui demander qui est son candidat? elle est une journaliste objective et critique tout le monde, j’ai vu des émergents sur ce site lui tomber dessus parce qu’elle a osé attirer l’attention du président sur les méfaits de sa gouvernance.
Faut savoir accepter la critique Azoth, la tolérer, ceci fait parti des exigences de la démocratie et du vivre ensemble, dès que l’on touche à Ping, vous ramenez vos gros gourdins et machettes pour en finir avec nous autres, c’est quoi Ping est Dieu? il est parfait , n’a t-il pas collaboré des années et ce jusqu’à le dernière minute avec le plus gros sorcier que le Gabon ait eu à savoir Bongo Père? alors vous ne voulez pas que l’on l’exorcise? acceptez les critiques, portez des corrections qui se doivent à votre stratégie Ping fera alors un bon candidat!
Au passage, je soutiens la tournée de Ping, il a parfaitement raison d’aller vers les populations, quand il reviendra du canton Nye qu’il puisse avoir un regard de dédain pour Ona Ondo quand il verra le sentier qui mène d’Oyem à Nkoume, village du PM de l’émergence.
Excuses moi d’y être allée un peu fort, mais ta bande et toi aviez besoin d’être recadrée…Divungui fait sa campagne sans bruit, sans éclat de voix, et je peux t’assurer il fait campagne
pourquoi voulez vous que j’en arrive à vous rappeler ce proverbe fang?
» MEBI ABOUME ENOUME ATANE » traduction vous n’avez pas déjà fait caca que l’odeur inonde l’environnement, Iboundji si ma traduction est mauvaise, je compte sur toi.
@Imagine56,
En ouvrant ma page Facebook, il y’a à peine quelques minutes, je suis tombé sur un post d’un ami, probablement commun à certains d’entre-nous ici, qui écrit ceci :
(…)désormais, au Gabon, il y’a trois types d’opposition:
1) L’opposition au pouvoir;
2) L’opposition du pouvoir;
3) L’opposition de l’opposition.(…)
Au regard de ce que je vois, j’ai bien l’impression qu’il n’a pas faux ! Triste constat n’est-ce-pas ?
C’est original cette classification, je ne me retrouve dans aucune de ces oppositions, je suis l’opposition du cœur, et toi l’opposition de la tête kia kia kia.
triste constat en effet toi qui fais la politique avec la tête n’est ce pas?
Au fait Lepatriote123, j’attends toujours la réponse à mes questions, hier je t’interpellais sur deux questions, tu as zappé, tu n’as repondu à aucune, pourquoi?
à Imagine56
As-tu fais un tour sur le site de MENGARA.
Son rapport et premier bilan d’étape sur son séjour au Gabon, est très intéressant à lire. Il nous apprend pas mal de choses sur l’esprit de nos diviseurs actuels de l’opposition.
A+
J.E.D
Meminitame,
Je vais me dépêcher d’aller voir ce rapport, je suis sure que je vais me délecter, Mengara…je l’adore, un crack
@Imagine, ma soeur,
Sois rassurée je ne zappe pas, juste que je suis très pris en ce moment et que j’arrive plus à vous suivre… Quelques éléments de réponses sur le post de @Maureen en font foi. Dans tous les cas, l’actualité de cette semaine étant riche, je vous promets @Minko, @Azoth et toi que je serai connecté ce week-end. Au fait comment faites-vous ? Moi j’ai du mal à suivre, vraiment ! Je vous aime tous, à bientôt !
Voila , c’est terminé, je ne chiale plus.
Je voulais juste dire que les fangs , ont une conscience collective solide, et qui s’est forgée au fil du temps.
Ici , j’avais deja argumenté sur ce qui fait le socle de la societé fang entre autre: les joutes au corps de garde, l’expression de la singularité, construction de sa legende personnelle… LE DESORDRE ORGANISE.
Essone Mengue , le rappel bien en disant que chacun s’occupe de ce qui se passe dans sa maison, le chef du village coordonne, il est hors de question que l’enfant d’un membre du groupe, soit l’esclave de l’autre….il est hors de question que l’on prepare certains enfants a commander les autres…. nous sommes dans une logique de merite et travail, chez les fangs; seule la strategie et le travail paie .
Leur position est justifiée par le fait qu’on a voulu les cloîtrer dans un bureau, avec un baillon noir !
Je suis d’accord avec toi, il y vont fort, mais le groupe a transmuté la douleur , il est devenu encore plus fort et strategique, l’espoir est revenu! Merci aux mechants !
La probabilité de reussite d’une action est proportionnelle au sacrifice qui est accepté, en vue de sa realisation….Nous y sommes!!!!
Tout ce que tu dis est logique , mais l’urgence commande de joindre l’acte a l’envie.
Tu restes ma meilleure…. et j’aime bien quand tu me traites de taliban ahahahah
je ne te connais pas, mais j’ai beaucoup d’affection pour toi et tu es le seul sur ce site à qui je m’adresse comme si tu étais mon petit frère, c’est pourquoi je trouve que tu es aussi têtu qu’un taliban, attention mon taliban cheri ah aha ah
Imagine56, un peu de courtoisie envers autrui.
Qu’entendez-vous par chialer ?
Pourquoi se montrer souvent vulnérable quand les autres disent leurs vérités.
Azoth a-t-il adressé une injure contre vous ?
Message adressé à GabonReview
wanno,
Mais de quoi je me mêle?
si j’avais injurié Azoth, crois moi, il se serait fait un plaisir de me répondre, conseil tiens toi à l’écart de mes problèmes avec Azoth;
je suis quelqu’un de très courtois Wanno, avec Azoth je me permet certaine familiarité parce que c’est mon pote.
J ‘interviens pour dire que je soutient la logique de Imagine 56. Libertad.
Frere Gabonais vous avez peur de la vrai revolución. Reveillez vous, TSF ou pas stop de pleurez vous savez comme nous ici que c’est un manipulación de fuerza imperialista. Si le crittere a Gabon c’est le TSF misericordia! Imagine56 tu as raison de t’indigner. Azoth la cabeza . Saludo.
@ Roxanne ,
En te lisant ,j’ai le sentiment que tu as tronquée ta plume pour un pistolet-mitrailleur avec pour principale cible Mr PING !
En te lisant , je suis sideré par cette haine , a peine dissimulée contre un homme qui ne demande qu’a rendre aux Gabonais une dignité perdue…
En te lisant , je cherche de mémoire , un article analogue du quotidien, pourtant des Bongo-Pdg, contre la tournée de Mr PING dans le Gabon profond.
En te lisant je suis ébahi que des deviennent des certitudes sous ton pistolet-mitrailleur
En te lisant je cherche toujours des indications sur le profil de TON candidat pour l’alternance …
Dis moi , chere ROXANNE, n’as tu pas un problème personnel avec Mr PING ?
Aucun problème personnel, pas plus qu’il n’y a de problèmes personnels avec Ali Bongo, régulièrement critiqué sur ces pages web. Laissez le temps au temps, avant de nous « mitrailler ». Nous n’avons jamais reçu de félicitations quand nous analysions les actions précédentes de Jean Ping. Relisez le texte 2 ou trois fois, analysez-en chaque phrase, confrontez la au réel, après quoi revenez nous dire où avons-nous menti ou avons-nous exagéré. Il faut pas qu’il y ait, dans ce pays, des intouchables. Décrypter les faits d’un homme politique, ne veut nullement dire que nous ne l’aimons pas. Attention !
Excellente analyse de Roxanne, bonne reponse Mr NDJIMBI.
Souvent avec nous les Gabonais, « on comprend vite les choses, mais il faut nous les expliquer longtemps ». ah GABONITIS VIRALIS ELECTORALIS quand tu nous tiens c’est pénible.
AZOTH et MINKO, vous m’avez habitué à mieux, ne soignez pas atteint par la « G.V.E ». Quand c’est pas bon, disons à nos parents, à nos frères, à nos sœurs et à ceux qui veulent nous diriger que là, c’est pas bon. Ne faites pas comme les émergents d’ALI que nous combattons, on veut tous un nouveau Gabon, mais il faut des critères objectifs pour y parvenir.
merci a Gabonreview.
Urgent. Pouvez-vous nous mettre en ligne sur Gabonreview le rapport entier, ou l’entretien du 15 Août devant témoin entre PING et MENGARA au domicile de PING. en tant que journaliste et sans partie prie, j’aimerai que tous les fervents soutient de PING s’exprime la-dessus. Il ne faut plus rien nous cacher, c’est important, et cela confirme bien qu’un dictateur peut en cacher un autre. J’ai un exemplaire si besoin.
La rédaction n’a malheureusement pas cette vidéo dont elle n’entend parler qu’ici pour la première fois. Vous pouvez toujours nous expédier une copie, à travers l’adresse électronique que vous trouverez dans l’onglet «Inforoute 241», un peu au dessus de notre logo.
@Minko. Regardons les choses avec froideur. (1) Ping est-il oui ou non entouré de Souverainistes ? A-t-il annoncé sa rupture d’avec le PDG, oui ou non, au cours d’une rencontre avec les Souverainistes ? Les Souverainistes sont-ils oui ou non des militants de l’Union nationale, en difficulté dans leur parti ? Si vous étiez en instance de divorce avec votre femme, seriez-vous content de voir un de vos amis ou alliés filer l’amour avec elle ? N croyez-vous pas que le rôle de votre ami est plutôt de dire à votre femme de revenir à la maison ? Ping aurait dû conseiller aux Souverainistes de repartir dans leur parti au lieu d’en faire ses principaux soutiens…. Encore heureux que l’UN ait accepté de créer le Front avec Ping…. (2) Oui ou non que Josué a poursuivi l’œuvre de Moïse ? Oui ou non qu’AMO s’était fait surnommé Moïse ? Ping est-il obligé de tomber dans un tel mimétisme ? Oui ou non que Eyéghé Ndong, Ntoutoume Ngoua sont vice-présidents de l’UN ? Ping trouve-t-il normal que des vice-présidents d’un parti ne respectent plus les statuts de leur parti ? Ne sait-il pas que dans tous les partis il y a une clause statutaire interdisant le soutien à des candidats non membres du parti ? Ne pouvait-il as adhérer à UN ? Ne pouvait-il pas demander à Eyéghé Ndong et Ntoutoume Ngoua de la soutenir discrètement ? (3à Oui ou non qu’Essono Mengué a fait une lecture ethnique des choses pour soutenir Ping ? Non, cher amis, contrairement à vous, j’ai le sentiment que cet article tire la sonnette d’alarme et demande à Ping d’être un peu plus vigilant vis-à-vis de ce qui disent le soutenir….. Hier, j’ai entendu quelqu’un dire dans un bar à Libreville que lui est convaincu qu’Essono Mengué l’a fait exprès, juste pour couler Ping….. Réfléchissons-y….
Merci plutôt aux souverainistes, l’UN propose quel candidat?: CAM. Arrêtez la blague, de qui se moquent-ils?
Roxane ne parle pas du candidat de l’UN, mais de la stratégie de Ping et de ses soutiens, relisez l’article de Roxane avant de conclure que l’on se moque de vous.
Le fait est que si la stratégie des dirigeants de l’UN est inappropriée et irréaliste, elle constitue elle-même la cause essentielle de l’émergence des différentes dissidences observées…
Aux dernières nouvelles, Mr Ping n’est pas membre de l’un mais du front. Il n’a pas à demander l’aval de la direction de l’un pour faire des causeries et meeting dans le Gabon. Je demande si les souverainistes eux membres de l’un ont enfreint une des dispositions statutaires de leur parti en accompagnant un membre du front en tournée?
Lekoni-Lekori,
Merci merci de poser les bonnes questions.
Ces gens là ne veulent pas comprendre ce qu’on leur reproche, ils savent tout comme Dieu.
Notre Roxanne nous a habitué à élever nos conscience. Elle ne peut pas avoir pris ou n’est pas en train de prendre le virage. J’aurais du mal à le croire. Si pistolet-mitrailleur il y a, Roxanne a sûrement envie d’attirer notre attention sur un fait que nous ignorons ? Je ne suis pas d’accord avec l’analyse faite par elle sur les propos du maire d’Oyem, mais suis tout autant étonnée de la prise en otage de l’opposition par Mr Ping, qui soit dit en passant n’est que candidat à la candidature car il n’a pas été désigné par le front, à moins qu’il ne projette ide se présenter aux présidentielles en indépendant ? que se passe-t-il avec Ping ? Pourquoi est-il soudain le meilleur de tous alors que certains se battent depuis des années, voire depuis 2009 pour l’alternance ? Les forces obscures ont-elles miser sur lui ou est-il réellement capable de sortir le Gabon de la nuit ? Car, en ce qui me concerne, les propos d’Essono Mengue peuvent tout aussi bien s’appliquer à un autre non fang de l’opposition. La mise à plat des institutions pour permettre des élections viables est un préalable. La sagesse veut qu’on balaie le chemin pour passer. Ce que fait Ping en allant auprès des populations peut porter ses fruits s’il le fait au nom du front de l’opposition et non en son nom personnel. La est le hic. Parle- il au nom du front ? Explique-il clairement qu’il est candidat à la candidature et qu’il sera désigné ou un autre par le front ? A défaut d’une soit ion claire de sa part, il est facile et compréhensible que nous nous posions des question. Les gabonais souhaitent l’alternance pour bâtir une vraie démocratie et un bien-vivre ensemble et non d’un simple changement de pion dans l’échiquier.
A moins que vous soyez amnésique volontaire vous savez le problème fang dans ce pays et pire encore depuis 2009. Pourquoi devrions nous être scandalisés si des gens veulent que ce détail ne soit plus d’actualité du moins jusqu’au départ des bongo du pouvoir? Le débat est ailleurs
Nyfa,
Pourquoi pensez-vous que l’éducation nationale et l’enseignement supérieur au Gabon ne fonctionnent pas? à cause du V.G.B (Viris Gabonitis Betisis)? Non! tout simplement parce que ceux qui savent reconnaissent que le Gabonais est dangereux quand il a de l’instruction. Comme ce sont des ignares qui nous ont toujours dirigé avec des diplômes exclusivement valables, que dans leur pays d’origine, même pour certains qui les ont obtenu à l’étranger.
Il faut maintenir la population Gabonaise dans l’ignorance, en présentant leurs droits fondamentaux, comme le don, ou les bienfaits d’une personne. d’où le culte de la personnalité voué au président en toutes choses, et pour toutes choses. regardez l’état de vos écoles primaires, élémentaires, secondaires et universitaires, du jamais vu en 2015. Donc, donner de l’instruction civique ou patriotique aux enfants, élèves ou étudiants devient une prérogative des sectes, ou des loges.
Ce sont des amis Ouest-Africains qui m’ont fait remarqué un jour, que le niveau de débats des Gabonais instruits ou non, était l’un des mieux élaborés en Afrique… je fus surpris et fière. Et je le constate chaque jour sur cet espace.
Donc imaginons un Gabon, ou l’on peut expliquer à ses concitoyens, l’intérêt et l’importance de la citoyenneté et de la vie communautaire? Nous avons 9 provinces et près de 400 dialectes si je ne m’abuse (à préciser), certes avec quelques groupes majoritaires c’est peu dire. Pas de langue vernaculaire nationale, comme le wolof au Sénégal, mais un usage imposé et convenu du français comme langue nationale par tous les Gabonais.
Nous, vous et moi, pourquoi ne prendrions nous pas la peine d’expliquer aux sceptiques V.G.B souffrant, que le « TSF » ou accessoirement le « TSB », sont des concepts rétrogrades, d’un autre âge et qui ne doivent ni être justifiés, ni être entretenues. Il faut avoir le courage d’éduquer nos enfants, voir nos parents au besoin. J’ai épousé une Bilop il y a quelques années, avec une certaine appréhension vis à vis de ses parents, allaient-ils être d’accord? parce que tout par de là aussi.
Savez vous ce que mon épouse m’a fait? à table, elle a posé la question à son père dans ces termes: » …mon fiancé demande si ça ne te dérange pas que je l’épouse parce-qu’il est FANG?… » J’ai failli m’étouffer, eux ils ont rigolé. Le père scandaleusement instruit, de me répondre: Jeune Homme, toutes ces considérations sont d’un autres âge.
Pour dire qu’ils nous appartient aujourd’hui et maintenant de dépasser ces considérations, et de marginaliser tout esprit qui veillerait à l’entretenir ou à le diffuser. Il n’y a pas lieu de justifier cela, pour apporter une caution de conscience.
A bientôt.
PS: V.G.B = Virus Gabonais de la Bétise
Meminitame
Il semble que le nombre de dialectes, autrement appelés idiomes ou parlers, que compte notre pays se situe entre 40 et 45. Ces idiomes se répartissent eux-mêmes en 8 langues correspondant à 8 groupes ethniques ou sociocultures, auxquels s’ajoute un singleton.
Voici les huit groupes et le singleton :
1- FANG: Ntoumou, Ossyéba…
2- MERI: Punu, Ghysir, Lumbu, Ngowé, Varama, Vungu, Massango…
3- METIE: Nzébi, Adouma, Wandji, Tsangui…
4- MYENE: Mpongwè, Galoa, Oroungou, Nkomi, Enenga, Adjoumba…
5- KOTA: Kota, Mahongwè, Benga, Sékiani…
6- MBEDE: Téké, Obamba, Ndoumou, Kaningi, Woumbou…
7- OKANDE: Mitsogo, Apindji, Eviya, Pové, Okandé…
8- AKELE: Akélé, Boungome…
– Le singleton: Vili.
Memintame, c’était là ma modeste contribution. J’espère que cela n’aura pas été inutile. Que les spécialistes procèdent aux corrections nécessaires et complètent la grille. Merci.
Toi Yove ,
t’es un crack, merci de me donner l’occasion de connaitre réellement les groupes qui composent notre pays;
Yove super crack, tu ne vas pas le croire , je suis fière de toi!
Trop généreuse, Battante Imagine56. Sache que suis fier de toi aussi, et heureux de faire ta fierté. Merci infiniment.
Roxanne, les faits sont têtus, cela est vrai! Essayez un temps soit peu de visionner les tournées de mr ping et vous comprendrez l’adhésion et la volonté exprimées par le peuple.Nous avons soif d’alternance et mr ping est un mal nécessaire. Les guides de la communauté fang l’ont compris.pour certains mr ping est mieux placé afin de gérer une sorte de transition non constitutionnelle. Je vous informe que le maire d’oyem n’est pas l’inspirateur ou l’initiateur de ce débat, il l’a seulement porté sur la place publique.
Je voudrais signaler que l’ambition de Jean Ping n’est pas de remplacer André Mba Obame mais d’aller plus loin. Il faut dire les choses telles qu’elles sont. Dans sa pré-campagne, AMO n’avait pas mobilisé autant de monde que Jean Ping et suscité un tel engouement, sachant que Ping n’a pas TV+ avec lui ou une autre TV.
De plus arrêtez de donner l’impression qu’il faut emprunter le chemin et les stratégies d’AMO pour réussir. Au cas où on l’aurait oublié, AMO a échoué dans sa conquête du pouvoir: c’est un fait.
Maintenant Jean Ping non plus n’est pas Dieu, il fait sans doute des erreurs, mais ce qui compte c’est qu’il a su occuper l’espace politique qui était dominé par Ali Bongo. Si l’UN était si puissant nous n’aurions pas connu le vide politique de 2011 à 2014.
Jean Ping devra aussi convaincre l’électorat de Pierre Mamboundou laissé à l’abandon.
Ensuite viendra le débat de fond. Projet contre projet, idées contre idées. Débat encore prématuré.
John Nambo, ami personnel d’Andre Mba Obame est allé vendre à son cousin Jean Ping une théorie politique fumeuse :
Un Fang ne peut être président du Gabon et aucun Gabonais ne peut devenir président sans le soutien des Fangs et enfin que le pouvoir au Gabon ne pourra échoir qu’a un ressortissant d’une ethnie minoritaire.
Ainsi donc, Jean Ping va faire la course aux Fang. D’abord Mba Obame qui dit niet et est très surpris par la démarche politique. Il ne verra plus son ami jusqu’a sa mort.
Il y a ensuite les Souverainistes Aubame, Mbeng, Djenno, etc qui marchent en étant assurés de passer du Gouvernement virtuel au Gouvernement tout court.
Ce sera au tour de Ndemezo de rentrer dans la danse, assure d’etre Premier ministre et de devenir le Biyoghe Mba de Ping.
Eyeghe Ndong, Essono Mengue, Ntoutoume Ngoua, Amoughe Mba et Véronique Essomeyo venant compléter l’attelage d’opportunistes que John Nambo à convaincu de ce que Ping président, ils tireront le gros lot.
Philippe More,
Juste pour la petite histoire, j’ai entendu quelqu’un dire que Adiahénot se rendant sans rendez-vous chez Ping, avait surpris ce dernier en compagnie d’Eyeghe et Radegonde Mba tous les trois s’ activaient à confectionner l’organigramme de campagne du meilleur candidat.
Adiahénot qui n’était pas attendu est reparti estomaqué, je ne sais pas si les autres savent qu’ils ne sont pas au même niveau là bas chez Ping. Il y a Nambo qui est non seulement le neveu, mais peut valablement faire office de gardien, il ne se contente pas de filtrer les entrées dans la villa de Ping, mais passe le plus claire de son temps, à dire du mal de tous ceux que Ping voudrait prendre en estime.
Je ne veux pas être mauvaise langue, c’est à croire que Ping est le patron du harem, les femmes comme les hommes se le disputent, regardez bien quand il y a une causerie, tous veulent que Ping leur glisse quelque chose à l’oreille, je regarde toujours cela de loin, Pitié hein.
Mais comment peut-on se comporter comme si l’ange Gabriel était venu leur dire en songe que Ping sera président? comme on dit wait and see
Le challenger contre Ali bongo en 2016 est un ancien premier ministre et c’est ndong Sima qui doit y aller ce qui se précipites et force la ne me semble pas correct et lucides
Ali n’a pas de concurrent potentiel, même pas Ndong sima.
Ali est un sans-papiers; il est donc inéligible. En outre, il est scandaleusement incompétent et immature. Dans l’opposition, nous le savons tous, et nous nous appliquons à le faire savoir. Les vrais Gabonais qui sont au PDG le savent aussi : demandez à H&M. Il n’y a que des gens achetés ou « mangés », comme vous, pour avoir le toupet de l’ignorer. Pitié!
En parcourant ces commentaires, je ris et je reconnais là bien des postures de (nos) amis… passionnés et prompts à intervenir.
@Azoth, je partage ta position, c’est concret, c’est logique.- (point/barre) !
Roxane Bouenguidi, François Ndjimbi (mon ami), je vous dis, la perfection n’est pas de ce monde, les modes d’administration des partis politiques à l’instar de ceux de l’étranger ne sont pas systématiquement applicables au Gabon, dans son contexte particulier, avec ses réalités, ses contraintes et ses forces…
Realpolitik, oui ! Que peut-on reprocher à Jean Ping et ses acolytes quant on sait que la politique n’est faite que de séduction, de calculs, de stratégies et d’opportunités… Quel est cet homme politique, qui dans sa stratégie, ne chercherait pas à accrocher une région disposant d’un électorat potentiel et surtout particulier, spécifique ? Que savez-vous de la stratégie et du mode opératoire futur qu’utilisera Jean Ping dans une, deux, trois semaines pour séduire et capter d’autres régions de nos pays ? Arrêtons SVP et souhaitons que cette alternance se réalise.
Yove,
Je ne vais pas répondre à tes questions, non pas que j’en sois incapable, mais tout simplement parce que comme à ton habitude il est question de me convaincre moi, et non de comprendre les arguments que j’avance, tu les balaies d’une main comme si j’étais la dernière des cancres.
yove, tu es un taliban, quand les talibans ont une idée en tête, il est quasi impossible de leur faire revenir sur leur
décision et en cela Azoth te ressemble
Finalement.. je vais rebondir sur tes préoccupations
1 a- puisque tu as compris que l’état gabonais est un monstre de faux semblant, pourquoi ne conseilles tu pas à ton candidat de se focaliser sur les réformes , les institutions afin que lorsqu’il se lancera dans la bataille des présidentielles, les élections puissent se tenir en toute transparence?
Pourquoi ne pas vous préoccuper de la connivence de Mborantso, Aboghe Ella et du Ministre de l’intérie, proximité qui fait que le candidat du PDG sorte toujours vainquer des présidentielles? Votre désinvolture prouve à suffisance que le Gabon n’est pas une république de faux semblant, on ne peut pas constater une chose et son contraire, le Gabon étant une république de faux semblant ne crois tu pas qu’il serait plus urgent de normaliser les choses, de se battre pour que les institutions, les lois soient corrigées et les personnes accompagnant le processus électorale écartées? Moi, constatant que le Gabon n’est même pas un brouillon d’état, je préfère d’abord me battre pour que le processus électoral ne souffre d’aucune critique .
1-B Ayant observé et dit que le Gabon n’est même pas un brouillon d’état et que nous sommes d’accord sur ce point(une république de faux-semblant enfonces tu) il n’est point besoin de répondre à la question 1-B, en effet si le Gabon était une vraie république, nous n’en serions pas à parler des différentes nations (ethnies) qui la composent.
2- En quoi la référence à l’ethnie peut-elle faire scandale?
tu as ta réponse, certains t’ont dit que c’était indécent et participait d’une certaine manière à l’enracinement du tribalisme alors que nous disons la combattre de toutes nos forces…à moins que , à moins que certains intellos n’en aient plus besoin que d’autres, médiocres, ils comptent sur elle (géopolitique oblige)pour avoir des postes, pourquoi pas.
2a- je n’ai jamais compris pourquoi on éprouvait depuis 1960 le besoin de notifier sur nos actes de naissance la spécificité coutume, ça fait colonie, une fois la nouvelle république installée, je ferai parti de ces gabonais qui iront au parlement revendiquer l’abrogation de cette mention coutume, c’est une aberration, je sais que quand on s’appelle Mba c’est qu’on est fang et que Moussavou appartient au groupe merié.
2-b si pour toi c’est du vice que de dénoncer les propos d’Essone Mengue, alors on n’est pas sortis de l’auberge, passons. Au moins le maire n’a pas demandé aux populations fang de prier en vue de bannir ce problème etnique
2-c je ne vois pas l’abcès que vous crevez ou plutôt expliques moi en quoi consiste cette crevaison, c’est quoi l’abcès dans le cas qui me préoccupe ici Yove? si c’est évoquer le rejet des fangs, je te demande est ce que c’est en ZO15 que vous avez décidé de crever ce vieil abcès ?
Tu interviens tellement qu j’ai pas pu lire les réponses, je vais revoir cela, t’inquiètes pas.
fraternellement yove
Bonjour Imagine56
J’apprécie beaucoup la qualité de tes interventions, je crois te l’avoir dèjà confié. Je n’en rate presque aucune. Comment donc balaierais-je tes préoccupations du revers de la main?
Alors, Yové taliban?
Je prends joyeusement,
Puisque de toi venant,
Cela est émoustillant.
Imagine56, avoue que tu as souri!
Fraternellement.
Bonjour Imagine56
J’apprécie beaucoup la qualité de tes interventions, je crois te l’avoir déjà confié. Je n’en rate presque aucune. Comment donc balaierais-je tes préoccupations du revers de la main?
Il y a des choix politiques qui se sont glissés entre nous, cela est indéniable. Mais entre nous, c’est du solide, n’est-ce pas?
Yové est-il taliban?
Je prends joyeusement,
Puisque de toi provenant,
Cela n’est pas sans allant.
Imagine56, avoue que tu as souri!
Fraternellement.
Imagine56
J’espère vivement que tu tomberas sur le post que je t’adresse ici, car je viens de me rendre compte que tu n’as pas lu
ma réponse aux premières questions que tu m’avais posées. Je me rends compte que ton courroux à mon égard tient à cela. Je te présente donc mes excuses pour n’avoir pas précisé où trouver cette réponse, que tu es parfaitement en droit d’exiger. Je viens donc, ici, apporter cette précision.
Eh bien, cette réponse fait suite à tes questions, et cela se trouve sur le forum relatif au discours controversé du maire d’Oyem, en présence de Jean PING.
Quand aux nouvelles questions que tu me poses, plus haut, ma réponse est la suivante:
Toi et moi, comme la quasi-totalité du peuple d’opposition, nous faisons le même diagnostic de l’état de santé de notre pays et sommes tous convaincus que cela requiert un traitement de choc. Mais là où se manifestent les problèmes dans l’opposition aujourd’hui, c’est à propos du point précis suivant: QUEL EST LE REMEDE APPROPRIE QU’IL FAUT ADMINISTRER AU GRAND MALADE QU’EST LE GABON? C’est à ce niveau que des divergences apparaissent, qui font dire à certains qu’il existe maintenant une « opposition de l’opposition » (Cf. Le patriote 123).
A cet égard, le « taliban » YOVE est convaincu que les deux bords de l’opposition qui s’invectivent aujourd’hui sur l’épineuse question de la nature du remède à administrer et du moment idoine sont, l’un et l’autre, de bonne foi. Les embrouilles au sein de l’opposition ne tiennent qu’aux ressorts, différents, sur la base desquels fonctionnent les deux bords qui la constituent actuellement.
En effet, il y a d’un côté des patriotes se réclamant d’un choix rationnel, lucide et froid ainsi que d’une stratégie se voulant efficace quoique osée. C’est la rive des vieux grognards comme ESSONE MENGUE, ABIAGHE ANGOUE et des autres soutiens à PING désormais fort connus. Et moi, ton « taliban » bien-aimé, je me tiens auprès d’eux, et je joins ma frêle voix aux leurs quand autant de patriotes sérieux, intelligents et responsables poussent leurs cris de ralliement.
En face se tiennent ceux que j’appellerai la rive des formalistes, qui ont leur coeur sur la main, et qui croient qu’ils pourront amener Ali, le rustre indomptable, à penser GABON et non plus « moi-je »; qu’ils pourront lui tordre le bras, de sorte qu’il lâche du lest et crée ainsi les conditions de la transparence que nous espérons tous. Sur ce rivage-là, je contemple le profil d’Imagine56, ma battante préférée, entourée de bien des patriotes sérieux et responsables.
Entre les deux rives de ce qui n’est aujourd’hui qu’un ruisseau coulent des eaux de plus en plus chargées des effluents toxiques que sont la suspicion et l’injure.
Arrêtons vite cette pollution et veillons à ce que le ruisseau ne devienne jamais un fleuve de division et de défaite. Ressaisissons-nous et, ensemble, bâtissons entre nos rives factices le pont de l’unité, qui est aussi celui du bon sens.
Imagine56
Akiba bwi! Diboti dineni! Akéwa mpolo! …
IBOUNDJI, au secours: Traduction, s’il te plaît!
A TOUT LE PEUPLE OPPOSANT
Nous, la quasi-totalité du peuple d’opposition, faisons le même diagnostic de l’état de santé de notre pays et sommes tous convaincus que cela requiert un traitement de choc. Mais là où se manifestent les problèmes dans l’opposition aujourd’hui, c’est à propos du point précis suivant: QUEL EST LE REMEDE APPROPRIE QU’IL FAUT ADMINISTRER AU GRAND MALADE QU’EST LE GABON? C’est à ce niveau-là que des divergences apparaissent, qui font dire à certains qu’il existe maintenant une « opposition de l’opposition » (Cf. Le patriote 123).
A cet égard, je reste convaincu que les deux bords de l’opposition qui s’invectivent aujourd’hui sur l’épineuse question de la nature du remède à administrer et du moment idoine pour le faire sont, l’un et l’autre, de bonne foi. Les embrouilles au sein de l’opposition ne tiennent qu’aux ressorts, différents les uns des autres, que mobilisent les deux bords se croyant actuellement en conflit.
En effet, il y a d’un côté des patriotes se réclamant d’un choix rationnel, lucide et froid ainsi que d’une stratégie se voulant efficace quoique osée. C’est la rive des vieux grognards comme ESSONE MENGUE, ABIAGHE ANGOUE et des autres soutiens à Jean PING désormais fort connus. Vous qui me faites l’honneur et l’amitié de suivre mes interventions, vous savez que je me tiens modestement loin derrière ces sommités, en joignant ma frêle voix aux leurs, quand tous ces patriotes sérieux, intelligents et responsables poussent leur cri de ralliement.
En face se tiennent ce que j’appellerai la rive des formalistes, qui ont leur coeur sur la main, et qui croient qu’ils pourront amener Ali, le rustre indomptable, à penser GABON et non plus « moi-je »; qu’ils pourront lui tordre le bras, de sorte qu’il lâche du lest et crée ainsi les conditions de la transparence que nous espérons tous. Est-ce sur ce rivage que vous vous tenez, cher/chère compatriote, entouré (e) de bien des patriotes sérieux et responsables?
Eh bien, que chacun de nous, quelle que soit sa position actuelle, prenne conscience de la situation dans laquelle nous sommes aujourd’hui. Que chacun de nous sache que cette situation réjouit le pouvoir BONGO/PDG, qui ne caresse pas plus doux rêve que celui d’abattre l’opposition, en l’écimant.
Que chacun comprenne que, entre les deux rives de ce qui n’est aujourd’hui qu’un ruisseau coulent, depuis quelque temps, des eaux de plus en plus chargées des effluents toxiques que sont la suspicion et l’invective.
Arrêtons vite cette pollution et veillons à ce que le ruisseau ne devienne jamais un fleuve de division et de défaite. Ressaisissons-nous et, ensemble, bâtissons entre les deux rives factices le pont de l’unité retrouvée, qui est aussi celui du bon sens.
C’est ma modeste contribution citoyenne. Merci de vous être donné la peine de me lire.
Yove,
Mais où es tu allé chercher cela, je ne suis pas du tout fâchée avec toi.
j’ai compris ton appel, je ne te promets rien, si à l’avenir, quelqu’un des soutiens de Ping revenait sur notre pomme de discorde…je reprends les hostilités.
Pour le moment, je crois qu’après mure réflexion et vu que le camp des émergents s’amuse à compter les coups, je vais agiter le drapeau blanc….on fait donc une pause, c’est plus intelligent, du fond du cœur je sais que tu as raison , en effet, je m’étonne du silence de Lepositif, il doit être en train de s’esclaffer, et je ne tiens pas du tout à le voir pavoiser.
Quand je dis que tu es sage….Ok, reprenons nos esprits et focalisons nous sur les émergents et leur chef c’est quand même notre priorité n’est ce pas?
De quel amis prompts à intervenir parles tu lepatriote123?
quel mal y a t-il à intervenir spontanément?
Vous avez décidé de vous liguer contre Imagine56?
rira bien qui rira le dernier.
@Maureen,
Relis mon post, il n’y a aucun mal a intervenir promptement, je fais juste allusion à la célérité avec laquelle certains notamment @Minko, @Imagine (que j’aime bien) et @Azoth qui interviennent à la vitesse grand V… pendant que moi je traine… J’aime ceux qu’ils font vu que je n’arrive pas à les suivre probablement compte tenu de mes activités. A peine 10 sinon 15 mn pour me connecter et puis entre une réunion et la réflexion que je consacre à certains dossiers professionnels, je n’arrive plus à suivre. Comprenez que je suis largué ! Sinon je vous aime bien et croyez-moi je vous suis ! N’est-ce-pas mon ami François Ndjimbi ? Au fait ! Je me ferais ce week-end le plaisir de rester connecté et d’échanger avec vous. Bien à vous !
Je soutiens la remarque de Lepatriote123.
Quand Roxane prétend que : « Le désir de prendre tout le monde de vitesse les (PING et ses soutiens) fait tomber dans la précipitation. La volonté manifeste de s’imposer les amène à se poser en victimes. La recherche effrénée d’adhésion populaire les conduit à verser dans le populisme ». Mais cela dérange qui ? C’est une stratégie politique, comme l’avait fait Mba des bois.
Plus bas, elle ajoute : « On feint de ne plus tenir compte de la vie interne des partis politique pour regarder uniquement le devenir du Front de l’opposition pour l’alternance ».
On sait tous au Gabon et à la Diaspora que l’opposition gabonaise était tombée dans l’atonie depuis le retrait de la scène politique de AMO. Les leaders des partis politiques dont Roxanne fait allusion ont fait quoi pour rassembler et instruire les populations en vue de l’alternance ? Que des discours creux aux sièges de leurs partis. On ne le dira jamais assez, c’est l’entrée de PING dans l’opposition (et non dans un parti politique), qui a redonner un souffle à celle-ci.
A un an de la présidentielle (et le temps passe vite), les populations avaient besoin de connaitre dès maintenant quel est le leader capable de faire tomber le dictateur. Y en a marre de ces discours des politiciens qui disent que l’heure n’est pas au choix d’un tel ou tel candidat, ni à Roxanne d’indiquer à PING et ses soutiens la stratégie à utiliser pour avoir l’adhésion des polutions (la fin justifie les moyens). Ce n’est pas à eux de décider à la place du peuple, le peuple est souverain. Au moment qu’ils jugeront opportun de présenter leur candidat, mais qu’ils le fassent ! On n’a pas besoin de les attendre, Hilary Clinton est déjà en campagne !
Pourquoi Roxanne se focalise t-elle uniquement sur le soutien des Fang à PING ? Il n’est que dans le Woleu-Ntem pour le moment. Mais que direz-vous lorsque Ping acquerra le soutien des Altogovéens ou des Logovéens, sans oublier les Estuériens ?
Gabontimisme et gabonecoisme, le verre veut faire sont trou à GR…..!
Ne nous faites pas peur. Il fut un temps ou j’adorais Gaboneco avant de le voir prendre la tangente à mesure qu’approchaient les présidentielles de 2009 jusqu’au virage totale que nous connaissons aujourd’hui. Je m’étais faites avoir aussi (naïveté congénitale ?) un temps par le site afro Grioo.com dans la manipulation. Alors pardon ohhh, laissez-nous rêver. Nous tenons à Gabonreview. Je suis Gabonreview.
« …nous refuser tout ça, c’est déjà assez bestial, mais enfin laissez-nous au moins rêvez hé hé hé … »PCZE
A Imagine56 et à tous les patriotes gabonais.
Je viens de lire l’article de Roxane ainsi que le post d’Azoth ci-dessus. Sachant que tu vois en Azoth un « ayatollah » de l’opposition (le mot est de toi, Imagine56), je me tourne maintenant vers toi pour poser cette double question:
1. Peux-tu, s’il te plaît, me faire la démonstration, de type A+B, que les propos d’Azoth participent du délire ayatollesque, de l’intégrisme de l’opposition?
1.a. Peux-tu soutenir que l’État gabonais n’est pas un monstre de faux-semblant, qui sait emprunter des principes édictés ailleurs et fonctionnant bien là-bas, qui sait voter des lois généralement fort jolies, sur la base desquelles il rédige des textes réglementaires à géométrie variable, tout en sachant qu’il n’en n’appliquera pas l’essentiel; mais qu’ au contraire il fondra à bras raccourcis sur quiconque s’en tiendra à la primauté des principes énoncés et à la lettre de la loi?
1.b. L’Etat-BONGO-TSF, serait-ce cela la République? Une République qui, dans l’esprit de l’article de Roxane,ici, n’aurait rien verrouillé ; et à l’égard de laquelle il suffirait de rester un légaliste bon teint pour que se réalise l’alternance tant attendue au sommet de l’Etat? Une République qui n’aurait pas, bien sûr, inventé la discrimination ethnique, le TSF, la « province présidentielle » !
2. Eu égard à ce qui précède, en quoi la référence à l’ethnie, sur la place publique, peut-elle faire scandale?
2.a. Tous les Gabonais ne sont-ils pas identifiés par leur origine ethnique, de façon tout à fait officielle, sous la mention « coutume » qui figure en bonne place dans l’acte de naissance délivré à chacun de nous?
2.b. Peut-être que certaines gens n’aimeraient entendre certaines choses déterminant la vie publique que si elles sont chuchotées, dans le creux de l’oreille, dans des maisons, ou dans certains cercles. Eh quoi! L’hypocrisie serait-elle devenue une vertu, et la franchise un vice à blâmer ?
2.c. Crever l’abcès de façon à le vider du pus toxique, cela ne participe-t-il pas des soins à prodiguer à ce grand malade qu’est le Gabon?
Chers amis, les questions que je pose ici ne s’adressent pas qu’à Imagine56, l’une des nôtres. Merci.
P.S: Au fait, Imagine56, as-tu lu la réponse que j’ai formulée aux questions que tu as livrées à mon attention? A+ Fraternellement.
Pourquoi tout ce bruit quand Jean PING est dans le Woleu-Ntem?
Est-ce une simple coïncidence,l’actualité ou tout simplement le début de la manifestation « à ciel ouvert »du TSF,sinistre « théorie »appliquée par un plus grand nombre de personnes que l’on ne croit dans ce pays???
Car comment comprendre que personne ne dise mot sur la mobilisation,ni sur l’hospitalité voir l’accueil des populations de cette province.
C’est comment avec les GABONAIS du Grand Nord? C’est comment?
Il a été dans l’Ogoué-maritime et dans l’Ogoué-ivindo,on a ni lu ni entendu autant de critiques et d’analyses…
Essono MENGUE,EYEGHE NDONG,et tous ceux qui préfèrent PING ont commis quel crime???
D’ailleurs ils s’expriment en leurs noms et qualités « propres »,ou est le problème?
Aucun commentaire sur la posture de Sagesse adoptée par Jean PING face aux attaques répétées…de son propre camp,ni sur sa volonté avec « ses amis du FRONT et de l’opposition »(dixit Jean PING) de changer les conditions de vie de nos compatriotes les plus faibles,rien… Pas un mot sur la constance de son engagement aux côtés des souverainistes, jusqu’à ce jour ou il n’a eu de cesse de se mettre en avant,même aux plus forts moments des manifestations contre les forces de l’ordre(Rio,SBG,Tribunal…)et maintenant sur le terrain à l’intérieur du pays,RIEN…
Même les médias censés être neutres,entrent dans la danse,c’est comment?
Sortez du bois et soutenez à votre tour un homme ou une femme et on verra bien,Jean PING a dit qu’il est candidat à la candidature ou est le mal?????
C’est la sorcellerie que vous faites ou quoi? Quelqu’un fait sa tournée avec son argent votre PB est ou? OU?
Gabonreview vous refusez de vous« re-neutralisez»,vu que vous insistez sur la cabale commencée il y a quelques jours.
Alors nous ne vous suivrons plus!!!
Aussi,le Pr ONDO OSSA vient de clairement reconnaitre (en l’affirmant lui aussi publiquement) lors de son discours de clôture des assises de la société civile la pensée de M.ESSONO MENGUE sur la réalité du TSF.
Nous attendons les premiers coups de cannons,prière de ne pas le « louper »…
Enfin,un peu de lecture pour comprendre NOTRE CHOIX,et la préférence d’EYEGHE NDONG et bien d’autres:
Expérience internationale
En 1972, Jean Ping est fonctionnaire international à l’Unesco à Paris, puis, de 1978 à 1984, il y est délégué permanent du Gabon avant d’être engagé dans la politique de son pays.
En 1993, il préside l’OPEP, dont son pays est membre à l’époque.
En 2004, il est choisi pour être le 59e président de l’Assemblée générale des Nations unies.
En 2008, il est élu au poste de président de la commission de l’Union Africaine.
Il a plusieurs fois représenté le Gabon aux nombreuses conférences internationales :
Unesco ;
Organisation de l’unité africaine devenue l’UA ;
Mouvement des pays non-alignés ;
Organisation de la conférence islamique (OCI) ;
Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) ;
Banque mondiale ;
Sommets de la francophonie ;
France/Afrique ;
Afrique/Caraïbes-Pacifique/Union européenne ;
Forum Chine/Afrique ;
Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (Ticad) ;
Conférences États-Unis/Afrique organisées dans le cadre de la Loi en faveur de la croissance de l’Afrique et son accès aux marchés (AGOA).
Intercessions diplomatiques
Il a contribué aux nombreuses médiations entreprises par le président Omar Bongo Ondimba, en vue de ramener la paix et la stabilité en Afrique centrale : République du Congo, Tchad, République centrafricaine et São Tomé-et-Principe.
Le 17 décembre 2010, il est chargé par l’Union africaine de tenter une médiation en vue de trouver une solution à la crise en Côte d’Ivoire. Ce pays était à l’époque secoué par une lutte pour le pouvoir depuis le second tour de l’élection présidentielle du 28 novembre 2010 dont les deux candidats, Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara, se déclaraient vainqueurs.
Analyses
Dans son ouvrage Éclipses sur l’Afrique : Fallait-il tuer Kadhafi ? (2014), il critique sévèrement l’intervention française en Libye en 2011 qui a détruit le pays et déstabilisé la région. Cette politique qu’il qualifie de « néocoloniale » représentée par l’interventionnisme d’un Bernard-Henri Lévy et par les choix de Nicolas Sarkozy abandonnant les fondamentaux de la politique traditionnelle française pour « décider, tambour battant, de partir en guerre et de mener, par devant et par procuration, les hostilités, sous le manteau de la légitimité onusienne et sous le parapluie militaire de l’Amérique et de l’OTAN ». Il condamne une politique occidentale menée « sous la pression des émotions et des passions immédiates qui emportent leurs opinions »5.
Honneurs et distinctions
Au Gabon
La médaille de commandeur de l’Étoile équatoriale,
La médaille de grand officier de l’Étoile équatoriale,
La médaille de commandeur du Mérite maritime
La médaille de commandeur de l’ordre national du Mérite gabonais.
En France
La médaille de grand officier de la Légion d’honneur. En 2006, il a été élevé au grade de grand officier de la Légion d’honneur par l’ambassadeur de France au Gabon, au nom du président Jacques Chirac.
Il est membre de l’Association nationale des docteurs en sciences économiques (Andese-France).
Œuvres
Mondialisation, paix, démocratie et développement : l’expérience du Gabon (préf. Hubert Védrine), L’Harmattan, 2002 (ISBN 978-2747527071)
Éclipse sur l’Afrique : fallait-il tuer Kadhafi ?, Michalon, 2014
Références
↑ Jean Ping, nouveau président de la Commission [archive], RFI, 2 février 2008.
↑ Agence de presse africaine – Jean Ping, un diplomate chevronné, a pris fonction lundi à la tête de l’UA [archive]
↑ a et b Biographie sur le site African Success [archive]
↑ Les Afriques 27/05/2008 [archive]
↑ Jean Ping, Éclipses sur l’Afrique : Fallait-il tuer Kadhafi ?, Michalon 2014, 217 pages
[afficher]
Voir ce modèle.
Ping vous dérange tellement même si il fait un million de fautes ou est le problème on verra la finalité de sa démarche uniquement après les présidentielles … pourquoi passez vous votre temps a décortiquer chaque mouvement de ce monsieur a croire que vous le craignez vraiment … Des articles dans l union des articles pour ne rien dire … Laissez le avancer et si vous pouvez faire mieux présentez vous et puis c est tout… Il n y a même pas un semblant d impartialité …quelle tristesse!!!
La confrontation des idées grâce au débat contradictoire, c’est aussi ça la démocratie! Je découvre avec émerveillement, cette grande passion des Gabonais à la démocratie! C’est un signe des temps quant à leur liberté retrouvée…
Monsieur le Maire d’Oyem connait bien son pays mais seulement ces choses là ne se disent pas en public,encore moins à haute voix!Le grand nord soutenant un candidat non fang c’est un gros coin enfoncé dans la strategie des pdgistes qui dans l’immense sud n’hesitent pas à utiliser cet argumentaire pour sussiter le rejet de candidats souvent de haute volée.AMO à gagné haut la main en 2009 grace à Libreville Port gentil et le grand nord.Tous les autres avaient peur du fang.Le dire ce n’est insulter personne.Travaillons chacun à notre niveau pour que cela change mais aujourd’hui ne le nions pas.
Cher Roxane Bouenguidi, j’apprécie votre analyse. Sauf que le Gabon a des réalités sociopolitiques. Décryptez-les et vous comprendrez pourquoi il n’y a jamais eu d’alternance politique à la tête du Gabon ! ESSONO MENGUE, Réné NDEMEZO, Jean EYEGHE NDONG, Pierre AMOUGHE MBA et bien d’autres fang qui soutiennent la candidature de Jean Ping sont très loin d’être des idiots. Mieux, ils savent ce qu’ils font et pourquoi ils le font. Ce que fait Jean Ping et ses soutiens comporte des erreurs, certes, mais c’est peut-être ça qui va nous permettre de parvenir à l’alternance.
Au finish je reste convaincu que Mr PING dérange non seulement le PDG mais aussi un certain groupe d’opposants ki n’arrivent même pas à laisser leurs ego de côté pour trouver un candidat unique et cela ne date pas d’aujourd’hui.Ils (certains opposants) pensent que l’alternance ne peut se faire sans eux.Je crois qu’il faut laisser Mr PING faire ce qu’il a à faire.J’avoue que cette analyse de roxane me surprend bcp.
Ping va trop vite. Les autres n’arrivent pas à suivre……..!
Certains commentaires parlent d’une belle analyse de Roxane !!!
Je ne suis pas du tout de cet avis.
Vous dites :
…Maladroite et nauséabonde, à bien des égards, la dernière sortie du maire d’Oyem …
…Mélange des torchons et serviettes…
Mais au delà de la syntaxe, il est très aisé de comprendre l’esprit de cet article.
C’est une prise de position.
Le rôle de Gabonreview est d’investiguer, d’être impartial et de décrire les faits.
A moins d’avoir choisi son camp et de faire comme Times Gabon.
@Wano. Dis donc…. Où l’on découvre que vous êtes le créateur de GR pour en définir le rôle… Sachez que tous les journaux du monde font des éditos et qu’il existe plusieurs genres éditoriaux…. Oui, le propos d’Essono Mengué était maladroit et nauséabond. On peut même penser qu’il visait à couler Jean Ping, présenté comme une marionnette, le cheval de Troie d’un groupe ethnique….. Oui, on mélange les torchons et les serviettes en faisant comme si le Front était un parti politique ou un regroupement de partis et comme s’il avait une existence légale….Oui on mélange les torchons et les serviettes en ramenant Jean Ping à des constructions faites par AMO en fonction de ses alliances et de son vécu… L’ancien séminariste AMO, le relai d’Omar Bongo vers les églises pouvait s’identifier à Moïse à cause de son histoire personnelle….Ping devient Josué en vertu de quoi ? Est-il obligé de chercher à imiter AMO ou chercher à apparaître comme son héritier ? Ne peut-il tracer son sillon en fonction de son histoire à lui ?
Bien dit, je suis tt simplement déçu par la teneur des 2 derniers articles concernant Ping.
Juste pour Information
Un extrait de l’entretien entre Jean PING et MENGARA chez Ping le 15 août: intégralité sur le site de BDP
…
Ping ne me laissa même pas terminer ma présentation. Il m’interrompit et dit :
M. JEAN PING : – Ce n’est même pas la peine de continuer, M. Mengara, je sais déjà ce que vous allez
dire…
DANIEL MENGARA : Heu… pardon… Comment ? Que dites-vous ?
M. JEAN PING : Ce n’est pas la peine de continuer. Je sais déjà ce que vous allez dire.
DANIEL MENGARA : M’enfin, je ne comprends pas, M. Ping. Comment ça, vous savez déjà ce que je vais
dire ? Comment est ce possible ?
M. JEAN PING : Je sais déjà ce que vous allez dire.
DANIEL MENGARA : Heu, je suis un peu perdu là, M. Ping. Comment pouvez-vous savoir ce que je vais
dire avant même que je ne l’aie dit ?
M. JEAN PING : Je sais déjà ce que vous allez dire. Je le sais parce que ce sont les mêmes choses que
vous avez dites à votre conférence de presse à la Chambre de Commerce hier ; je n’y étais pas mais je sais
tout ce que vous avez dit à votre conférence de presse ; ne me demandez pas comment je le sais, mais je
sais ce que vous avez dit. Ce sont aussi les mêmes choses que vous dites partout partout. Donc je sais
déjà ce que vous allez dire et je sais déjà que vous et moi, on ne pourra jamais s’entendre…
DANIEL MENGARA : Heu… Vraiment ? Je trouve cela un peu bizarre, M. Ping. D’abord parce que je crois
que la politesse aurait voulu que vous m’écoutassiez jusqu’au bout, et aussi patiemment et aussi
complètement que je l’ai fait lorsque vous m’avez expliquez votre position. Et je crois aussi qu’il y a une
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différence entre entendre quelqu’un de loin sans l’opportunité d’un échange en personne et avoir la
personne devant soi ; ne vous semble-t-il pas possible que des gens puissent trouver un terrain d’entente
parce qu’ils ont discuté ensemble ?
M. JEAN PING : Non, mais je sais déjà que nous ne pourrons jamais nous entendre.
DANIEL MENGARA : M. Ping, sauf tout le respect que je vous dois, je trouve cela assez indécent.
Comment pouvez-vous présupposer de ce que je vais dire ? Il me semble que des Gabonais attendent
beaucoup de notre rencontre. Je m’étonne que vous ayez déjà conclu que vous et moi ne pourrons jamais
nous entendre. Comment savez-vous qu’au bout de ma présentation, il n’y aura pas une ouverture pouvant
nous permettre de nous entendre ?
M. JEAN PING : Bon, ok, continuez alors. Mais je sais déjà que vous et moi on ne pourra jamais s’entendre.
DANIEL MENGARA : Heu, là, vraiment, Monsieur Ping, je ne sais pas trop si j’ai envie de continuer. Cela
m’étonne vraiment de vous, et cela m’étonne que vous soyez si peu disposé à écouter l’argument qui est le
mien jusqu’au bout, un argument qui, si je ne me trompe, est partagé par bon nombre de Gabonais, sinon la
majorité des Gabonais, qui préféreraient probablement que l’élection se tienne avec un maximum de
garantie de transparence, et qui voudraient, peut-être, au moins, que nous nous battions pour la
transparence avant que de nous battre pour l’élection ?
M. JEAN PING : C’est bien ce que je dis. Nous ne pourrons jamais nous entendre sur ce point car moi je
pense que c’est maintenant qu’il faut préparer l’élection et non attendre.
DANIEL MENGARA : Mais il me semble que vous préférez plutôt le monologue, Monsieur Ping, puisque moi
je vous ai écouté patiemment. Je vous ai laissé terminé vos arguments, mais vous ne me laissez même pas
développer les miens… et vous me dites que nous ne pourrons jamais nous entendre.
M. JEAN PING : Pourquoi continuer si je sais déjà d’avance qu’on ne pourra pas s’entendre ? Mais si vous
voulez, continuez, mais je sais que ça ne sert à rien ; on ne s’entendra pas.
DANIEL MENGARA : Mais c’est ce qui me dépasse, là, M. Ping. Comment pouvez-vous présupposer que
nous ne nous entendrons pas ? Est-ce que, pour vous, la seule manière de s’entendre serait que j’adopte
directement votre position sans la confronter à la mienne. Moi je me suis imposé un minimum d’ouverture
d’esprit en vous écoutant. Vous, vous ne voulez même pas m’écouter. A quoi ça sert que je sois venu alors,
sauf si vous vous attendiez à un simple monologue de campagne. Quand on veut, justement, devenir
président du Gabon, on doit avoir la patience d’écouter toutes les opinions. Quel type de président pensezvous
que vous serez si vous pensez déjà tout savoir et ne laissez à personne l’opportunité de vous
présenter son argument ou ses idées ?
M. JEAN PING : Ok, d’accord, continuez, mais je sais que dans l’opposition, il y a trop de donneurs de
leçons. D’ailleurs, vous vous associez aux mauvaises personnes ?
DANIEL MENGARA : Mauvaises personnes ? C’est qui ? Vous voulez parler de qui ?
M. JEAN PING : Vous savez vous-même de qui je parle.
DANIEL MENGARA : Non, M. Ping, je ne sais vraiment pas de qui vous parlez. Moi, pour le moment, je
discute avec tout le monde. Certains partagent mes idées, d’autres pas. Je ne sais donc pas de qui vous
parlez…
M. JEAN PING : Non, mais j’en connais de ceux-là qui se posent en donneurs de leçons. Beaucoup d’eux
ont passé 10 ans, 20 ans dans l’opposition. Ils ont fait quoi ? Quand Ping décide de bouger, ils critiquent. Je
les ai trouvé là, ils ont fait qui ? Quand je suis arrivé, j’ai trouvé une opposition morte. J’ai entrepris de
raviver cette opposition, de la rassembler. C’est ce qui a donné naissance au Front. Mais parmi tous ces
gens, il y a des gens qui veulent me donner des leçons. Qui leur donne le droit de me dire ce que je dois
faire ? Et qui les empêche de faire ce qu’ils veulent faire ?
DANIEL MENGARA : Oui, mais ne pensez-vous pas que votre démarche soit justement ce qui divise
l’opposition ? Pourquoi autant de précipitation ? Ne pouvez-vous pas surseoir à votre démarche, le temps
de laisser l’opposition aller au bout de la logique insurrectionnelle, et puis par la suite lancer votre
candidature ? Rien ne vous empêchera d’être candidat à cette époque tout comme rien ne vous empêche
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d’être candidat maintenant. Il serait plutôt bon de laisser d’abord explorer les options de la transparence
avant l’élection, non ? Vous avez amplement le temps…
M. JEAN PING : Oui, mais je ne comprends pas pourquoi on me critique. Ce sont ces mêmes gens qui ne
sont pas venus au Congrès de Paris qui me critiquent…
DANIEL MENGARA : Oui, mais on dit dans Jeune Afrique que c’est vous qui avez financé le Congrès de
Paris, et la rumeur dit que c’était pour vous faire adouber candidat unique de l’opposition…
M. JEAN PING : Non, ce n’est pas vrai. Le Congrès de Paris a été organisé par la CDG avec l’argent d’un
mécène. Le rôle que j’ai joué était simplement un rôle de trésorier, c’est-à-dire que le mécène me donnait
l’argent et moi je me contentais de le garder et de payer les billets d’avion et les dépenses pour le compte
de la CDG. C’est ainsi que le Congrès a été organisé. Mais l’argent ne venait pas de moi ; il venait de ce
mécène et je n’ai joué que le rôle de trésorier. D’ailleurs, dans la diaspora, la CDG est le seul groupe que je
trouve sérieux et organisé, et c’est le seul groupe avec lequel je travaille, même si c’est vrai que j’ai aussi de
bons rapport avec la diaspora du Bénélux. Je ne travaillerai jamais avec RÉAGIR. Ils sont financés par des
gens qui veulent me donner des leçons. Toutes les autres diasporas, je ne connais pas trop… Je crois qu’il
y a plusieurs diasporas : la diaspora des Etats-Unis, la diaspora du Canada, la diaspora de France et la
diaspora du Bénélux. Celle du Bénélux a une tendance Upégiste. Mais celle de France avec la CDG est
bien organisée, et celle du Canada aussi, je la respecte. Mais celle des Etats-Unis, il me semble, n’est pas
bien organisée. J’étais là-bas à New York et à Washington, il n’y avait personne dans la salle… J’espérais
vous voir dans la salle avec cette diaspora, mais je ne vous ai pas vu.
DANIEL MENGARA : Je ne sais pas de quelle diaspora nord-américaine vous parlez qui vous a invit
Çà alors, je n’en crois pas mes yeux.
Alors qu’en pensez vous?
demain un jour nouveau, vous avez bien fait de nous faire connaitre la teneur de l’entretien entre Ping et Mengara, c’est très instructif….
Comme on dit « qui se ressemble s’assemble »
Pardon, je voulais remercier Meminitame et non demain un jour nouveau.
Kiééééééééééééééééééééh! Vous pouvez tourner un bon film avec votre imagination que vous estampillez avec des propos imaginaires. PING et MENGARA dans un serial. Tu es fort MEMINITAME, kiééééééééééééééh
Incroyable n’est pas gabonais. .Mr MENGARA dit donc c est parole d’évangile..Ces 2 personnes ont une approche différente du mode libératoire à utiliser. Est ce un crime? Enfin, certains veulent des négociations à tout prix avec le pouvoir (qui l’acceptera difficilement)avant une participation aux élections. Donc pas de négociation= boycott? C’est cela que vous désirez, faire le lit du PDG en les laissant seul organiser et gagner l élection? D’autre comme Ping dise rien empêche de mettre la pression, de négocier et concomittement faire une pré campagne afin que le Gabon profond soit informé des réalités de Lbv. Ou est le mal?
Mon frère Joe. Aujourd’hui tout se verifie facilement. Va sur le site de Bongo doit partir medwoan tu verras toi même. Il n’y a pas de fiction. En plus Mengara précise qu’il y avait 10 témoins.
Au passage je ne suis pas Fan de MENGARA. Mais j’aime les personnes objectives, il prevois même de discuter avec un Gabonais pas un PDGISTE: BARRO CHAMBRIER. Pour dire qu’aujourd’hui dire non est mieux que dire » on va encore faire comment » debarrassons nous du G.V.E.
J.E.D
Ça n’a pas l’air de tenir la route cette info, mais bon !
J’ai mal a mon esprit diaboliquement critique lol !
Finalement on se demande ce que certaines personnes estampillées opposition recherchent? Ping vous dérange à ce point? Vous pensez que les populations attendent vos avis et liron vos commentaires pseudo intellectuels de salon de the pour choisir leur candidat?
Les populations veulent le changement, l’alternance et pendant ce temps vous blablater indéfiniment sans faire avancer les choses.
Les souverainistes soutiennent ping..ou est le pb? Ça dérange qui? Ont ils enfreint les statuts de leur parti? Pourquoi tte cette cabale sur les soutiens de Ping? Essono Mengué recommande qu’aucun Fang ne se présente c’est devenu une affaire d’état. A t il empêché un fang de se présenter? Comme disait qlqun, Casimir veut se présenter, ben qu’il le fasse on verra si les populations ont oublié sa trahison.
demain un jour nouveau,
tous les jours on maltraite les émergents et Ali et tu fais parti de ces gens là, quelqu’un t’a fait un procès? quelqu’un est venu te demander qu’est ce qu’Ali t’a fait? si Ali était un mandjango personne ne s’intéresserait à lui.
Il va falloir te mettre dans la tête que nourir des ambitions pour la magistrature ne vous met pas à l’abti des critiques, bien au contraire et c’est la raison pour laquelle tu peux te permettre d’évoquer la trahison d’Oye.
Quelqu’un est-il venu t’interdire de penser ainsi? tu crois que Oye Mba n’a pas de soutien dans ce pays pour te rétorquer?
Nous sommes libres, de critiquer non pas le père , la mère les enfants de Ping, ou ses bonnes amies, mais l’homme politique qu’il est, sa stratégie, ses soutiens, tu dois faire avec, parce que Ping a décidé d’aller chercher le graal.
Quand on fait de la politique il faut s’attendre aussi bien aux critiques qu’aux encouragements, si tu ne l’as pas compris c’est que tu n’as rien appris de la Conférence Nationale de 1990, là bas , nous avons obtenu le droit de parler et ce n’est pas toi qui viendras nous censurer.
Personnellement je n’ai jamais été au PDG, jamais, j’ai toujours milité dans l’opposition, alors je n’ai aucune leçon à recevoir d’opposants de circonstance,
Gabon review que pensez vous de l accueil réservé à Ping par les populations le septentrion?. .tt ce que vs faites présentement est contre productif, je vs l’assure. Ping est sur le terrain depuis un moment déjà, mais personne ne s’attendait à la communion qui s’est faite avec le peuple fang de cette manière..je dirais à Mr Ping poursuivez votre chemin, maintenez votre stratégie, allez à la rencontre des populations, elles veulent vs connaître, elles veulent savoir à qui elles donneront leur voix le moment venu. Le reste…le chien aboie..
le reste…le chien aboie la caravane passe, c’est signe de dédain, tu ressembles de plus en plus à Pascaline, demain un jour nouveau, nous des chiens? Merci, tout ça parce que les gens ont osé critiquer Ping, ça promet des lendemains meilleurs avec tous ces gens accrochés aux basques de Ping!
extrait rencontre PING et MENGARA
…..
Je dois aussi dire que je fus surpris de trouver des soutiens pour une insurrection là où je ne les attendais pas (c’est le cas de Maganga Moussavou) et des hésitations, voire même des rejets, là où j’attendais ces soutiens.
Le cas de Jean Ping fut certainement le cas le plus extrême car c’est le seul qui m’opposa une fin de non recevoir absolue, me déclarant sans ambages que lui et moi ne pourrions jamais nous entendre.
Je relate donc ci-dessous ma conversation avec Jean Ping, aux fins d’édifier ceux qui s’attendaient à me voir arriver à un terrain d’entente avec lui. Au moins, on ne dira pas que Daniel Mengara n’aura pas essayé. Quand arrivera, le 30 août 2015, des grincements de dents parce qu’on aura laissé se tenir une énième élection perdue d’avance que l’opposition aurait pourtant pu bloquer et ensuite gagner si elle avait parlé d’une seule voix sur le besoin de réformes préalables, on saura au moins qui aura vendu le Gabon aux Bongo Ondimba en 2016.
B. LE CAS JEAN PING : DÉROULÉ DE LA RENCONTRE DU 15 AOÛT 2015
Je dois dire que le seul leader politique avec lequel je n’ai trouvé aucune possibilité de terrain d’entente était Jean Ping. Tandis qu’avec la majorité des leaders rencontrés, le principe de la réforme avant les élections était acquis et la nécessité d’actes de défiance admise comme un passage obligé, Jean Ping est le seul qui a opposé une fin de non recevoir aux diverses idées que j’aurais pu lui proposer.
J’isole le cas Jean Ping ici pour une autre raison, peut-être plus importante. Je sais, en partant des Etats-Unis, qu’une bonne partie de la diaspora voulait que je rencontre Jean Ping. Mon « Inbox » sur Facebook, avant mon départ sur le Gabon, était bondé de messages me demandant de tout faire pour rencontrer Jean Ping lors de mon séjour au Gabon. Je suppose que ces personnes souhaitaient une sorte de rapprochement entre Jean Ping et moi. Il se trouve que ces personnes qui souhaitaient ce rapprochement avaient sans doute oublié que les rapprochements ne sont possibles qu’entre personnes partageant plus ou moins les mêmes vues politiques. Etre de l’opposition n’est pas une idéologie. La preuve : le Front est divisé aujourd’hui entre électoralistes (voulant aller sans préalables aux élections), convivialistes (attendant en vain un dialogue inclusif) et insurrectionnistes (voulant forcer les choses). Ces trois tendances montrent pourquoi il est important de toujours tenir compte des idéologies que défendent les gens avant que de souhaiter des rapprochements qui finissent parfois par être des rapprochements contre-nature qui ne peuvent aller nulle part. C’est le genre de fourre-tout idéologique que j’ai souvent rejeté car trop prédisposé aux blocages et à l’immobilisme.
Je rappelle ici que quand je rencontre Jean Ping à Libreville samedi 15 août, je le rencontre dans le même esprit que celui qui m’a mené à rencontré d’autres leaders de l’opposition et de la société civile tels Maganga Moussavou, Ndong Sima, Marcel Libama, David Mbadinga, Moukagni-Iwangou, Marc Ona, Albert Ondo Ossa, etc. C’est certainement mon ouverture d’esprit qui favorise ces rencontres puisqu’il fut une époque où je n’aurais jamais accepté de rencontrer certaines de ces personnes, notamment au moment où ils étaient encore au PDG. Cette rencontre, néanmoins, entrait très clairement dans le cadre de ma mission, qui consistait à rencontrer tous les leaders qui étaient disposés à me rencontrer ou qui seraient disponibles à Libreville lors de mon séjour, et ce en vue de leur exposer mes idées sur la manière dont on pourrait réussir le changement avant la tenue des élections en 2016. La rencontre avec Jean Ping ne revêtait donc pas de caractère particulier, en dehors de celui qui m’avait amené à rencontrer autant de leaders que je pouvais au cours de cette première étape de mon retour politique au Gabon.
En savoir plus: http://www.bdpmodwoam.org/articles/2015/08/27/rapport-et-premier-bilan-detape-retour-politique-du-dr-daniel-mengara-au-gabon/#.Vd9ETvbtmko
Si les faits qui sont rapportés ici par M. Mengara, découlant de la rencontre qu’il a eue avec M. Ping, sont avérés, de mon avis de citoyen, j’accorderais mon quitus aux observations,sinon aux préalables posés par M. Mengara. Comme il l’a fort démontré, le PDG n’a jamais remporté d’élections présidentielles, pour ne citer que celles-là, depuis 1990, alors qu’elles étaient remportées respectivement par Mba Abessolo en 93 et 98, Mamboundou, en 2005, et récemment par Mba Obame, en 2009. Donc même si M. Ping qui se vante d’avoir d’énormes moyens financiers dans l’optique de remporter celle qui pointe à l’horizon 2016, cela ne pourra changer cette donne. Le problème reste entier: exiger et obtenir les conditions de transparence électorale, seul gage de considération des voix du peuple, et partant de la légitimité de celui qui y sera élu. Or, en adoptant une option contraire à celle-ci, en demandant le peuple d’être avec lui, ne suffira pas car, cette méthode a déjà montré ses limites, pas parce que le peuple n’a pas toujours voté son candidat, mais parce que celui qu’il a toujours choisi, n’a jamais accédé au pouvoir. Comme l’a fait observé M. Mengara, on ne peut poursuivre deux lièvre à la fois. M. Ping est beaucoup mû par ses propres intérêts électoralistes que ceux qui engagement véritablement la nation. Posons les vrais problèmes et tentons de les résoudre de manière consensuelle et réfléchie, en laissant de côté de nos égos. L’argent n’a jamais fait le bonheur…
Mais il faut arrêter ! Mengara est où pendant que les gabonais vivent la dure ? Il est revenu au pays parceque la loi exige qu’il y réside pendant 1 ans au moins, pour se porter candidat ! A part faire du bruit sur internet ,confortablement bien assis derrière son PC ou aller faire le boucan à l’UE, que fait-il d’autres ? A peine rentré au pays qu’il veut aussi se prendre pour un grand leader ! c’est vraiment regretable ! comme j’ai dit, les gens ne savent pas se mettre à leur place !
Tiens, tiens on dirait Jean PING QUI RÉPOND EN DIRECT (mais il faut arrêter!). TERRE à TERRE:
(Je descends et je vais causer petit Gabonais allons y…..!)
C’est pas une raison pour que quelqu’un de buter, qui connait tout, qui connait d’avance les réponses de l’autre, et qui est fermé à tout,soit mis en orbite pour chercher à devenir mon président. Juste un peu d’ouverture d’esprit eut-été le bien venu. Accepter la contradiction et la confrontation d’idées ne fait pas de mal (MENGARA est où…?, et PING était où depuis 48 ans, c’est en 2014 qu’il à découvert la souffrance des Gabonais? parce que 2016 approche!.Je ne suis pas Fan de MENGARA, mais comme j’ai dit en interpellant sur sa rencontre avec PING pour susciter le Débat, tous les anciens PDGistes conservent la même idéologie, ce sera le plus difficile à combattre au Gabon, mais je ne désespère pas, on n’y arrivera. Il ne faut pas contre-dire un PDGiste fusse-t-il transfuge au Front ou à l’Union Nationale et ça veut parler d’opposition, d’alternance ou changer le Gabon!!! allez vous reposer en cote d’ivoire avec votre meuf. Laissez les Gabonais qui souffrent essayer de sortir de leur souffrance, sans ALI et Ses Jumeaux néo-opposants même s’ils ont de l’argent pour battre campagne. Peut importe nous sommes tous plus Gabonais que les autres…ou la la la la la! tienstiens, sache que je m’insurge aussi vis a vis de ton post parce que, je suis Gabonais (Mon père est Gabonais, ma mère est Gabonaise, je suis marié a une Gabonaise)je ne suis pas particulièrement contre les Gabonais, qui ont un Père étranger et une Mère Gabonaise, qui viennent encore nous ajouter une femme étrangère au sommet de l’état. L’argent du Gabon, après le CONGO, Les états-uni, la France, l’Angleterre et le Benin, il faut aussi qu’après, la cote d’ivoire en profite? je dois aussi en tenir compte dans le choix de mon futur président. pas seulement être passif lorsqu’on laisse dire qu’un Fang doit être disqualifié à la course à la présidence, pour faire place à PING, sans que le cas du départ d’ALI BONGO soit traité.
Voilà ce qui m’ennuie pour mon Gabon A+
tiens tiens,
Mengara a le droit de s’exiler et de revenir au pays quand bon lui chante, tu veux te substituer à Conan? au CEDOC des années avant la Conférence nationale?
Si Mengara était un moins que rien, penses tu que Ping aurait pris la peine de le recevoir? A part faire de l’opposition virtuel, Mengara était à Nantes avec d’autres gabonais réclamer l’extrait d’acte de naissance d’Ali, toi tu y étais?
trouvez des arguments irréfutables, et gardez vos réactions épidermiques qui ne font pas avancer le débat.
Mengara ne serait rien car il n’a pas d’argent, Dieu merci il n’a pas été nourri au biberon des Bongo, et je le respecte pour ça!
TIENSTIENS
Daniel MENGARA a parfaitement le droit de prendre part à la vie politique de son pays, de notre pays à tous, le Gabon. Il est libre d’avoir un agenda et de le mettre en oeuvre comme il l’entend. S’il a décidé de se porter candidat à la présidentielle à venir et de le faire savoir à ses compatriotes par les voies qu’il a choisies, toutes parfaitement légales, en quoi cela serait-il un mal en soi? Quelle notion avez-vous de la démocratie à laquelle aspire notre pays?
Vous pouvez le vérifier, je suis de ceux qui déclarent ouvertement soutenir l’action politique de Jean PING et souhaite le voir accéder à la magistrature suprême. Mes motivations sont de type rationnel et stratégique, comme cela est le cas chez beaucoup d’autres compatriotes à ce sujet.
Si je souhaite qu’il y ait peu de candidats se réclamant de l’opposition, voire un candidat unique, c’est pour que le vote du peuple ne soit pas émietté. Il y a des arguments pour cela, à opposer à ceux qui leur sont contraires.
Donc, bien que n’étant pas un soutien engagé pour Daniel MENGARA, que j’admire et chez qui je souhaite un avenir politique de premier plan, je ne veux pas participer au lynchage de ce compatriote, en vous laissant dire de lui qu’il veut « se prendre pour un grand leader » et qu’il ne « sait pas se mettre à sa place ». Qui êtes-vous pour accorder à certaines gens le statut de grand leader en le refusant à d’autres? Seriez-vous un démiurge? Seriez-vous Dieu, pour attribuer à chaque personne une place, définitive, sans possibilité d’en sortir? Le peuple n’est-il pas LE SOUVERAIN, comme le disait Rousseau?
Vous m’effrayez là, Madame ou Monsieur.
Laissez-moi donc vous dire une chose: La compétition politique est un peu comparable à la concurrence au plan commercial. Il y a des règles écrites et d’autres tacites. Par exemple, la publicité, qui consiste à vanter les mérites d’un produit auprès du public, est encadrée par des dispositions légales comme celle interdisant à une réclame de dire que le produit annoncé est meilleur que celui d’une autre autre marque, que l’on cite nommément, ou que l’on montre.
En politique, cela devrait être pareil. On devrait pouvoir vanter les mérites d’une personnalité politique, d’un candidat, d’un calendrier… en se focalisant sur ses qualités propres et non en tentant de faire le vide autour de celui que l’on soutient, en discréditant ses adversaires réels ou potentiels. Voilà ma conception de la politique, et je crois qu’elle ne manque pas de noblesse.
A bon entendeur…
Que Mengara n’entre plus aux usa,qu’il nous explique comment il va faire et avec qui il va faire l’insurrection au Gabon!vous savez,il me rappel Ben Moumbamba dans ses premiers jours ici!tout le monde pour lui étaient faux,seul lui était clean aujourd’hui ou en somme nous!MENGARA ne rentre plus chez toi aux usa!le chaudron c’est ici!c’est au front qu’on reconnais qui est un homme!les bons parleurs aux Gabon on en a des tas!Il nous faut des leaders prêt à sacrifier leur vie pour leurs idéaux d’abord et ensuite pour le peuple qu’ils prétendent défendre!Qu’il vienne vivre au pays pendant un an au moins,en ayant le même discours qu’il a en ce moment,en posant les actes qu’il veut poser et en mobilisant le nombre de personne nécessaire pour atteindre ses desseins!
Nza Fe mon frère dis toi peut être tu peux éclairer ma lanterne si les conditions de transparence électorale ne sont pas acquises et il me semble que ali le têtu usurpateur ayant toute l’administration et le système électoral avec lui ne l’acceptera pas quelle sera la conduite à suivre logique: C’est le boycott non? et qui dit boycott? l’exemple du Burundi est là pour ragaillardir les dictateurs comme ali
A tous, Ping n’a pas raison, Ping n’a pas tort!
EN AFRIQUE NOIRE FRANCOPHONE, IL N’YA PAS ELECTION DANS LES PAYS RICHES:
AOF: CÔTE D’IVOIRE
AEF: TCHAD;CAMEROUN;RCA;GABON;CONGO BRAZZA; CONGO KIN (bien que non membre de l’AOF)
PING A PEUT ETRE LES SOUTIENS OCCIDENTAUX QUE MBA ABESSOLE; MAMBOUNDOU ET MBA OBAME N’ONT JAMAIS EUS
TENEZ, CHOI EN CÔTE D’IVOIRE AVAIT DIT QUE OUATTARA A GAGNE, CE QUI ETAIT FAUT, NOUS CONNAISSONS LA SUITE, OR CHOI EST SUD-CORREEN COMME BAN-KI-MOON QUI PARLE AU TELEPHONE AVEC PING…
JE VOUS COMPRENDS, BONGO NE PEUT PAS NETTOYER LES INSTITUTIONS ELECTORALES, MAIS SI PING A L’ASSURANCE QUE LES OCCIDENTAUX L’ONT DEJA CHOISI, QU’IL APPELLE LES AUTRES ET LEUR SOUFFLE CA, ET QUE LE BRUIT COMMENCE, ET QU’ILS FASSENT CE BRUIT ENSEMBLE
PENDANT QUE MBA OBAME ETAIT MALADE, IL N’Y AVAIT PERSONNE POUR ENTRETENIR LA FLAMME, C’EST QUAND PING RENTRE QUE L’ESPOIR RENAIT, S’IL VOUS PLAIT, PING A MEME TENU DES PROPOS QU’ANDRE N’A JAMAIS TENUS…
Les loups sortiraient ils des bois? Comme quelqu’un l’a dit ici pourquoi cela devient une affaire d’état les propos d’ESSONO MENGUE? Incroyable ce que je lis refuser de reconnaître une chose connue de tous le nier cela veut dire qu’on ne veut pas avancer tenez je discute souvent avec des amis du haut-Ogoouée et ils sont conscients que le qualificatif de province présidentielle leur a fait plus de mal que de bien, mes amis de l’Ogoouée-lolo savent très bien que leur province est considérée comme une dépendance du haut-Ogoouée et pourtant ils ne font pas les vierges effarouchées et puis s’il n’y a pas de candidat mpahouin est ce que c’est la fin du Gabon? Il ne faut pas que mes frères fang se disent tous présidentiables bon sang! par exemple le Pr ONDO OSSA n’en a pas la carrure c’est surement difficile à accepter mais c’est comme ça! pourquoi faire semblant d’ignorer les réalités? souvent au sud les politiques exploitent ce TSF ils disent pendant les campagnes: Bapamou(les mpahouin ou fang) sont des envahisseurs, des tribalistes, des mangeurs de poux, des gens qui défendent un des leurs même s’il a tord donc si vous élisez un moupamou(fang) il n’y aura aucun de nous au gouvernement, il y aura du travail que pour les fang etc etc donc il vaut mieux voter Bongo(ali ou omar) et pour enfoncer le clou ces politiciens ajoutent d’ailleurs le haut-ogouée est au sud donc nous sommes au pouvoir voulez-vous perdre le pouvoir? ce genre d’argumentation ne dégage pas t’il aussi une odeur nauséabonde? et ces mêmes hommes ou femmes politiques devant les micros de la rtpdg viennent blablater sur l’unité nationale peuple des vrais patriotes n’est ce pas que nous nous plaignions de ce que les potentiels candidats n’allaient pas à la rencontre du peuple et qu’il ne faudrait pas attendre l’ouverture officielle de la campagne alors si PING a compris que c’était la bonne posture et que les autres ergotent dans les bureaux où est le problème? pour moi l’adversaire de tous ceux qui pensent que nous avons été humiliés par le parjure de 2009 c’est ALI BONGO ONDIMBA et si ceux qui ont favorisé cette situation(Ping, Ndémézo Obiang, Ondo Ossa, Oyé Mba, Eyéghé Ndong, Ndong Sima, Essono Mengué, Myboto, Adiahénot, Barro Chambrier, Menga et j’en passe) veulent se racheter je suis preneur car la maison GABON est entre les mains des étrangers quant au Dr Mengara que penser? sa voie c’est l’insurrection avec comme soutien Maganga Moussavou? le ravalement du dispositif électoral dont nous parlons nous le faisons comment? le pouvoir n’en veut pas ni d’ailleurs de dialogue inclusif sans tabou! c’est à dire au cours de ce dialogue on va dire à ali tu as commis un parjure et tu n’arrives pas à prouver que tu es présidentiable donc tu es out! qui est fou?ali ne peux jamais accepter un tel coupe-gorge! AU FAIT SUR LE SITE DU BDP ON PARLAIT D’UNE BRANCHE ARMEE DU BDP C’EST TOUJOURS D’ACTUALITE? Quant à Adiahénot comment peut il être surpris de ce qu’il a vu ou entendu chez Ping en dehors des USA dans tous les autres pays quand on veut accéder au pouvoir si on ne peut le faire seul on noue des alliances les plus objectives qui soient et on élabore un gouvernement c’est la reconnaissance de chaque composante dans ce gouvernement futur qu garantie l’adhésion de toutes les parties Macky Sall l’a fait au Sénégal non? mais pourquoi diable dans notre pays ce qui s’est chez les autres avec bonheur est toujours compliqué? sommes nous si tarés pour toujours trouver difficile toute situation? ou alors dans le cas de l’alternance en 2016 on arrive au pouvoir sans gouvernement? comme cela on passe aux yeux du monde pour des ploucs car ce sera à ce moment là que nous allons entamer les tractations pour savoir ce qu’on fait avec le pouvoir qu’on vient de conquérir donnant ainsi l’image qu’on y croyait! CELA SERAIT LOURDEMENT DOMMAGEABLE POUR LE NOUVEAU POUVOIR
L’ombre qui marche
Tu es une très excellente lumière. Merci pour ton éclairage.
YOVE merci mon frère quand je suis sur ce forum il y a des interventions auquelles je n’accorde aucune attention par contre tu fais partie des intervenants dont je lis les écrits avec bonheur et avec toi TOUTES ET TOUS CEUX QUI PENSENT QUE LA CONSTITUTION DU GABON EST SACREE ET QUE LA VIOLER EST UN ACTE DE HAUTE TRAHISON
L’ombre qui marche
Merci infiniment, mon frère. Je me sens honoré de la part de quelqu’un dont les lumières éclairent d’un éclat particulièrement vif les forums où elle apparaît. Tu es la clairvoyance qui marche.
A qui profite Le crime? Mr PIng envisagerat il sa candidature a la presidentielle Je vous pose cette question parce il me semble qu on oublie son passé.Je n Ai personnellement rien contre lui.
Il y a qd mm points non negligeable:
Ce Monsieur :
-Ne fait il pas parti de la famille Bongo ( 2 enfants tout de mm avec sa majesty PAscaline Haagen dass bongo Ondimba mferri)
– a ete nourri et blanchi chez les bongo au point de metttre en peril sa vie de couple.
– POurquoi ferait il mieux qu eux, et il se battrait contre ses propres enfants
– a t il enonce un plan d action, une analyse relle et objective de la situation ( sans tomber dans divers et kongossa)
– Je pense personnellement que c est Le poulain d in groupe et que Notre opposition c est du folklore.
Dans Ce folklore, Je partirai pour un choix de personne qui est competent, analyste et qui propose de solution realise sans perte de temps, parce qu a pres plus de 40ans de mm figure, je crois qu on aura certainement les mm troupeaux. Le choix du plus pertinient et de miss.
mr Mba sima me parrait plus concert et consistent , c est mon opinion. Peu m importe son ethnie
Vous perdez votre temps, Ali sera candidat et va rebeloter; qui va l’en empêcher?