Crise postélectorale : Anonymous s’en mêle
Ce mouvement très actif sur l’Internet avec des attaques musclé sur des sites des sociétés ou des administrations s’implique dans la crise postélectorale. Il menace Ali Bongo et annonce des opérations sur le Gabon.
La crise postélectorale est loin de tiédir. Anonymous, une communauté d’internautes qui se présentent comme des hackers activistes et agissent de manière anonyme, mais avec des actions d’éclats, pour défendre la liberté d’expression et de toutes les libertés bafouées, vient de se signaler. Ce groupe s’exprimant sur ses différentes plateformes sur Internet, le groupe a indiqué que «l’opération Anonymous Gabon est engagée».
Dans ce message, ces activistes se présentant comme «citoyens du monde», indiquent qu’ils sont Anonymous et qu’ils sont «debout à côté du peuple gabonais (en Afrique) dans la lutte pour le changement». Pour eux, «le peuple gabonais a demandé assistance comme la situation est en train d’être hors de contrôle». Ils ont de ce fait interpellé les «frères et sœurs Anonymous» du monde pour leur demander singulièrement de «cibler Ali Bongo».
Le mouvement appelle ses membres à rejoindre tous les espaces qu’ils utilisent pour commettre leurs attaques. «Rejoignez nos tempêtes de tweet pour augmenter la prise de conscience. Rejoignez-nous pour des attaques combinées des Sites Web, des bases de données, de piratage, coupant et supprimant comme nous pouvons», ont précisé les Anonymous.
Comme pour marquer leur détermination, ils n’ont pas manqué de s’adresser directement au président de la République dont la victoire à la présidentielle du 27 août 2016 demeure contestée par une frange de la population et par son principale challenger, Jean Ping : «Ali Bongo, attendez-nous».
Les modes d’opérations des Anonymous sont diverses et variées, mais restent focalisées sur le secteur du numérique. Ce sont généralement des attaques par déni de service contre des sites de sociétés, des administrations, des personnalités ciblées comme ennemies des valeurs défendues par le mouvement.
0 Commentaires
Enfin les menteurs aux petits pieds vont pouvoir expliquer à des vrais hackers comment eux arrivent à hacker un document manuscrit.
deuxième intervention, après une première restée …sans effets???
l effet joule
Apres les hackers ivoiriens, ping fait appel a anemimous. Ah Ndemezo’o si tu savais avant, tu n’aurais pas suivit ce pingouin.
Les Gabonais ne sont pas dupent.
Ali Bongo Ondimba est Président du Gabon
laissons pingouin aller s ‘agenouiller devant ses chef en France.
Les Gabonais disent: le Gabon n’est pas la France !
J’ai dit
Parle pour toi, pas au nom des gabonais. Par ce que moi en tant que gabonaise je dis Ali Bongo n’est pas président du Gabon.
Ali Bongo n’est nullement le président du Gabon. Nous Gabonais ne le reconnaissons pas comme Président et ne le reconnaîtrons jamais. « ….C’est enfin notre essor vers la félicité »
Nous refusons d’être gouverner par des tricheurs, voleurs, menteurs et assassins.
Pierre Claver OKOUMBA tu parles pour ton ventre et celui de ta famille! surement pas pour celui de l’ensemble des gabonais! Nous disons non non non à Monsieur Bongo Ali, le BOUCHER DE BONGOVILLE. tout le monde sait, et lui même en premier qu’il a été lamentablement battu par les urnes. mais comme vous etes comme vous etes vous venez avec une histoire de hacker ivoirien. les gabonais vous ont vomi et attendez de voir l’arrivée du Président de la République en France, son Excellence Jean Ping, vous verrez ce qu’est un Président élu et aimé par son peuple. pas votre boucher qui n’arrive même plus a aller sans garde du corps de sa chambre au salon
le Gabon n’est pas la France, sauf que quand on a besoin d’elle, on oublie que le Gabon n’est pas la France, et on redevient des toutous…Léon M’BA sur ce point était en avance sur son temps…J’ai dit
Quand le navire prend de l’eau c’est ainsi.attendez vous allez voir…ca ne fait que commencer. Cette apparente forteresse sera ébranlée
Il apsse son temps à aller chercher le renfort à l’étranger quand c’est pas le hacker, c’est les conseiller de Ouatara , BOURGI, anonymous ou je ne sais quoi encore Mais ce gar est un vrai délinquant il veut faire quoi du Gabon
C’est pourquoi le chinois paie des gens pour inonder Facebook comme l’élection c’est sur Facebook que ça se gagne.
Dis, tara toi qui affirme, combien as tu reçus pour parler contre Ping ? STP répond !
Même pas un rond , Ali c’est l’homme de la situation et il a gagné l’élection pire il n’est pas pour la France Afrique donc j’aime mon pays et il représente valablement le Gabon. rien que ça
Tara, va mandjer le koumou avec les tchenille. Tu es trop bête.
Le GABON n’appartient pas à une famille mais à tout le monde.
Sachez une chose, toute chose à une fin.
Les pharaons sont tombés, l’empire romain est tombé, l’empereur de chine est tombé. Le tour des BONGO arrive à vive allure.
C’est l’ouragan KATRINA qui va régler le compte des BONGO.
ah voila les rigolos chomeurs en fin de droit desamparés desoeuvrés et sans libido
ils s occupent c est deja ca …
Les choses sérieuses vont enfin commencer, l’arrivée de Monsieur le Président de la république Jean Ping en France demain va tout changer.
Jean Ping Président!!!Jean Ping Président Jean Ping Président Jean Ping Président….
Il semble qu’il va en France pour des soins médicaux de longue durée. En réalité, il enlève déjà son corps pour laisser Nzouba Ndama, Oye Mba et Myboto se débrouiller avec leurs djihadistes parqués non loin du Lycée Français. Ce matin, l’avion de Iar Côte d’Ivoire a déversé 20 tonnes d’atiéké pour nourrir tous les affamés qui n’ont plus à manger à la maison.
Anonymous! Quelle bonne blague! ils s’étaient déjà manifestés avant la présidentielle pour quel résultat? Ils n’ont pas pu empêcher Ali de rester au pouvoir, c’est maintenant qu’ils vont réussir quoi? Vauriens!
Faut continuer à rire, mais lorsque du C4 va retentir, on verra qui rira encore. Le Gabon va mal Ali part tranquillement toi même là bas.
Si le C4 retentit comme tu dis , un de tes parents peut être parmi les victimes, réfléchis y!
Mais sans C4 vous tuez déjà les Gabonais et de dos… donc…